végétarisme et cancer : toujours plus de preuves

kerloen":1z9gyf92 a dit:
pfffff, c'est parce qu'on fume moins et qu'on mange bio... tien.
Non, non pas le bio c'est pareil que la bouffe avec pesticides. C'est juste que les végés ont de la chance! :)
 
ours-blanc-":2o51w3q4 a dit:
kerloen":2o51w3q4 a dit:
pfffff, c'est parce qu'on fume moins et qu'on mange bio... tien.
Non, non pas le bio c'est pareil que la bouffe avec pesticides. C'est juste que les végés ont de la chance! :)
Le bio est pareil nutritionnellement parlant que le conventionnel, l'article que tu cites veut simplement dire que le bio n'est pas plus riche en vitamines ou autres nutriments qui justifieraient qu'on en consomme pour ça.

Avec les pesticides, il faut voir l'augmentation des cancers chez les agriculteurs qui s'en servent pour voir que ça vaut vraiment le coup de ne pas en avoir dans ce qu'on mange. Même si les quantités qu'on absorbe sont généralement moindres que chez les agriculteurs, elles ne sont pas négligeables.

http://www.actualites-news-environnemen ... ticide.php

http://www.pesticides-etudes.mdrgf.org/ ... lus-de.htm
 
Je crois, Miaoupowa, que c'est une remarque ironique de la part d'ours-blanc!
Enfin, je l'espère! :)
 
Miaoupowa":27by2bwh a dit:
ours-blanc-":27by2bwh a dit:
kerloen":27by2bwh a dit:
pfffff, c'est parce qu'on fume moins et qu'on mange bio... tien.
Non, non pas le bio c'est pareil que la bouffe avec pesticides. C'est juste que les végés ont de la chance! :)
Le bio est pareil nutritionnellement parlant que le conventionnel, l'article que tu cites veut simplement dire que le bio n'est pas plus riche en vitamines ou autres nutriments qui justifieraient qu'on en consomme pour ça.

Avec les pesticides, il faut voir l'augmentation des cancers chez les agriculteurs qui s'en servent pour voir que ça vaut vraiment le coup de ne pas en avoir dans ce qu'on mange. Même si les quantités qu'on absorbe sont généralement moindres que chez les agriculteurs, elles ne sont pas négligeables.

http://www.actualites-news-environnemen ... ticide.php

http://www.pesticides-etudes.mdrgf.org/ ... lus-de.htm
Tu prêches un convaincu :). Comme dit Ada, mon intervention était ironique.
 
Miaoupowa":24rsm8ko a dit:
Ok, j'avais pas perçu l'ironie :p
moi non plus, j'osais rien dire...comme quoi ça protège du cancer mais ça rend pas rapide d'esprit :cool:
 
