andrea1
Jeune bulbe
- Inscrit
- 9/4/16
- Messages
- 11
- Score de réaction
- 0
Bonjour tout le monde,
Donc je me présente, Andrea, de L.A. (non non, pas Los Angeles, Loire Atlantique, et oui c'est moins impressionnant.) pas loin de Nantes.
Après 28 années d'un régime omnivore, voila que tout récemment et après déjà deux ans de réflexion sur le sujet, je me suis enfin décidé à basculer du côté -presque- vegan de la force. (consomme toujours du lait à l'occasion)
Déjà tout gamin, je n'étais pas plus attiré par la viande, ce qui est plutôt ironique quand on est fils de boucher...
Alors forcément quand on est gamin, on subit, quitte à faire des boulettes, à avoir des hauts-le-coeur, de rester planter devant son assiette jusqu'au gouter, parfois même à retrouver son assiette au dîner.
En grandissant, ça ne s'est pas amélioré, et puis il y a quelques mois,je me suis retrouvé devant mon assiette, à scruter une escalope de dinde, perplexe, blasé, sans trouver un réel intérêt à mon repas.
Non pas que je sois une buse en cuisine, au contraire.
C'est là qu'il y a vraiment eu cette prise de conscience, cultivée par des années d'assimilation d'informations sur les misères que peuvent subir les élevages, les cochonneries données aux animaux en guise d'alimentation, j'irais même au delà en parlant des cochonneries dont ces mêmes bêtes sont porteuses, et puis forcément le fait de tuer.
Depuis, c'est un peu niais à dire, mais je me sens comme dans ces pubs pour les yaourts verts : "bien à l'intérieur".
J'ai repris plaisir à cuisiner, je suis d'ailleurs spécialisé dans les soupes, bon d'accord, ça n'est plus trop de saison. (mais je partagerais avec plaisir mes nombreuses recettes)
Bref je découvre et redécouvre de(s) nouvelles saveurs avec à chaque fois cette impression de trop peu, une certaine satisfaction, la hâte de passer au repas suivant, mais surtout la fierté de ne plus participer à ces tueries de masse.
Donc je me présente, Andrea, de L.A. (non non, pas Los Angeles, Loire Atlantique, et oui c'est moins impressionnant.) pas loin de Nantes.
Après 28 années d'un régime omnivore, voila que tout récemment et après déjà deux ans de réflexion sur le sujet, je me suis enfin décidé à basculer du côté -presque- vegan de la force. (consomme toujours du lait à l'occasion)
Déjà tout gamin, je n'étais pas plus attiré par la viande, ce qui est plutôt ironique quand on est fils de boucher...
Alors forcément quand on est gamin, on subit, quitte à faire des boulettes, à avoir des hauts-le-coeur, de rester planter devant son assiette jusqu'au gouter, parfois même à retrouver son assiette au dîner.
En grandissant, ça ne s'est pas amélioré, et puis il y a quelques mois,je me suis retrouvé devant mon assiette, à scruter une escalope de dinde, perplexe, blasé, sans trouver un réel intérêt à mon repas.
Non pas que je sois une buse en cuisine, au contraire.
C'est là qu'il y a vraiment eu cette prise de conscience, cultivée par des années d'assimilation d'informations sur les misères que peuvent subir les élevages, les cochonneries données aux animaux en guise d'alimentation, j'irais même au delà en parlant des cochonneries dont ces mêmes bêtes sont porteuses, et puis forcément le fait de tuer.
Depuis, c'est un peu niais à dire, mais je me sens comme dans ces pubs pour les yaourts verts : "bien à l'intérieur".
J'ai repris plaisir à cuisiner, je suis d'ailleurs spécialisé dans les soupes, bon d'accord, ça n'est plus trop de saison. (mais je partagerais avec plaisir mes nombreuses recettes)
Bref je découvre et redécouvre de(s) nouvelles saveurs avec à chaque fois cette impression de trop peu, une certaine satisfaction, la hâte de passer au repas suivant, mais surtout la fierté de ne plus participer à ces tueries de masse.
Mes les enfants ont crié un grand STOP, trop de soupes apparemment... 
<br /
br /> 
