Je viens de revoir "Au hasard Balthazar", hier soir.
Dur, très dur.
Je ne sais pas si Bresson était vg, mais le discours du film laisse à voir une sensibilité antispéciste prégnante (même si je suppose que l'âne du film a sûrement dû vraiment souffrir durant le tournage, les coups n'ont pas l'air simulés, grr...) et une vision de la nature humaine lumineuse.
Beau, cruel, bouleversant.
Dur, très dur.
Je ne sais pas si Bresson était vg, mais le discours du film laisse à voir une sensibilité antispéciste prégnante (même si je suppose que l'âne du film a sûrement dû vraiment souffrir durant le tournage, les coups n'ont pas l'air simulés, grr...) et une vision de la nature humaine lumineuse.
Beau, cruel, bouleversant.