afin d'éviter d'ouvrir un nouveau topic sur le cancer, je poste ici quelques passages du livre de David Servan Schreiber "Anticancer" Prévenir et lutter grâce à nos défenses naturelles.
Quoique que non végé semble-t-il, il est pour la diminution de consommation carnée, mais ce n'est pas l'essentiel de son ouvrage qui devrait être lu par de nombreux médecins oncologues.
Page16- Pour le reste (que ce soit l’alimentation ou les approches corps-esprit, il s’agissait de domaine sur lesquels il est clair, il (mon cancérologue) n’avait pas le temps de s’informer
Je connais ce problème en tant que médecin universitaire moi-même. Chacun dans son secteur, nous sommes rarement au courant des découvertes fondamentales récemment publiées dans des revues aussi prestigieuses que "Science" ou "Nature" tant qu’elles ne sont pas testées dans des études humaines à grande échelle. Pourtant ces percées majeures permettent parfois de se protéger par soi même, bien avant qu’elles donnent lieu à des médicaments et des protocoles qui seront les méthodes de soin de demain.
P17-Nous vivons tous avec des mythes qui entravent notre capacité de désamorcer le cancer. Par exemple nous sommes souvent persuadés que le cancer est avant tout une histoire de gènes, pas de style de vie. Or c’est l’inverse qui est vrai… toutes les recherches sur le cancer concordent : les gènes contribuent au maximum à 15% de la mortalité par cancer.
P35- Dans les années 1980, deux chercheurs de l’université Erasme de Rotterdam ont recherché tous les cas de rémission spontanée de cancer qui ne puisse être remis en question. A leur grande surprise ils en ont recensés 7, aussi indiscutables qu’inexplicables, en un an et demi de recherche dans leur seule région. On peut donc raisonnablement penser que ces cas sont beaucoup plus fréquents qu’il n’est généralement admis….
37- douze mois plus tard, les résultats ne laissaient subsister aucun doute : sur les 49 patients qui n’avaient rien changé à leur style de vie et s’étaient contenté de surveiller l’évolution de leur maladie, 6 avaient vu leur cancer s’aggraver et avaient dû subir une ablation de la prostate, une chimiothérapie ou une radiothérapie. En revanche aucun des 41 patients qui avaient suivi le programme de santé physique et mentale n’avait eu besoin de recourir à de tels traitements…le PSA avait baissé de 4%, indiquant une régression des tumeurs chez la plupart de ces patients….
47- quand Anna avait emménagé chez moi, j’étais tombé sur un de ses livres « ce qu’enseignait le bouddha » j’avais demandé ébahi : « pourquoi tu perds ton temps à lire des trucs pareils ? » Avec le recul, j’ai presque du mal à y croire, mais mon souvenir est formel : mon rationalisme confinait à l’obtus. Dans ma culture, le Bouddha comme le Christ étaient, au mieux, des prêcheurs moralisateurs, au pire des agents de la répression morale au service de la bourgeoisie. J’étais presque choqué de voir que cette femme avec laquelle j’allais vivre s’inquiétais de balivernes et d’ « opium du peuple ». Anna m’a jeté un regard de coté et a simplement dit en remettant le livre sur l’étagère : « je pense qu’un jour tu comprendras »…
48- C’est dans cette période là qu’a débuté le grand virage qui m’a progressivement amené à abandonner « la science pour la science » qui avait jusque là représenté le plus clair de mon activité
59- la souris qui résiste au cancer .... aucune des souris auxquelles avaient été injecté quelques milliers des fameuses cellules S180 ne survivait plus d’un mois… mais l’une de ces souris n°6 avait résisté à l’injection, elle avait ensuite doublé l’injection: aucun résultat, puis 2 millions, toujours ni cancer, ni ascite dans le ventre de la récalcitrante…il injecta 20 millions et deux semaines plus tard aucun résultat, il essaya 200 millions-mille fois la dose habituelle- rien n’y fait…la littérature médicale et scientifique relate depuis un siècle des cas de patients chez qui un cancer considéré comme terminal a soudainement fait marche arrière et fini par disparaitre complètement. Mais ce sont des cas rarrisimes, il est évidemment difficile de les étudier..le plus souvent on les attribue à des erreurs de diagnostic( « ce n’était sans doute pas un cancer ») ou bien à un effet retard des traitements conventionnels reçus précédemment ( « c’est sans doute la chimiothérapie de l’année dernière qui a fini par marcher… ») (NOTE : voir la partie anecdote de mon blog)
71- aux Etats Unis, le NCI a redigé un rapport afin de donner le plus large écho à une recherche encore trop souvent méconnues des médecins cancérologues. Le rapport décrit avec une grande précision les processus par lesquels les cellules cancéreuses réussissent à dévoyer les mécanismes de guérison de l’organisme ... tout comme les cellules immunitaires s’activant pour réparer les lésions, les cellules cancéreuses doivent produire de l’inflammation pour soutenir leur croissance…
73- le cercle vicieux au cœur du cancer.
...Plus la tumeur grossit, plus elle induit une inflammation, et plus elle alimente le cancer… plus la tumeur est agressive et plus elle est capable de se propager sur de longues distances touchant les ganglions lymphatiques et semant des métastases...
