Mickael49
Broute de l'herbe
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L'Agence Française de Presse nous informe sur les avancées du droit des animaux en Suisse (ils sont plus en avance que nous les suisses même si c'est loin d'être parfait) :
"Une nouvelle ordonnance suisse, qui entre en vigueur ce lundi, précise point par point le traitement à réserver aux animaux, qu’il soient d’élevage, de compagnie ou destinés à des expériences scientifiques, ou sauvages lorsqu’ils vivent dans des cirques, zoos ou vivariums privés.
Pour les poissons, il est dès à présent interdit de les «pêcher à la ligne dans l’intention de les remettre à l’eau» et d’utiliser des poissons vivants comme appât. Les poissons rouges peuvent être tranquilles: ils ne pourront plus être éliminés dans les toilettes ou dans le congélateur mais dûment assommés avant d’être tués.
Les chiens bénéficient eux d’une protection particulière, puisque tout candidat à en posséder un devra suivre une formation obligatoire. Les cours, dispensés par des formateurs accrédités, auront notamment pour but de «dresser» les maîtres pour réduire les risques de morsure par leur animal. Les chiens agressifs devront être exclus des élevages afin de privilégier la sélection d’individus équilibrés et pacifiques.
Il sera également interdit de couper la queue ou les oreilles d’un chien ou de le «soumettre à des interventions chirurgicales pour obtenir des oreilles tombantes». Les importations de chiens auxquels ces traitements ont été infligés sont interdites.
Les individus de certains espèces, comme les perruches et les hamsters, ne pourront pas être seuls. De même, les lamas, alpagas et yacks devront être contact avec des congénères, tandis que moutons et chèvres devront avoir au moins «un contact visuel avec des congénères».
Les porcs auront une douche à leur disposition pour les rafraîchir.
Les chevaux devront «avoir des contacts visuel, auditif et olfactif» entre eux, tout ayant la possibilité de s’éviter. Les locaux où ils sont détenus «ne doivent pas comporter d’impasses» et l’utilisation de fil de fer barbelé pour leurs enclos est proscrite.
Une longue annexe à la réglementation précise les surfaces minimales à allouer aux animaux, un éléphant mâle ayant par exemple droit à un box de 30 mètres carrés alors que les femelles devront se contenter de la moitié."
Comment auront-ils les moyens de contrôler tout cela, mystère ?
"Une nouvelle ordonnance suisse, qui entre en vigueur ce lundi, précise point par point le traitement à réserver aux animaux, qu’il soient d’élevage, de compagnie ou destinés à des expériences scientifiques, ou sauvages lorsqu’ils vivent dans des cirques, zoos ou vivariums privés.
Pour les poissons, il est dès à présent interdit de les «pêcher à la ligne dans l’intention de les remettre à l’eau» et d’utiliser des poissons vivants comme appât. Les poissons rouges peuvent être tranquilles: ils ne pourront plus être éliminés dans les toilettes ou dans le congélateur mais dûment assommés avant d’être tués.
Les chiens bénéficient eux d’une protection particulière, puisque tout candidat à en posséder un devra suivre une formation obligatoire. Les cours, dispensés par des formateurs accrédités, auront notamment pour but de «dresser» les maîtres pour réduire les risques de morsure par leur animal. Les chiens agressifs devront être exclus des élevages afin de privilégier la sélection d’individus équilibrés et pacifiques.
Il sera également interdit de couper la queue ou les oreilles d’un chien ou de le «soumettre à des interventions chirurgicales pour obtenir des oreilles tombantes». Les importations de chiens auxquels ces traitements ont été infligés sont interdites.
Les individus de certains espèces, comme les perruches et les hamsters, ne pourront pas être seuls. De même, les lamas, alpagas et yacks devront être contact avec des congénères, tandis que moutons et chèvres devront avoir au moins «un contact visuel avec des congénères».
Les porcs auront une douche à leur disposition pour les rafraîchir.
Les chevaux devront «avoir des contacts visuel, auditif et olfactif» entre eux, tout ayant la possibilité de s’éviter. Les locaux où ils sont détenus «ne doivent pas comporter d’impasses» et l’utilisation de fil de fer barbelé pour leurs enclos est proscrite.
Une longue annexe à la réglementation précise les surfaces minimales à allouer aux animaux, un éléphant mâle ayant par exemple droit à un box de 30 mètres carrés alors que les femelles devront se contenter de la moitié."
Comment auront-ils les moyens de contrôler tout cela, mystère ?