Actualité

  • Auteur de la discussion Anonymous
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Ahahah, merci pour le fou rire ! :ROFLMAO:
 
Hihihi ! J'adore l'actualité revue par Tcharls ! :ROFLMAO:
 
Je suis d'accord avec lui, c'est trop bon les pêches !
 
Qu'il ne s'inquiète pas. La pêche existera toujours. Nous sommes loin d'être la seule espèce à la pratiquer. De nombreux oiseaux, des ours, toussa, toussa… continueront à pêcher même si on s'arrête.
 
Ils se rendent compte qu'ils vident les océans là (qui sont déjà une méga poubelle ?)...
 
Élections iraniennes aujourd'hui... ouille ouille ouille.
 
L'aspect protection - non discrimination est intéressant.
Par contre, c'est gênant que ce soit classé comme une croyance.
 
Chocogrenouille":25nt0mx2 a dit:
Pourquoi "ouille ouille ouille" ?
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Parce que c'est une vaste supercherie. Ya quasi pas de réformateurs ou de modérés dans les "retenus" à être élus.... Pfffff....
 
Je viens de lire cette tribune sur lemonde.fr, intituliée « Cessons de croire aux contre-vérités de l’élevage industriel », écrite par une philosophe directrice de recherche à l'INRA : http://www.lemonde.fr/idees/article/201 ... _3232.html

(au passage cela laisse bien sous-entendre que l'INRA n'est pas le monolithe de pensée unique tel qu'il est souvent décrit, mais bien un institut de recherche avec des opinions pluralistes, et dont les activités reflètent le vaste éventail de la recherche publique en agronomie, i.e. des OGM jusq'au bio par exemple)
 
Le Monde et France Inter le même jour pour une philosophe qui se soucie du bien-être animal :hein: ? Il doit y avoir une explication : bon bah j'ai trouvé, elle sort un livre mercredi prochain :) !
Je ne l'avais pas nommée parce que je ne savais pas qu'elle était connue, désolé :confus:.
 
mais non, ne sois pas désolé ! puis bon, "connue", ça ne veut pas dire grand chose, disons connue des gens qui s'intéressent au côté philosophique de la chose. Moi je n'ai rien lu d'elle, c'est compliqué je trouve, très philo justement.
https://sites.google.com/site/florenceburgat/
L'actualité, c'est peut-être aussi le salon de l'agriculture, la vidéo de L214...
 
En accessible et court, elle a écrit "La cause des animaux : Pour un destin commun" et il est vraiment bien !
 
OK merci du conseil !

le lien vers l'émission de France Cul m'a été envoyé par une personne qui ajoutait :
« j'aime bien quand il y a plusieurs point de vue, sans consensus obligé ».
Du coup, intéressé mais un peu agacé par le ton de cette émission, j'ai répondu en donnant mon point de vue sur ce débat :

Tcharls":fic6xt2p a dit:
Merci, c'est assez intéressant, surtout la 1ère partie !

Par contre je ne trouve pas le débat très équilibré. Je trouve le mec chauve, le neurobiologiste, très condescendant et souvent de mauvaise foi. Et il n'a pas honte, face à une directrice de recherche dont c'est le domaine, de parler de ce qu'il ne connait pas ! Il multiplie les phrases racoleuses, tandis que Florence Burgat, modeste, répond de manière claire et synthétique, trop synthétique pour que ce soit entendu, c'est dommage !

Le gars assène avec assurance des choses contradictoires (j'aime les steak, je suis contre la souffrance animale), voire fausses (notamment sur l'expérimentation animale), d'un ton supérieur et paternaliste, agrémentées de "je suis désolé de le dire" (ce qui n'a jamais rendu vraie une affirmation), devant une Florence Burgat dont j'admire la patience. En tant que femme, chercheuse, elle a dû en croiser plus d'un, des "Hommes-qui-savent"...

