Suite de l'analyse sur l’allégorie de la caverne,qu'on a fait en cours et qui ma parue intéressante et importante.Tous les végé s'il il veulent comprendre la réaction des autres doivent comprendre ce texte car il peux leur apprendre beaucoup.Je pourrais limite mettre cela dans le "relation social" du forum.
J'espère que vous prendrez le temps de lire ce texte
Socrate dialogue avec Glaucon et parle du rapport qu’on les hommes avec le monde extérieur, le monde réel, avec les autres. Pour faire comprendre a Glaucon ce qu’est le fait, l’idée de penser, il va faire appel à une petite histoire.
Il demande a Glaucon d’imaginer une caverne qui représente le monde sensible, c’est-à-dire le monde que les hommes perçoivent avec leur 5 sens, il représente le monde et la société. Dans cette même caverne, il y a des prisonniers enchainer depuis leur enfance Cette métaphore fait référence a la condition humaine qui se contente des apparences et qui n’a pas conscience de son ignorance et se contente de vivre dans l’illusion et un pseudo savoir. Car en effet les hommes ont tendance à prendre pour vrai de simple opinion, mais le plus important et le plus crucial et qu’ils sont persuadé d’être des savant et qu’il exerce leur propre liberté de penser alors qu’il sont aveugler de par leur préjugé, de par leur connaissance non fondée. Il confonde la croyance et la pensé, l’opinion et la vérité. Pour philosopher, pour penser, il faut à la base ce libérées des préjugés.
La liberté et la condition même de la maturité intellectuel, donc la liberté n’est pas l’anarchie car pour être libre il faut une dicipline,et nous l’avons naturellement. On doit donc développer ces aptitudes par la « culture » par « l’éducation ».Mais l’homme en est a en devenir d’où le fait de développer ces aptitudes. Il est facile de répété quelque chose que l’on a entendue, de croire, de récité des choses que de chercher par soi-même que ce que l’on voit, apprend et vrai ou faux. Les prisonniers répète aveuglement ce qu’il entende, ces prisonnier ce satisfait uniquement de leur « représentation » sensible » et il prenne du plaisir a répété ce qu’il entende mais ils sont inconscient de leur condition. Ils sont persuadé d’avoir la réalité de la détenir, d’être des savants non conscient de leur ignorance.
Ensuite il y a la libération des prisonier.Dans cette action le but et de faire prendre « conscience » de ces opinions non fondée en les mettant face a la réalité. S’il souffre c’est que les personnes n’aiment être contredit et être remis en question. Nos croyances nous touches personnellement intimement et quad quelqu’un nous fais prendre conscience de ces croyances il se sent agresser condamné. L’image de la monté escarpé représente le chemin de la connaissance, pour voir la réalité il faut la pensé .Il faut prendre conscience de quelque chose pour penser. Il faut être capable de penser et capable d’abandonner ces croyances et ces opinion, préjugé non fondée et dans ce cas la être « ouvert d’esprit »et donc de voir les choses tel qu’elle sans influence. Cela demande de franchir un cap difficile, cela constitue une épreuve car nos opinions et croyance sont des certitudes. Quand on est persuadé d’être dans le vrai nous refusons d’admettre la probabilité d’être remis en question, d’être dans l’erreur. Le prisonnier souffre car il ne veut pas abandonné ces préjugés et croyance.
Pour philosopher il faut démontrer, prouver .Ceci et représenter par la sortie de la caverne, cela va de la sorite de celle-ci a la contemplation du soleil. Donc il y a 4 étapes pour philosopher
En premier prendre conscience de notre opinion non fondée et d’avoir tort.
En deuxième envisager les évidentes et ensuite le chose les plus complexe. Diviser nos pensées et nos idées.
La troisième et de recevoir ce que l’on a vérifié et qu’on est capable de justifier.
Et enfin celui qui c’est ce qu’il croit et qui croit ce qu’il c’est ne seras pas dans l’illusion.
Si ce n’est pas le cas alors la personne sera un fanatique, qui sont des croyants, des croyants extrêmes, qui adhère aveuglement à ce qu’il croit et non capable de prendre du recul. Il est « extrémiste » car défend des opinions parmi tant d’autres et qu’il s’acharne à les défendre et donc le dialogue n’est pas possible aces ces gens-là. Cette partie représente la fin de l’allégorie de la caverne ou l’homme redescend dans la caverne vers les prisonniers. C’est aussi une représentation de la fin de vie de Socrate.
La conclusion et qu’on ne peut philosopher avec des gens butés et que nombreux à l’âge adultes font preuve d’immaturité intellectuel au point de sombré dans le chaos et la barbarie.
