La derniere fois que j'ai posté sur ce forum remonte à très loin depuis je suis devenu vegan mais mon caractère lui n'a jamais changé je me pose des questions et je veux toujours mettre à l'épreuve mes croyances pour voir si elle tienne la route alors c'est parti.
J'ai lu beaucoup de choses pour devenir vegane les cahiers antispecistes puis des livres et enfin j'ai vu la souffrance des animaux que je mangeais pour finir vegane parce que enfin voilà cela s'imposait à moi comme une évidence j'ai constaté que ça tenait debout.
D'un point de vue purement philosophique c'est solide après j'ai voulu régler des détails qui me semblait insignifiant du moins je croyais.
Voila ça se résume à cela j'arrive à me convaincre qu'une vache est digne de respect par son caractère conscient par sa capacité à ressentir la douleur ses facultés pour s'attacher et aimer c'est incontestable si on s'intéresse en détail à ce qu'ils sont.
Mais pour un ver par exemple j'ai plus de mal parce que il est "câblé" pour la douleur aucun doute mais tous ses comportement sont instinctifs et automatique (à moins que je ne trompe).
Mais en faite peut importe parce qu'il ya des animaux là différence de degré est telle que c'est difficile de concevoir une seconde qu'ils souffrent, étant donné le caractère rudimentaire de leur anatomie.
Je sais que ça a l'air de question bouclé pour la plupart des veganes mais pas pour moi.
Voici une expérience de pensée simple :je pince quelqu'un et cette personne à mal et le montre clairement le préjudice est la on lui fait du mal et cela se manifeste bien puis je pince une autre personne et elle ne le sens pas et c'est moi qui vais dire que je l'ai pincé.
Du coup ai-je fait quelque chose de mal si la personne ne rend même pas compte ?
Alors bien sûr il y a le faite de mettre fin à la vie et la le souci est plus ou moins résolu car on va sacraliser la vie et appliquer le principe de moindre action.
Si j'agis purement par nécessité et que les ressources que j'utilise sont "minimales" alors mes actions ne sont qu'obligation, j'agis que pour ma survie et de cela nait le principe du moindre mal.
Car le fait agir plus que ses besoins fait que on peut nuire inutilement dans l'absolu je me rend compte que le veganisme me penser à l'ascetisme on renonce à un plaisir individuelle et égoïste pour le bien commun
On peut même faire une connexion avec le communisme par exemple difficile d'être vegane en étant de droite parce qu'ils défendent la valeur de leur action, leur existence à un sens par la virtuosité de leur action souvent ils défendent bien plus que n'importe qui les savoir faire, ils peuvent défendre la corrida au nom du savoir faire à cause justement du postulat qui est derrière ils ne cherchent pas à ne pas nuire ils cherchent à performer leur existence par leur action et plus elles sont complexes plus ils les défendent.
Du coup c'est pour cela si tu pousse ce raisonnement à l'extrême c'est pour cela qu'a l'extrême droite ils méprisent la culture étrangère elles est considéré comme moins complexe voir sauvages ils font un procès de complexité mais au delà de ça un procès du sens (pour eux les actions ont un sens donc plus il y a complexité plus il y a de sens).
Tandis que l'ascetisme prend du sens par les autres c'est l'inquiétude d'empêcher les autres de s'accomplir par notre existence le sens ici vient de la prise en compte d'autrui et non pas de nous l'ascetisme est pour moi la source de l'altruisme.
Revenons au ver de terre si tu ne sacralise pas la vie alors tu dois savoir si tu porte préjudice à ce ver la réponse est non en effet comme l'individu qui se rend pas compte qu'il est pincé par son caractère instinctif le ver de terre ne sait pas sa douleur pour la savoir il faut accuser du coup porter une attention particulière à cette douleur, sa douleur il faut l'apprendre la savoir le ver n'est qu'instinct il ne peut pas avoir une connaissance de sa douleur malgré son système nerveux rudimentaire alors... Je pense que vous avez compris.
Pour me connaître le fait que j'arrive à avoir de l'empathie envers une vache c'est le faite qu'elle puisse justement savoir cette douleur et c'est cela que j'appelle la souffrance même une crevette peut faire cela.
Mais il ya des insecte comme le ver j'en doute. Quand on tue une vache même si on "l'endort" son identité n'est plus la même on la dépossède d'une capacité pour la tuer non seulement on la tue mais on la dépossède d'elle même on lui prive de son identité le crime est double.
Pour un insecte tel que le ver le seul crime qui reste c'est sa vie en tant que tel mais après même les plantes vivent et finalement on en revient au principe du moindre mal mais est ce que c'est immorale de ne pas l'appliquer ?
Bon voilà si tu as lu ce pavé bravo tu as mon estime et si tu réponds en plus tu reste dans mon cœur parce que se payer le luxe de répondre à un inconnu avec ses questions bizarres tu est forcément quelqu'un de bien merci d'avance.
