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Avale du tofu
Comment vivre le fait de consommer de la chair animale quand on a décidé de s'en passer ?
A la maison je n'en cuisine plus, mais fatigue aidant je fait appel en ce moment à des solutions de facilité, et même lorsque je mange sans viande, je me retrouve à finir le plat de ma fille, exemple une part de pizza, qui en contenait. Je réalise après coup et je me sens super mal
En plus de ça, je me mets la pression toute seule, en me disant que mon mari va me réclamer tôt ou tard un plat bien carné, j'avais quelques spécialités, et je me demande comment je réagirai, car je serai bien sûr partagée entre lui faire plaisir et camper sur mes résolutions. Et je me mets à culpabiliser de mon choix, puisque c'est moi qui cuisine à 99% ici, ce faisant je le leur impose (à mon mari et ma fille).
Si on mange au dehors, demain midi par exemple on a décidé d'aller au restaurant, c'est compliqué. Comme je fais assiette partagée avec ma fille, je vais lui laisser les morceaux, j'ai lu dans une discu que techniquement ce n'est pas vg, d'ailleurs je suis totalement d'accord avec le raisonnement.
Reste juste que dans la pratique, je ne me vois pas renoncer à certains lieux, certains parfums de cuisine, que ça a fait si longtemps parti de mes plaisirs partagés avec mon mari, je pense à un restaurant chinois, un autre japonais, comment être en accord sans blesser ?
Le fait est que j'ai depuis longtemps expliqué que je ne voulais plus manger autant de viande (qu'avant l'été dernier), que j'ai argumenté sur la santé, les qualités des autres aliments, la créativité de la cuisine vg, bref sur tout ce qui aide à faire passer la pilule, et pour tout ça il me semble bien que mon cher et tendre est assez d'accord (d'ailleurs il n'est pas totalement privé puisqu'il peut en manger le midi au travail). MAIS... je ne voulais pas non plus l'effrayer, le braquer, j'ai pensé que ça pouvait venir en douceur, alors je n'ai pas prononcé le mot VG... Enfin, sans doute que si, mais pas clairement, alors clair dans ma tête...
A la maison je n'en cuisine plus, mais fatigue aidant je fait appel en ce moment à des solutions de facilité, et même lorsque je mange sans viande, je me retrouve à finir le plat de ma fille, exemple une part de pizza, qui en contenait. Je réalise après coup et je me sens super mal
En plus de ça, je me mets la pression toute seule, en me disant que mon mari va me réclamer tôt ou tard un plat bien carné, j'avais quelques spécialités, et je me demande comment je réagirai, car je serai bien sûr partagée entre lui faire plaisir et camper sur mes résolutions. Et je me mets à culpabiliser de mon choix, puisque c'est moi qui cuisine à 99% ici, ce faisant je le leur impose (à mon mari et ma fille).
Si on mange au dehors, demain midi par exemple on a décidé d'aller au restaurant, c'est compliqué. Comme je fais assiette partagée avec ma fille, je vais lui laisser les morceaux, j'ai lu dans une discu que techniquement ce n'est pas vg, d'ailleurs je suis totalement d'accord avec le raisonnement.
Reste juste que dans la pratique, je ne me vois pas renoncer à certains lieux, certains parfums de cuisine, que ça a fait si longtemps parti de mes plaisirs partagés avec mon mari, je pense à un restaurant chinois, un autre japonais, comment être en accord sans blesser ?
Le fait est que j'ai depuis longtemps expliqué que je ne voulais plus manger autant de viande (qu'avant l'été dernier), que j'ai argumenté sur la santé, les qualités des autres aliments, la créativité de la cuisine vg, bref sur tout ce qui aide à faire passer la pilule, et pour tout ça il me semble bien que mon cher et tendre est assez d'accord (d'ailleurs il n'est pas totalement privé puisqu'il peut en manger le midi au travail). MAIS... je ne voulais pas non plus l'effrayer, le braquer, j'ai pensé que ça pouvait venir en douceur, alors je n'ai pas prononcé le mot VG... Enfin, sans doute que si, mais pas clairement, alors clair dans ma tête...