Etre en accord avec soi-même.

Discussion passionnante du début à la fin...

Moi je l'ai toujours dit, je ne suis pas Végétarien par goût mais par conviction...

Au départ je trouvais même le Végétarisme extrême quelquepart (mais ca me plaisait parcque je voulais en quelque sorte me rebeller contre le système en place), parcque pour avoir vécu 8 ans en Afrique Noire je trouve fantastique le mode de vie des pygmées par exemple complètement en harmonie avec la nature...

Sauf qu'aujourd'hui on vit dans un monde extrême, ou la vie et en particulier animale N'EST PAS RESPECTEE à son extrême ! Alors si on ne mêts pas en face une sorte de contre tendance on arrivera à rien pour faire emérger une prise de conscience collective !

Et puis à force, mes goûts on changés, mon rapport à la vie aussi qui fait que tant que j'en aurais les moyens et le choix je ne mangerais plus de cadavres !

Voila c'est ça être en accord avec moi même dans mon cas... ma position dans la chaîne alimentaire je m'en fous... le poids de mes actions pour faire évoluer le monde au contraire parcontre m'interpelle :-d
 
Evela Vela":tl2ysluu a dit:
Au départ je trouvais même le Végétarisme extrême quelquepart (mais ca me plaisait parcque je voulais en quelque sorte me rebeller contre le système en place), parcque pour avoir vécu 8 ans en Afrique Noire je trouve fantastique le mode de vie des pygmées par exemple complètement en harmonie avec la nature...
Justement, dans "Ushuaïa nature" du mercredi 2 juillet, un reportage sur les indiens Zo'és, une tribu primitive en parfaite harmonie avec la nature. Nicolas Hulot et l'anthropologue Erling Söderström vont découvrir le paradis sur terre. Un ilot de liberté où nulle place n'est accordée à l'artifice, où aucune hiérarchie sociale n'est imposée, où nature rime avec humanité. Il semblerait que le secret du bonheur se trouve du côté de ces derniers hommes libres…

http://www.coulisses-tv.fr/modules.php? ... e&sid=5428

http://ushuaia-terre.tf1.fr/ushuaia-ter ... bres-.html
 
J'ai été touchée par ce que tu as écrit, Romain, parce que ces réflexions, ces interrogations, je les ai eues aussi et je continuerai sûrement à les avoir.
J'ai eu écho, il y a quelques années, d'un projet communautaire près de chez moi. Où rien n'existait, où tout était à créer. Pas d'eau, pas d'électricité (ça encore, c'est assez facile à mettre en place). J'étais dans un autre projet, familial, un bébé, je n'ai pas franchi le pas.
Si j'étais seule (sans enfant, sans amis, sans famille), je crois que je me lancerais dans l'aventure. Mais ce n'est pas le cas. Et puis, à vrai dire, aujourd'hui, je n'ai plus envie de ça mais plutôt d'adapter ma vie en société à ce qui me tient à coeur. Je rejoins Noann et les autres sur ce qui a été dit.
Si tu as envie de suivre une expérience de ce type, tu as le projet wildroots aux Etats-Unis. :)

Sinon, rien à voir, si ce n'est que cela a été évoqué, faut arrêter avec les clichés sur le Larzac et ses beatniks. ;) Et puis, en passant, ce sont des brebis (pour faire de la tomme et du pérail), pas des moutons. Mais si vous avez envie de connaître l'histoire de ce plateau, ce qui fait qu'il est si connu (en dehors de ses paysages incroyables qui n'ont rien à envier au Burren en Irlande), vous pouvez faire un tour là :
http://www.larzac.org/resister/index.php
 
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