J'ai suivi mon mari dans un „trou perdu“ (avant j'habitais en bordure de ville). Et voilà que nous aurions peut-être la possibilité de partir dans une petite ville! Il y a deux ans j'aurais sauté sur l'occasion, il y aurait beaucoup d'avantages mais j'hésite finalement pour deux-trois choses :
1. retourner vivre en ville après avoir habité à la campagne : plus être entouré de champs et de forêts au pas de la porte, plus de jardin pour fruits et légumes maisons, plus de cueillettes sauvage, plus de ferme à proximité, plus d'animaux sauvages à observer (enfin sauvage, quand on voit que certains viennent dans le jardin ).
Par contre, là-bas on trouverait quand même la nature dès qu'on s'éloignerait un peu, alors qu'ici c'est un peu ville (moche) sur ville (moche) et les montagnes et lacs me manquent.
2. on est toujours très très juste niveau budget à cause du remboursement de notre maison, mais là-bas ce serait louer un appartement dans une ville chère : un peu plus d'argent chaque mois, moins de souci de budget pour les quinze prochaines années mais pas de bien immobilier au final.
3. Si je n'étais pas avec lui, mon mari n'aurait pas imaginé un seul instant partir d'ici. Il aime énormément la nature et les animaux, il a passé tout son temps libre enfant à se balader dans la forêt. Maintenant son temps libre il le passe à construire la maison et le jardin. Bien que la décision vienne entièrement de lui (j'étais très surprise qu'il cherche et trouve une place là-bas) je me demande à quel point il se rend compte de ce que cela implique.
Sachant aussi que le temps passé à constuire la maison, soigner le jardin, ... est assez considérable et pourrait être à ce moment là utilisé pour de plus longues balades natures (mais j'imagine que la maison terminée nous aurions plus de temps ici également).
Vous ne pouvez bien sur pas décider pour moi, mais si certains d'entre vous ont vécu la même situation, déménagement de campagne à ville, comment est-ce que vous l'avez vécu/ le vivez? Ne plus avoir la nature "directement"...
J'ai vu en tout cas pendant mes études que certains venus pour étudier à dans ma ville ont vraiment eu du mal à supporter. Mais je me dis qu'ils n'avaient que peu de temps libre ou de moyens pour aller „prendre l'air“ une fois sortis des cours.
1. retourner vivre en ville après avoir habité à la campagne : plus être entouré de champs et de forêts au pas de la porte, plus de jardin pour fruits et légumes maisons, plus de cueillettes sauvage, plus de ferme à proximité, plus d'animaux sauvages à observer (enfin sauvage, quand on voit que certains viennent dans le jardin ).
Par contre, là-bas on trouverait quand même la nature dès qu'on s'éloignerait un peu, alors qu'ici c'est un peu ville (moche) sur ville (moche) et les montagnes et lacs me manquent.
2. on est toujours très très juste niveau budget à cause du remboursement de notre maison, mais là-bas ce serait louer un appartement dans une ville chère : un peu plus d'argent chaque mois, moins de souci de budget pour les quinze prochaines années mais pas de bien immobilier au final.
3. Si je n'étais pas avec lui, mon mari n'aurait pas imaginé un seul instant partir d'ici. Il aime énormément la nature et les animaux, il a passé tout son temps libre enfant à se balader dans la forêt. Maintenant son temps libre il le passe à construire la maison et le jardin. Bien que la décision vienne entièrement de lui (j'étais très surprise qu'il cherche et trouve une place là-bas) je me demande à quel point il se rend compte de ce que cela implique.
Sachant aussi que le temps passé à constuire la maison, soigner le jardin, ... est assez considérable et pourrait être à ce moment là utilisé pour de plus longues balades natures (mais j'imagine que la maison terminée nous aurions plus de temps ici également).
Vous ne pouvez bien sur pas décider pour moi, mais si certains d'entre vous ont vécu la même situation, déménagement de campagne à ville, comment est-ce que vous l'avez vécu/ le vivez? Ne plus avoir la nature "directement"...
J'ai vu en tout cas pendant mes études que certains venus pour étudier à dans ma ville ont vraiment eu du mal à supporter. Mais je me dis qu'ils n'avaient que peu de temps libre ou de moyens pour aller „prendre l'air“ une fois sortis des cours.