Amina
Broute de l'herbe
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Je suis sans doute hyper sensible, car même après des années de militantisme dans la protection animale, le végétarisme, l'antispécisme normal et équilibré des végétar-l-iens, je continue à pleurer face à certaines photos, et en plus, j'ai des visions !
Depuis des années et des années, j'ai des visions de choses qui sont faites aux animaux. Des choses qui arrivent dans le secret des chaumières ou des labos, des choses qu'on ne montre jamais, et je vois tout comme si j'y étais.
Ce qui m'avait rendue végé quand j'étais jeunette, c'était justement une sorte de rêve où je voyais du bétail tué à la tronçonneuse ! J'avais déjà envie d'être végé avant et c'est cela qui avait déterminé définitivement mon choix de vie, car c'est un choix de vie et non un régime.
Je ne peux pas surmonter mon chagrin, et toutes ces visions que j'ai sur les animaux-martyres je les assume toujours avec douleur. La valeur de ce qu'on sait de manière surnaturelle échappe à beaucoup, mais c'est encore plus puissant parce que plus intime qu'une simple image volée dans un processus de martyre animal. J'ai peu de possibilités d'expliquer comment cela fonctionne, mais tous les êtres qui ont une sensibilité exacerbée ont le pouvoir de comprendre que la nature nous réserve encore bien des surprises...
Bien-sur, je ne vois pas que des atrocités, et ne reçois pas que la souffrance animale, c'est un vaste domaine qu'il n'est plus possible d'ignorer et de nier car la galère du négateur se conçoit comme un interdit de vivre et de penser, la volonté de savoir doit être plus forte que le déni !
Depuis des années et des années, j'ai des visions de choses qui sont faites aux animaux. Des choses qui arrivent dans le secret des chaumières ou des labos, des choses qu'on ne montre jamais, et je vois tout comme si j'y étais.
Ce qui m'avait rendue végé quand j'étais jeunette, c'était justement une sorte de rêve où je voyais du bétail tué à la tronçonneuse ! J'avais déjà envie d'être végé avant et c'est cela qui avait déterminé définitivement mon choix de vie, car c'est un choix de vie et non un régime.
Je ne peux pas surmonter mon chagrin, et toutes ces visions que j'ai sur les animaux-martyres je les assume toujours avec douleur. La valeur de ce qu'on sait de manière surnaturelle échappe à beaucoup, mais c'est encore plus puissant parce que plus intime qu'une simple image volée dans un processus de martyre animal. J'ai peu de possibilités d'expliquer comment cela fonctionne, mais tous les êtres qui ont une sensibilité exacerbée ont le pouvoir de comprendre que la nature nous réserve encore bien des surprises...
Bien-sur, je ne vois pas que des atrocités, et ne reçois pas que la souffrance animale, c'est un vaste domaine qu'il n'est plus possible d'ignorer et de nier car la galère du négateur se conçoit comme un interdit de vivre et de penser, la volonté de savoir doit être plus forte que le déni !