81- au docteur Judah Folkman qui exprimait sa crainte de voir plagier tout son programme de recherches par des concurrents, le Pr John Ender prix Nobel de médecine lui avait prédit en tirant sur sa pipe : « Tu es totalement à l’abri du vol intellectuel : personne ne te croira ! »
De fait l’article ne suscita aucun écho. Pire ses collègues se mirent à exprimer leur désapprobation en se levant bruyamment et en quittant la salle lorsqu’il prenait la parole dans les congrès. On chuchota qu’il trafiquait ses résultats pour appuyer ses théories et plus grave encore pour un médecin, qu’il était un charlatan ; qu’après avoir été un brillant chirurgien, il avait perdu le nord. Les étudiants, si indispensables à la vie d’un labo de recherche, se mirent à l’éviter pour ne pas voir leur carrière entachée par un lien quelconque avec cet hurluberlu. A la fin des années 1970, il perdit son poste de chef de service de chirurgie...
82-... les grosses tumeurs principales sèment des métastases, mais, comme dans un empire colonial, elles empêchent ces lointains territoires de prendre trop d’importance en émettant une autre substance chimique qui bloque la croissance de nouveaux vaisseaux –l’angiostatine. C’est ce qui explique que les métastases grossissent soudainement une fois que la tumeur a été retirée par la chirurgie…
104- retrouver l’alimentation d’autrefois
Aujourd’hui, les enquêtes nutritionnelles occidentales révèlent que 56% de nos calories proviennent de 3 sources qui n’existaient pas au moment où nos gènes se sont développés : les sucres raffinés, les farines blanches, les huiles végétales… la consommation de sucre est passée de 2kg/an au paléolithique, à 5 kg/an en 1830, 70 kg/an en 2000.
130- le centre international de recherche sur le Cancer de l’OMS établit une liste de produits cancérigènes dans l’environnement. En 30 ans, il en a testé 900 (une infime partie des plus de 100.000 molécules qui sont répandues en millions de tonnes par an depuis 1940) sur ces 900 produits, UN SEUL a été reconnu comme n’étant pas cancérigène, 95 comme établis, 307 comme probables ou possibles, 497 comme inclassables…a supposer que chacun atteigne 1/100 de la dose toxique, il en résulterait une charge totale de 37 à 75 fois la dose toxique établie chez l’animal… un grand nombre de ces polluants sont des "perturbateurs hormonaux"…plusieurs d’entre eux imitent les œstrogènes…
135-... l’atrazine est un xenostrogène si puissant qu’il est capable de changer le sexe des poissons dans les rivières où il finit par se déverser…de fait les agriculteurs français exposés aux pesticides et fongicides ont un risque accru de tumeur au cerveau…toute ma vie, j’ai bu du lait, mangé des yaourts, de la viande, des œufs qui provenaient de vaches, de moutons et de poules qui avaient été nourris avec du maïs traité aux pesticides. J’ai croqué-sans enlever la peau- des pommes qui avaient reçu 15 traitements de pesticides. J’ai bu l’eau du robinet issu de rivière et de nappes phréatiques contaminées (l’atrazine n’est pas éliminée par la plupart des systèmes de purification de l’eau)…nous ne saurons jamais si les doses étaient « acceptables »
136- le bio
Sur une étude de 42 enfants de 2 à 5 ans.
Le Dr Curl mesura ensuite dans l’urine des enfants, les produits de dégradation des pesticides organochlorés. Elle trouva que le taux des enfants bio était nettement en deçà des minimas fixés par l’Agence gouvernementale de protection environnementale. Il était 6 à 9 fois moindre que celui des enfants conventionnels dont les charges toxiques dépassaient au contraire de 4 fois les limites officielles tolérées…
141- nous ne pouvons espérer ni des politiques, ni des industriels qu’ils fassent ces choix difficiles à notre place…si nous attendons que les épidémiologistes soient « sûrs », nous risquons d’être déjà morts…
149- C’était quelques années après ma première opération,…une de mes rares amies au courant de ma maladie, m’a dit d’une voix hésitante : « David, il faut que je te demande : que fais-tu pour soigner ton « terrain » ? » Elle savait que je ne partageais pas son enthousiasme pour les médecines naturelles et l’homéopathie. Pour moi cette notion de « terrain »-dont je n’avais jamais entendu parler pendant mes études- sortait totalement du cadre de la médecine scientifique et je ne m’y intéressais pas du tout. Je lui ai répondu que j’avais été très bien soigné, qu’il n’y avait rien d’autre à faire que d’espérer que la tumeur ne revienne pas. Et j’ai changé de sujet.
Je me souviens de mon régime alimentaire de l’époque…Je me nourissais presque quotidiennement de chili à la viande de bœuf hachée accompagné d’un bagel et d’un Coca Cola… une combinaison explosive…
151- apprendre qu’on a une rechute est terrible… ma tête bourdonnait. Je me souviens encore du tumulte qui m’agitait. J’aurais voulu parler avec Dieu mais je n’étais pas croyant…
153- un des neuroscientifiques les plus brillants avec qui j’avais travaillé était devenu dément quelques années après une radiothérapie pour une tumeur cérébrale qui n’était même pas cancéreuse…je ne voulais pas finir comme lui. Quant à la chimiothérapie, c’était par définition, un poison- un poison qui tue les cellules cancéreuses mais aussi les cellules de l’intestin, du système immunitaire, des cheveux. Elle risquait en outre d’entrainer la stérilité…d’autant qu’il n’y avait pas de garantie de réussite, les tumeurs du cerveau ayant une fâcheuse tendance à devenir rapidement résistantes à la chimiothérapie.
