Amina
Broute de l'herbe
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Si vous avez des enfants, arrivez-vous à leur faire manger de tout (tout ce qui est vegéta*ien ?). Je n'ai plus le problème, mais je l'ai eu, étant végétarienne, ma fille l'a été automatiquement, mais elle avait des refus alimentaires envers les crudités notamment et les légumes d'une manière générale, hormis les petits pois... et les carottes crues, râpées ou croquées...par contre, les fruits marchaient mieux et heureusement, les vitamines étaient là.
J'ai allaité ma fille jusqu'à deux ans, en le cachant aux pédiatres, pour eux, un gamin doit commencer à manger âgé de quelques mois et de la viande dans le biberon ! Donc, résistance passive mais efficace à ce sujet, j'ai refusé.
Elle a grandi en fait aux tofus, comme déjà on en trouvait plein de commerces, ça a facilité les choses, aux pâtes bio, aux jus de fruits et aux fruits, et quelques laitages de manière limitée et écologique... et passé l'étape, elle avait tendance, une fois étudiante sans maman et seule, à vouloir garder ce type d'alimentation.
Je l'ai souvent disputée parce qu'elle ne mangeait pas assez de "cru" et de légumes, mais elle m'a affirmé récemment qu'elle avait changé... Je veux bien le croire, c'est à dire l'imaginer...
La question des "jeunes" végéta*iens aujourd'hui est de galérer comme les autres dans un cadre atténuant les différences. Etre veg. a paru être acquiescé par certains et dénigrés par d'autres, mais la compassion, le sens en est absent en général, c'est ça qui m'étonne dans la jeune génération. C'est pourtant le moteur du végéta*isme. On ne fait pas du végéta*isme pour sa santé perso, en général, c'est plus ouvert et moins égocentrique. La bête dans l'homme passe la corde au cou d'une autre pour la torturer et l'égorger sans aimer, sans en souffrir, sans vouloir savoir que ça souffre ! C'est pour nous une torture intérieure quand on est conscient, on ne passe jamais l'étape en devenant indifférents ! Devenir végétarien par amour, c'est une preuve d'évolution, un quai vers des valeurs différentes... Si le respect de l'animal est transmis aux générations futures, l'humanité pourrait changer, en vrai !
J'ai allaité ma fille jusqu'à deux ans, en le cachant aux pédiatres, pour eux, un gamin doit commencer à manger âgé de quelques mois et de la viande dans le biberon ! Donc, résistance passive mais efficace à ce sujet, j'ai refusé.
Elle a grandi en fait aux tofus, comme déjà on en trouvait plein de commerces, ça a facilité les choses, aux pâtes bio, aux jus de fruits et aux fruits, et quelques laitages de manière limitée et écologique... et passé l'étape, elle avait tendance, une fois étudiante sans maman et seule, à vouloir garder ce type d'alimentation.
Je l'ai souvent disputée parce qu'elle ne mangeait pas assez de "cru" et de légumes, mais elle m'a affirmé récemment qu'elle avait changé... Je veux bien le croire, c'est à dire l'imaginer...
La question des "jeunes" végéta*iens aujourd'hui est de galérer comme les autres dans un cadre atténuant les différences. Etre veg. a paru être acquiescé par certains et dénigrés par d'autres, mais la compassion, le sens en est absent en général, c'est ça qui m'étonne dans la jeune génération. C'est pourtant le moteur du végéta*isme. On ne fait pas du végéta*isme pour sa santé perso, en général, c'est plus ouvert et moins égocentrique. La bête dans l'homme passe la corde au cou d'une autre pour la torturer et l'égorger sans aimer, sans en souffrir, sans vouloir savoir que ça souffre ! C'est pour nous une torture intérieure quand on est conscient, on ne passe jamais l'étape en devenant indifférents ! Devenir végétarien par amour, c'est une preuve d'évolution, un quai vers des valeurs différentes... Si le respect de l'animal est transmis aux générations futures, l'humanité pourrait changer, en vrai !