Oui je trouve cela gênant cette histoire d'être toujours "invitée" par l'homme. Car mon copain n'a pas trop de sous, mais il considère que c'est lui qui doit payer le restau (mais en général on partage) alors ça m'éneeeeeeerve de ne rien faire, pas d'activité parce qu'il veut à tout prix payer alors qu'il n'en a pas les moyens. Donc même si j'étais riche, je ne pourrais pas faire grand chose avec lui puisqu'il faut absolument qu'il paye ou qu'il me rembourse......
Donc peu de sorties au final.
Encore une autre remarque : "je n'ai pas envie que tu ailles à la marche contre la fermeture des abbatoirs car ce sera une grosse manifestation, ce sera à paris, ta manif anti-corrida à alès c'est rien du tout à côté, là il risque d'y avoir de la violence, y a des mecs qui vont chercher la bagarre et vouloir attaquer les manifestants, c'est un sujet qui fâche les abbattoirs, on risque de te frapper. Donc si tu veux on ira, pas cette année car j'ai les rattrappages et je ne veux pas que tu y ailles toute seule, mais l'année prochaine on ira à deux."
Qui me dit qu'il n'aura pas encore des partiels en même temps l'année prochaine ??!
Je lui ai dit que je pouvais y aller avec une copine, ou ma soeur. Mais pour lui il faut qu'il y ait un homme à côté pour me protéger. Je lui ai dit qu'il ne sera pas toujours à mes côtés pour me protéger, et que je suis grande. Ben non, une femme c'est plus petit, plus fragile, moins de force physique. Donc en gros j'irais pas à la manif à paris au mois de juin car il a peur et que des mecs pourraient venir me taper.... Je comprends son anxiété, et ok je suis petite et ne sait pas me défendre au combat, mais bon, dans ce cas-là, plus aucune femme non accompagnée par un mâle ne sortirait manifester ??!
ça m'énerve, j'ai l'impression que mon autonomie et mon indépendance se minimisent dans cette histoire
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Je suis majeure mais dans les faits j'ai l'impression qu'il me l'enlève la majorité ! Je ne me sens plus très libre dans ce genre de situation.
Ce même mec me tenait les portes, me laissait passer devant lui, rtirait mon manteau, me le remettais...Sa môman était trop fière de l'avoir bien éduqué. C'est vrai qu'il aurait fait fureur auprès de ces dames en 1950 