157- le principe tibétain
Ma vision de la médecine a commencé à être ébranlée dans les rues de Dharamsala…les médecins tibétains soignaient leurs patients avec des méthodes totalement différentes de celles que je connaissais. Ils examinaient le corps comme on regarde le terreau d’un jardin. Ils ne cherchaient pas les symptômes de la maladie (qui sont souvent évidents). Non, ils cherchaient plutôt les défaillances du terrain, ce qui lui manquait pour se défendre contre la maladie. Ils voulaient comprendre comment ce corps là, ce terreau-là, devait être renforcé pour pouvoir faire face par lui-même au problème qui amenait le patient à consulter.
Je n’avais jamais considéré la maladie de cette façon et cette approche me déroutait complètement. D’autant que pour renforcer le corps, mes confères tibétains évoquaient des remèdes qui me semblaient parfaitement ésotériques et probablement inefficaces ? Ils parlaient d’acupuncture, de méditation, de plantes en infusion et, beaucoup, de corriger l’alimentation. Dans mon système de références, il était évident que rien de tout cela n’était vraiment efficace. Tout au plus pouvaient-ils mettre un peu de baume au cœur à un patient et lui donner de quoi s’occuper en lui laissant croire que cela lui faisait du bien….
178- ...95% de ces molécules synthétiques prometteuses finissent dans les oubliettes de la médecine lorsqu’on les évalue chez les animaux, puis chez les humains. Même si elles sont efficaces in vitro contre les cellules cancéreuses, elles sont le plus souvent trop toxiques pour que l’on puisse les prescrire...Récemment Béliveau a eu l’idée d’évaluer le potentiel antiangiogénique d’un…extrait de framboise…les petits fruits…contrairement aux médicaments antiangiogéniques classiques, leur action ne se limite pas à ce seul mécanisme. L’acide ellagique est aussi un détoxifiant pour les cellules. Il bloque la transformation de plusieurs cancérigènes de l’environnement en substances toxiques pour les cellules ; il les empêche aussi d’agir sur l’ADN où ils peuvent faire dangereusement muter les gènes ; et enfin il stimule les mécanises d’élimination des toxines. C’est une sorte de super molécule aux actions multiples et sans aucun effet secondaire….Béliveau savait l’importance de cette découverte ? S’il c’était agi d’une molécule pharmaceutique, son télécopieur aurait crépité toute la journée et les subventions auraient afflué de toutes parts..mais qui appeler ? Il n’y pas de brevet possible sur l’acide ellagique puisque –heureusement- on ne peut pas breveter les framboises…il n’y a donc personne au bout du fil avec qui partager l’excitation, pas de fax, pas de subventions…
192- si c’était vrai ça se saurait
…Dans la littérature médicale, on n’envisage de changer les recommandations faites aux patients que dans un cas et un seul : quand il existe une série d’études, faites « en double aveugle », démontrant l’efficacité d’un traitement chez l’homme. C’est ce que l’on appelle, légitimement, « la médecine fondée sur preuves »…les spécialistes n’ont guère le temps d’explorer le travail pourtant colossal réalisé en laboratoire. Et comme ils n’en ont pas entendu parler dans leurs sources habituelles, ils ont le sentiment que « ça ne peut pas être vrai, sinon je le saurais »…
la validation d’un médicament anticancer jusqu’au stade des expériences sur l’homme en nombre suffisant coûte aujourd’hui entre 500 millions et un milliard de dollars. Ce type d’investissement apparait justifié lorsque l’on sait qu’un médicament comme le Taxol rapporte à la compagnie qui en détient le brevet un milliard PAR AN. Il est, en revanche, absolument impossible d’investir des sommes de cette importance pour démontre l’utilité des brocolis, des framboises ou du thé vert…
231- depuis une vingtaine d’années, un nouveau domaine scientifique est apparu qui étudie explicitement le lien entre les facteurs psychologiques et l’activité du système immunitaire. Il s’agit de la psycho-neuro-immunologie.
244- l’EMDR soigne le sentiment d’impuissance
310-... spécialiste du cancer de la prostate et des reins, le Dr Fair était le chef du prestigieux service d’urologie de l’hôpital Memorial Sloan-Kettering de New York-un des principaux centre de cancérologie américains- lorsqu’on lui annonça un cancer du colon très avancé…au point que ses médecins choisis par ses collègues de l’hôpital lui annoncèrent avec tristesse que son cancer était désormais incurable. Selon eux, il n’avait que quelques mois à vivre. Au lieu d’avaler ses repas au fast food des cafétérias de l’hôpital, il s’initia au régime végétarien…
Bill Fair avait longtemps nourri un profond dédain pour toutes ces approches « parallèles » qu’il qualifiait de « foutaises californiennes à l’eau de rose »…sa maladie lui avait permis de découvrir des approches qu’il avait longtemps méprisées et qui lui apportaient une douceur et un bien être qui lui importaient beaucoup maintenant…
322- le corps est un immense système en équilibre où chaque fonction est en interaction avec les autres. La modification d’un seul de ces éléments affecte immanquablement l’ensemble. Chacun peut donc choisir par où il souhaite commencer : alimentation, activité physique, travail psychologique ou tout autre approche qui apporte du plus de sens et de conscience dans sa vie…
 
