tom
Élève des carottes
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Je commence un livre de Francis Hallé, botaniste, qui s'intitule "éloge de la plante". L'intro commence fort puisqu'il dit qu'"il apparaît que les plantes, loin d'être inférieures aux animaux comme on le croit souvent, les dépassent dans bon nombre de domaines de la biologie".
Pour vous donner envie, un extrait de la 4e de couverture : "belle et utile, discrète et autonome, silencieuse et d'une totale non-violence, la plante serait-elle un modèle à suivre ? Au lecteur d'en juger, au terme d'un parcours plein de surprises [...] où l'animal, individu mobile de petit volume, à vie brève et dispersant l'énergie, est comparé à la plante, être collectif fixé, de grande surface externe, à vie très longue et concentrant l'énergie. De la forme à la fonction et de la cellule au génome, une merveilleuse leçon de biologie incitant à remettre d'urgence la plante à sa place, primordiale, qui est la sienne".
J'adore ce genre de point de vue marginal qui pourtant offre une vision nouvelle sur les bienfaits de l'homme comparé aux bienfaits de la nature. Qu'il ignore et exploite.
Pour vous donner envie, un extrait de la 4e de couverture : "belle et utile, discrète et autonome, silencieuse et d'une totale non-violence, la plante serait-elle un modèle à suivre ? Au lecteur d'en juger, au terme d'un parcours plein de surprises [...] où l'animal, individu mobile de petit volume, à vie brève et dispersant l'énergie, est comparé à la plante, être collectif fixé, de grande surface externe, à vie très longue et concentrant l'énergie. De la forme à la fonction et de la cellule au génome, une merveilleuse leçon de biologie incitant à remettre d'urgence la plante à sa place, primordiale, qui est la sienne".
J'adore ce genre de point de vue marginal qui pourtant offre une vision nouvelle sur les bienfaits de l'homme comparé aux bienfaits de la nature. Qu'il ignore et exploite.