Je suis tombé sur cet article glané sur un site de musique.
Malgré le fait que, dans l'ensemble, il soit assez cohérent, l'introduction est bien risible :
"Au risque de décevoir les végétariens (qui ne mangent pas de viande) et encore plus les végétaliens (qui ne mange aucun produit d'origine animale), il faut savoir que, contrairement aux ruminants, nous ne sommes pas capables de digérer la cellulose (matière principale, constitutive des végétaux) et encore moins d'en extraire et fabriquer des protéines. De plus, les éléments protéiniques, de toute façon en faible proportion dans les végétaux, ne sont que rarement complets, et dans de mauvaises proportions.
Remonter
Cela confirme une dépendance déjà très grande à notre environnement naturel, qui signifie que nous sommes en bout de chaîne alimentaire, le dernier stade du " prédateur ", en quelque sorte, même si nous n'en avons pas l'apparence manifeste (contrairement au requin ou au lion, avec leurs rangées de dents pointues comme des poignards). Dans les comportements sociaux d'aujourd'hui, on retrouve facilement chez certains individus, ces traits de caractère primitifs, ancrés dans l'" instinct " de chacun (c'est indéniable, l'homme ressemble plus souvent au loup qu'à l'agneau, dès le plus jeune âge). Mais passons ce sujet qui serait bien trop vaste et loin de mes compétences, bien qu'il nous affecte tous. Il n'est de toute façon pas spécifique des percussions (bien que le fait de " battre " ne soit pas sans rappeler des comportements meurtriers primitifs). Enfin, cette légère digression nous montre une fois de plus, que esprit et corps son intimement liés, jusqu'à leurs tréfonds les plus obscurs."
http://www.marcdedouvan.com/sante.php?fichier=alimentation
Je dois l'envoyer au "végétarisme m'a tuer" ? J'hésite....
Malgré le fait que, dans l'ensemble, il soit assez cohérent, l'introduction est bien risible :
"Au risque de décevoir les végétariens (qui ne mangent pas de viande) et encore plus les végétaliens (qui ne mange aucun produit d'origine animale), il faut savoir que, contrairement aux ruminants, nous ne sommes pas capables de digérer la cellulose (matière principale, constitutive des végétaux) et encore moins d'en extraire et fabriquer des protéines. De plus, les éléments protéiniques, de toute façon en faible proportion dans les végétaux, ne sont que rarement complets, et dans de mauvaises proportions.
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Cela confirme une dépendance déjà très grande à notre environnement naturel, qui signifie que nous sommes en bout de chaîne alimentaire, le dernier stade du " prédateur ", en quelque sorte, même si nous n'en avons pas l'apparence manifeste (contrairement au requin ou au lion, avec leurs rangées de dents pointues comme des poignards). Dans les comportements sociaux d'aujourd'hui, on retrouve facilement chez certains individus, ces traits de caractère primitifs, ancrés dans l'" instinct " de chacun (c'est indéniable, l'homme ressemble plus souvent au loup qu'à l'agneau, dès le plus jeune âge). Mais passons ce sujet qui serait bien trop vaste et loin de mes compétences, bien qu'il nous affecte tous. Il n'est de toute façon pas spécifique des percussions (bien que le fait de " battre " ne soit pas sans rappeler des comportements meurtriers primitifs). Enfin, cette légère digression nous montre une fois de plus, que esprit et corps son intimement liés, jusqu'à leurs tréfonds les plus obscurs."
http://www.marcdedouvan.com/sante.php?fichier=alimentation
Je dois l'envoyer au "végétarisme m'a tuer" ? J'hésite....