Bonsoir et merci également Janic.
C'est bien réconfortant de lire que des scientifiques s'ouvrent à d'autres options.
 
Ce n'est plus vraiment rare de nos jours. La situation qu'il décrit est ancienne déjà. Mon médecin, choisi parce que le plus proche de chez moi, est très en faveur du végétarisme. Il m'a longuement parlé des nouvelles avancées dans le domaine de la nutrition.
 
vgbrux bonjour
Ce n'est plus vraiment rare de nos jours. La situation qu'il décrit est ancienne déjà. Mon médecin, choisi parce que le plus proche de chez moi, est très en faveur du végétarisme. Il m'a longuement parlé des nouvelles avancées dans le domaine de la nutrition.
Il est vrai que les nouvelles générations de médecins sont plus sensibles à l'aspect nutrition qu'il y a 20/50 ans: heureusement d'ailleurs! Mais Schreiber ne fait qu'effleurer le végétarisme, il faut être VG soit même pour y prêter attention, son ouvrage est plus axé vers les médecines parallèles, et donc complémentaires pour lui, dont la nutrition.
 
Attention avec cette étude tout de même. La population observée présente un taux de cancer 28% plus faible que la moyenne. De plus, et c'est la grosse hallu, les végétariens ont 39% de chances de plus de chopper le cancer colorectal alors qu'il est associé à la consommation de viande rouge...

Un peu buggée l'étude quand même. Et je ne sais pas ou sont les 45% de moins moi...Je vois une moyenne de 12%.

http://www.ajcn.org/content/78/3/533S.full
http://www.ajcn.org/content/early/2009/ ... M.abstract
 
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