Epiméthée
Mange de la salade
- Inscrit
- 6/2/10
- Messages
- 334
- Score de réaction
- 0
(Je post ça pour avoir vos avis, ou juste faire réfléchir un peu, c'est un texte que j'avais poster sur vegan.fr 6 jours après avoir décider de devenir (et être devenu) végétalien.
J'ai eu de bonne réponses mais d'autres avis m'intéressent aussi car je m'interroge à nouveau (jsuis un mauvais végétalien !) sur les mollusque et le miel que j'ai mangé des certaines situations (pression sociale, je ne rentrerais pas dans les détails).
Mais je pense que maintenant je n'en mangerais plus, mais j'aimerais bien avoir plus d'avis).
==>
"Nous somme tous d'accord pour dire que les animaux souffrent, ressentent la douleur, la craigne, veulent l'éviter, etc. Tout comme nous.
Mais certains animaux peuvent-ils être inclus dans cette catégorie ?
Je veux dire que certains animaux à un état très primitif, n'auraient-ils pas une "sentience" inexistante ?
Je commence mon raisonnement au niveau de la cellule : elle ne souffre pas, elle meurt point.
Nous somme tous des êtres pluricellulaires, les végétaux, les animaux. Les animaux possèdent des cellules nerveuses, presque tous ont un système nerveux, et la plupart un cerveau formé de milliards de cellules nerveuses, ces cellules nerveuses donnent naissances à la douleur et aux sentiments qui découlent de la douleur.
je me demande quand peut-on poser la limite entre végétal (cellule différentes, pas de cellules nerveuses mais des réponses de l'organisme végétal à de nombreux stimuli) / un groupe non défini / et les animaux (groupe incluant autant des vertébrés que des êtres de quelques millimètres).
Il n'y a pas un nombre limite de neurones pour dire, "avant 700 000 000 neurones totaux et dont au moins 200 000 000 en tant que "cerveau" un être ne ressent pas la douleur mais possède simplement une réaction "réflexe". :bennn:
J'ai lu que certains animaux ne possèdent pas des "neurones de douleur qui sont des neurones spécifiques, (qui ne sont pas présents chez tous les animaux)". Comme par exemple les mouches.
j'ai aussi lu : "Quant à la douleur, elle n'ai le résultat que de neurotransmetteurs, des substances qui sont secrété dans les synapses (espace entre les cellules nerveuse) qui vont se coller à un récepteur spécifique sur les neurones. Chez les bestioles "simple" s'il n'y a pas de récepteur et/ou pas de neurotransmetteurs donc pas de douleur." Là je suis un peu septique mais je n'ai pas fait d'étude en neurologie ou neuroscience... :bennn:
Si je me pose toutes ces questions c'est parce que pour moi être végétalien et devenir végan n'est pas quelque chose de dogmatique, comme pour beaucoup de toute façon, je pense. Et que il ne faut pas se reposer sur des certitudes mais toujours donner lieu à la réflexion.
Après, je me bat surement contre des moulins à vent tel Donquichotte. :1pourri: Mais le fait de savoir exactement où l'éthique animale abolitionnisme mène serais un plus. "Ne plus jamais toucher à des "animaux" même si il est prouvé qu'ils sont plus proches d'une plante que d'un animal ?"
En plus au sens biologique du terme même des plantes peuvent être stressées.
(édit du titre)
Personnellement je ne mange pas de moule dans le doute, mais je trouve que certains mollusque ont une anatomie qui a beaucoup régressé et je ne suis pas sur que leurs souffrances soit proches des pleurs d'une vache mais qu'elles sont plutôt plus proche d'une rose dans un vase.
J'attends vos avis, mes convictions sur ce sujet sont très floues et j'en apprendrais plus en vous lisant."
J'ai eu de bonne réponses mais d'autres avis m'intéressent aussi car je m'interroge à nouveau (jsuis un mauvais végétalien !) sur les mollusque et le miel que j'ai mangé des certaines situations (pression sociale, je ne rentrerais pas dans les détails).
Mais je pense que maintenant je n'en mangerais plus, mais j'aimerais bien avoir plus d'avis).
==>
"Nous somme tous d'accord pour dire que les animaux souffrent, ressentent la douleur, la craigne, veulent l'éviter, etc. Tout comme nous.
Mais certains animaux peuvent-ils être inclus dans cette catégorie ?
Je veux dire que certains animaux à un état très primitif, n'auraient-ils pas une "sentience" inexistante ?
Je commence mon raisonnement au niveau de la cellule : elle ne souffre pas, elle meurt point.
Nous somme tous des êtres pluricellulaires, les végétaux, les animaux. Les animaux possèdent des cellules nerveuses, presque tous ont un système nerveux, et la plupart un cerveau formé de milliards de cellules nerveuses, ces cellules nerveuses donnent naissances à la douleur et aux sentiments qui découlent de la douleur.
je me demande quand peut-on poser la limite entre végétal (cellule différentes, pas de cellules nerveuses mais des réponses de l'organisme végétal à de nombreux stimuli) / un groupe non défini / et les animaux (groupe incluant autant des vertébrés que des êtres de quelques millimètres).
Il n'y a pas un nombre limite de neurones pour dire, "avant 700 000 000 neurones totaux et dont au moins 200 000 000 en tant que "cerveau" un être ne ressent pas la douleur mais possède simplement une réaction "réflexe". :bennn:
J'ai lu que certains animaux ne possèdent pas des "neurones de douleur qui sont des neurones spécifiques, (qui ne sont pas présents chez tous les animaux)". Comme par exemple les mouches.
j'ai aussi lu : "Quant à la douleur, elle n'ai le résultat que de neurotransmetteurs, des substances qui sont secrété dans les synapses (espace entre les cellules nerveuse) qui vont se coller à un récepteur spécifique sur les neurones. Chez les bestioles "simple" s'il n'y a pas de récepteur et/ou pas de neurotransmetteurs donc pas de douleur." Là je suis un peu septique mais je n'ai pas fait d'étude en neurologie ou neuroscience... :bennn:
Si je me pose toutes ces questions c'est parce que pour moi être végétalien et devenir végan n'est pas quelque chose de dogmatique, comme pour beaucoup de toute façon, je pense. Et que il ne faut pas se reposer sur des certitudes mais toujours donner lieu à la réflexion.
Après, je me bat surement contre des moulins à vent tel Donquichotte. :1pourri: Mais le fait de savoir exactement où l'éthique animale abolitionnisme mène serais un plus. "Ne plus jamais toucher à des "animaux" même si il est prouvé qu'ils sont plus proches d'une plante que d'un animal ?"
En plus au sens biologique du terme même des plantes peuvent être stressées.
(édit du titre)
Personnellement je ne mange pas de moule dans le doute, mais je trouve que certains mollusque ont une anatomie qui a beaucoup régressé et je ne suis pas sur que leurs souffrances soit proches des pleurs d'une vache mais qu'elles sont plutôt plus proche d'une rose dans un vase.
J'attends vos avis, mes convictions sur ce sujet sont très floues et j'en apprendrais plus en vous lisant."