Là c'est clair qu'il est question de viande d'un bout à l'autre, mais de l'animal pas vraiment. Pim le boucher aime les vaches parce qu'il aime passionnément les steaks, point. Tout reste froid et mécanique, les bêtes, le boucher, le texte. Et l'idée de nécessité de la viande est bien trop présente tout au long du livre pour donner une véritable portée aux quelques réflexions pseudo-philosophiques. On se retrouve comme je l'ai écrit dans l'article avec un recueil de curiosités viandardes, c'est tout... Dommage. Enfin ce n'est que mon avis, peut-être certains y verront-ils des choses plus intéressantes. Mais oui moi aussi je trouve qu'il y a encore du boulot ! Malheureusement je ne vois que trop rarement des livres qui associent qualité littéraire et discours à tendance antispéciste... Mais je suis loin d'avoir tout lu évidement.