Je n'aime ni l'odeur ni le goût de l'alcool. Là on me répond souvent que l'alcool c'est vaste et qu'il y en a bien un que j'aimerais. J'en ai goûté des centaines (juste une gorgée chaque fois) par curiosité et toujours l'impression d'avaler du déboucheur pour toilettes (non, je n'ai pas testé le déboucheur ), même les alcools dilués prévus pour les ados.
Avant (jusqu'à mes 18-19ans environs) je me laissais servir, pour faire plaisir, mais je ne buvais pas. Je filais mon verre à quelqu'un d'autre ou j'en jetais discrètement le contenu, si c'était possible. Puis j'ai décidé que c'était stupide de faire semblant "pour faire plaisir" et il faut bien avouer que ça passe plutôt mal la plupart du temps. Les proches sont habitués, ça va.
Par chance, mon compagnon est exactement comme moi. Ca simplifie les choses.
A part ça, mes parents étaient alcooliques (je ne les vois plus mais j'imagine qu'ils le sont toujours), beaucoup de membres de la famille de mon compagnon également. D'ailleurs ses parents ont dû arrêté quand l'un d'eux a fini à l'hopital, plus très loin de la mort. Ils ont rechuté une fois et tiennent bon depuis. Ils pensaient qu'ils seraient capables de boire raisonnablement mais ont compris que non. Nous sommes très fiers d'eux parce que c'est loin d'être simple. Les autres continuent à leur proposer de l'alcool et ils se sentent obligés d'en avoir chez eux pour le cas où quelqu'un leur rendrait visite...
Chez nous, jamais d'alcool. Je ne considère pas que je reçois mal parce que je n'en propose pas. Avant ses parents ramenaient leurs cartouches...
Avant (jusqu'à mes 18-19ans environs) je me laissais servir, pour faire plaisir, mais je ne buvais pas. Je filais mon verre à quelqu'un d'autre ou j'en jetais discrètement le contenu, si c'était possible. Puis j'ai décidé que c'était stupide de faire semblant "pour faire plaisir" et il faut bien avouer que ça passe plutôt mal la plupart du temps. Les proches sont habitués, ça va.
Par chance, mon compagnon est exactement comme moi. Ca simplifie les choses.
A part ça, mes parents étaient alcooliques (je ne les vois plus mais j'imagine qu'ils le sont toujours), beaucoup de membres de la famille de mon compagnon également. D'ailleurs ses parents ont dû arrêté quand l'un d'eux a fini à l'hopital, plus très loin de la mort. Ils ont rechuté une fois et tiennent bon depuis. Ils pensaient qu'ils seraient capables de boire raisonnablement mais ont compris que non. Nous sommes très fiers d'eux parce que c'est loin d'être simple. Les autres continuent à leur proposer de l'alcool et ils se sentent obligés d'en avoir chez eux pour le cas où quelqu'un leur rendrait visite...
Chez nous, jamais d'alcool. Je ne considère pas que je reçois mal parce que je n'en propose pas. Avant ses parents ramenaient leurs cartouches...