@lelfe
D'abord, le principe que j'ai énoncé est encore une fois théorique : l'application concrète serait évidemment difficile voire impossible dans certains cas, mais il n'est pas question de ça ici. J'ai simplement dit que plus un individu a de capacités à souffrir, plus il a d'intérêts à ne pas souffrir, et donc plus il "mérite" de droits. Si un jour nous parvenions à intégrer tous les animaux à notre sphère morale, nous procéderions d'ailleurs probablement de la sorte.
@Ennkuhl
@Brigande
D'abord, le principe que j'ai énoncé est encore une fois théorique : l'application concrète serait évidemment difficile voire impossible dans certains cas, mais il n'est pas question de ça ici. J'ai simplement dit que plus un individu a de capacités à souffrir, plus il a d'intérêts à ne pas souffrir, et donc plus il "mérite" de droits. Si un jour nous parvenions à intégrer tous les animaux à notre sphère morale, nous procéderions d'ailleurs probablement de la sorte.
@Ennkuhl
Pas très juste, ça !Suffit de jeter l'être le plus facilement jetable alors.
@Brigande
Encore une fois je suis d'accord pour dire qu'il nous faudrait peut-être d'abord travailler à des méthodes préventives plutôt que d'aller réfléchir aussi vite au droit que nous avons d'anéantir les insectes (même s'ils n'ont pas vraiment l'air de se poser la question).De quel droit se permet-on de détruire des espèces ? Il est mille fois préférable de trouver d'autres solutions.