Bonjour tout le monde !
Je m'excuse si un sujet similaire a déjà a été ouvert, le forum est tellement vaste que j'ai très certainement manqué certains thèmes abordés. Bref !
Comme l'annonce le titre du sujet, je voulais aborder ici même la thématique du véganisme en lien avec la vie professionnelle.
- Relations avec vos collègues et votre employeur.
- Difficultés ou non affrontées pour les repas à midi ou les dîners d'affaires.
- Domaine d'activité en désaccord partiel ou complet avec votre éthique.
Bref, les sujets sont nombreux et j'aimerais entendre vos témoignages et/ou vos réflexions quant à votre gestion de l'éthique sur le lieu travail.
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Pour entamer la discussion, j'évoquerai ma situation actuelle.
Je recherche activement un emploi en Asie (zone commerciale pour laquelle j'ai été formée) en m'imposant plusieurs contraintes, dont notamment le fait de ne pas postuler pour une entreprise ou un secteur contraire à mon éthique. J'évite donc, entre autres, l'industrie agro-alimentaire et cosmétique non-végane.
Par exemple, j'ai aujourd'hui dégotté une offre dans mes cordes en Corée du Sud. But de la mission "Promouvoir le terroir et les vins français". Même si je connais bien notre vieille France, j'ai renoncé au fait de postuler. En effet, cette annonce laisse présager à terme la promotion de produits carnés et aussi des repas gastronomiques typiquement français.
Outre le fait que cette restriction imposée et encore d'autres diminuent mes chances de trouver un emploi, je suis actuellement préoccupée par la justification de ma période de chômage lors d'un entretien d'embauche.
Si je peux étayer nombre de choses qui ont occupé ma période de recherche d'emploi, qu'en est-il de la lutte pour l'abolition de l'exploitation animale ?
Je sais que lors d'un entretien il est bien vu de mettre en valeur le fait que l'on défend activement une cause, cependant nous parlons ici de véganisme, une cause plus que controversée par nos amis omnivores. Aussi, si d'autres causes se présentent comme un atout évident à présenter, je crains qu'évoquer ma démarche végane soit au contraire perçu comme un aspect négatif par la plupart des employeurs.
Je pense que certains d'entre vous me diront que si mon futur employeur voit mon combat végane comme un point noir, grand bien me fasse de ne pas rejoindre son équipe. Cependant, même si je comprends cette idée, je n'ai pas réellement la possibilité de faire la fine bouche ; la concurrence est rude, j'ai à peine un an d'expérience et je m'impose en plus des restrictions.
Il est possible que je me fourvoie sur la perception que les employeurs ont du combat qu'est l'abolition de l'exploitation animale, c'est pour cela que j'aimerais avoir votre avis sur ce point et plus globalement sur la gestion du véganisme et du travail.
Je m'excuse si un sujet similaire a déjà a été ouvert, le forum est tellement vaste que j'ai très certainement manqué certains thèmes abordés. Bref !
Comme l'annonce le titre du sujet, je voulais aborder ici même la thématique du véganisme en lien avec la vie professionnelle.
- Relations avec vos collègues et votre employeur.
- Difficultés ou non affrontées pour les repas à midi ou les dîners d'affaires.
- Domaine d'activité en désaccord partiel ou complet avec votre éthique.
Bref, les sujets sont nombreux et j'aimerais entendre vos témoignages et/ou vos réflexions quant à votre gestion de l'éthique sur le lieu travail.
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Pour entamer la discussion, j'évoquerai ma situation actuelle.
Je recherche activement un emploi en Asie (zone commerciale pour laquelle j'ai été formée) en m'imposant plusieurs contraintes, dont notamment le fait de ne pas postuler pour une entreprise ou un secteur contraire à mon éthique. J'évite donc, entre autres, l'industrie agro-alimentaire et cosmétique non-végane.
Par exemple, j'ai aujourd'hui dégotté une offre dans mes cordes en Corée du Sud. But de la mission "Promouvoir le terroir et les vins français". Même si je connais bien notre vieille France, j'ai renoncé au fait de postuler. En effet, cette annonce laisse présager à terme la promotion de produits carnés et aussi des repas gastronomiques typiquement français.
Outre le fait que cette restriction imposée et encore d'autres diminuent mes chances de trouver un emploi, je suis actuellement préoccupée par la justification de ma période de chômage lors d'un entretien d'embauche.
Si je peux étayer nombre de choses qui ont occupé ma période de recherche d'emploi, qu'en est-il de la lutte pour l'abolition de l'exploitation animale ?
Je sais que lors d'un entretien il est bien vu de mettre en valeur le fait que l'on défend activement une cause, cependant nous parlons ici de véganisme, une cause plus que controversée par nos amis omnivores. Aussi, si d'autres causes se présentent comme un atout évident à présenter, je crains qu'évoquer ma démarche végane soit au contraire perçu comme un aspect négatif par la plupart des employeurs.
Je pense que certains d'entre vous me diront que si mon futur employeur voit mon combat végane comme un point noir, grand bien me fasse de ne pas rejoindre son équipe. Cependant, même si je comprends cette idée, je n'ai pas réellement la possibilité de faire la fine bouche ; la concurrence est rude, j'ai à peine un an d'expérience et je m'impose en plus des restrictions.
Il est possible que je me fourvoie sur la perception que les employeurs ont du combat qu'est l'abolition de l'exploitation animale, c'est pour cela que j'aimerais avoir votre avis sur ce point et plus globalement sur la gestion du véganisme et du travail.