Ps:désolé je n'ai pas de pc alors je compose mes messages avec mon portable désolé pour la syntaxe et l'orthographe j'ai fait de mon mieux.
J'ai lu beaucoup de choses pour devenir vegane les cahiers antispecistes puis des livres et enfin j'ai vu la souffrance des animaux que je mangeais pour finir vegane parce que enfin voilà cela s'imposait à moi comme une évidence j'ai constaté que ça tenait debout.
D'un point de vue purement philosophique c'est solide après j'ai voulu régler des détails qui me semblait insignifiant du moins je croyais.
Voila ça se résume à cela j'arrive à me convaincre qu'une vache est digne de respect par son caractère conscient par sa capacité à ressentir la douleur ses facultés pour s'attacher et aimer c'est incontestable si on s'intéresse en détail à ce qu'ils sont.
Mais pour un ver par exemple j'ai plus de mal parce que il est "câblé" pour la douleur aucun doute mais tous ses comportement sont instinctifs et automatique (à moins que je ne trompe).
Mais en faite peut importe parce qu'il ya des animaux là différence de degré est telle que c'est difficile de concevoir une seconde qu'ils souffrent, étant donné le caractère rudimentaire de leur anatomie.
Je sais que ça a l'air de question bouclé pour la plupart des veganes mais pas pour moi.
Voici une expérience de pensée simple :je pince quelqu'un et cette personne à mal et le montre clairement le préjudice est la on lui fait du mal et cela se manifeste bien puis je pince une autre personne et elle ne le sens pas et c'est moi qui vais dire que je l'ai pincé.
Du coup ai-je fait quelque chose de mal si la personne ne rend même pas compte ?
Alors bien sûr il y a le faite de mettre fin à la vie et la le souci est plus ou moins résolu car on va sacraliser la vie et appliquer le principe de moindre action.
Si j'agis purement par nécessité et que les ressources que j'utilise sont "minimales" alors mes actions ne sont qu'obligation, j'agis que pour ma survie et de cela nait le principe du moindre mal.
Car le fait agir plus que ses besoins fait que on peut nuire inutilement dans l'absolu je me rend compte que le veganisme me penser à l'ascetisme on renonce à un plaisir individuelle et égoïste pour le bien commun
On peut même faire une connexion avec le communisme par exemple difficile d'être vegane en étant de droite parce qu'ils défendent la valeur de leur action, leur existence à un sens par la virtuosité de leur action souvent ils défendent bien plus que n'importe qui les savoir faire, ils peuvent défendre la corrida au nom du savoir faire à cause justement du postulat qui est derrière ils ne cherchent pas à ne pas nuire ils cherchent à performer leur existence par leur action et plus elles sont complexes plus ils les défendent.
Du coup c'est pour cela si tu pousse ce raisonnement à l'extrême c'est pour cela qu'a l'extrême droite ils méprisent la culture étrangère elles est considéré comme moins complexe voir sauvages ils font un procès de complexité mais au delà de ça un procès du sens (pour eux les actions ont un sens donc plus il y a complexité plus il y a de sens).
Tandis que l'ascetisme prend du sens par les autres c'est l'inquiétude d'empêcher les autres de s'accomplir par notre existence le sens ici vient de la prise en compte d'autrui et non pas de nous l'ascetisme est pour moi la source de l'altruisme.
Revenons au ver de terre si tu ne sacralise pas la vie alors tu dois savoir si tu porte préjudice à ce ver la réponse est non en effet comme l'individu qui se rend pas compte qu'il est pincé par son caractère instinctif le ver de terre ne sait pas sa douleur pour la savoir il faut accuser du coup porter une attention particulière à cette douleur, sa douleur il faut l'apprendre la savoir le ver n'est qu'instinct il ne peut pas avoir une connaissance de sa douleur malgré son système nerveux rudimentaire alors... Je pense que vous avez compris.
Pour me connaître le fait que j'arrive à avoir de l'empathie envers une vache c'est le faite qu'elle puisse justement savoir cette douleur et c'est cela que j'appelle la souffrance même une crevette peut faire cela.
Mais il ya des insecte comme le ver j'en doute. Quand on tue une vache même si on "l'endort" son identité n'est plus la même on la dépossède d'une capacité pour la tuer non seulement on la tue mais on la dépossède d'elle même on lui prive de son identité le crime est double.
Pour un insecte tel que le ver le seul crime qui reste c'est sa vie en tant que tel mais après même les plantes vivent et finalement on en revient au principe du moindre mal mais est ce que c'est immorale de ne pas l'appliquer ?
Bon voilà si tu as lu ce pavé bravo tu as mon estime et si tu réponds en plus tu reste dans mon cœur parce que se payer le luxe de répondre à un inconnu avec ses questions bizarres tu est forcément quelqu'un de bien merci d'avance.
Ps:désolé je n'ai pas de pc alors je compose mes messages avec mon portable désolé pour la syntaxe et l'orthographe j'ai fait de mon mieux.