Enfin, j'avoue, j'aurais simplement aimé que quelqu'un rappelle, entre les étalages d'auteurs et de citations, qu'on tue des animaux sans nécessité au lieu de leur laisser vivre leur vie tranquillou et de manger autre chose (et tout le monde est d'accord avec ça quand il s'agit de chats ou de chiens). Ca c'est concret, et c'est tous les jours ! D'ailleurs j'aurais envie de leur conseiller cette petite vidéo de présentation du "carnisme" : https://www.youtube.com/watch?v=Tc1zYBULvqI
et pour celles et ceux qui comprennent l'anglais : https://www.youtube.com/watch?v=ao2GL3NAWQU
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Ce matin sur France Cul vous avez entendu Florence Burgat, très bien comme d'habitude, mais vous avez entendu la chronique d'après ? "L'humanisme face à la souffrance animale" : http://www.franceculture.fr/emissions/l ... ce-animale

Et la Une de Terre Eco demain en kiosque "Demain tous végétarien" Notons l'absence de point d'interrogation à la fin du titre ! http://www.terraeco.net/

Les tribunes se multiplient, les débat aussi, les politiques se positionnent, les chroniqueurs perdent les pédales... WOW ! <br /:><:br /> — Le 01 Mar 2016, 19:50, fusion automatique du message précédent — <br /:><:br /> Et Charlie Hebdo de demain : en une "5 millions de vaches meurent sous les coups de leur conjoint" https://www.facebook.com/10662687936045 ... =3&theater

WOW bis
 
Fausses accusations, «non» veut dire «oui» : les stéréotypes sur le viol ont la vie dure

Les idées fausses sur le viol ont la vie dure. Pour quatre Français sur dix, la responsabilité du violeur est moindre si la victime se montre aguichante et pour deux sur dix «un "non", veut souvent dire "oui"», selon un sondage Ipsos pour l’association Mémoire traumatique et victimologie publié ce mercredi, qui révèle que la culture du viol est largement répandue dans la population.

Les stéréotypes sexistes entrainent notamment une justification des agressions sexuelles. Nombre de Français (61%), et encore plus de Françaises (65%), considèrent aussi qu’un homme a plus de mal «à maîtriser son désir sexuel qu’une femme», selon le sondage.

«C’est le mythe sexiste d’une sexualité masculine naturellement violente, pulsionnelle et prédatrice», dénonce l’association dans cette première photographie des représentations sur le viol et les violences sexuelles. L’association salue également l’apport précieux des campagnes d’information, des plans gouvernementaux et «le travail énorme» des associations en ce domaine.

Pourtant, en dépit de ces efforts, «loi du silence, déni, impunité, absence de reconnaissance, de protection et abandon des victimes de violences sexuelles règnent encore en maîtres», déplore la présidente de Mémoire traumatique, la psychiatre Muriel Salmona.

Trop souvent encore, «la victime, c’est la coupable»

Certains stéréotypes semblent particulièrement ancrés chez les jeunes : près d’un tiers (30,7%) des 18-24 ans assurent que «les femmes peuvent prendre du plaisir à être forcées lors d’une relation sexuelle». Une opinion qui pourrait être corrélée à la banalisation de la pornographie sur internet, affirme l’association.

Si la quasi-unanimité des Français-e-s (96%) qualifient à juste titre de viol le fait de forcer une personne qui le refuse à avoir un rapport sexuel, 24% considèrent par exemple qu’une fellation forcée relève de l’agression sexuelle, non du viol. Ce que contredit la définition de ce crime dans le Code pénal : «tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol».

«Elle l’a bien cherché...»

De même, les notions de contrainte et d’emprise sont mal reconnues. Plus d’un Français sur quatre (26%) juge que lorsque l’assaillant menace sa victime et qu’elle ne résiste pas, ce n’est pas un viol mais une agression sexuelle. Flirter, adopter une attitude séductrice, accepter d’aller seule chez un inconnu, constitue aussi pour plus d’un quart des Français-e-s (27%) un motif de déresponsabilisation du violeur, sur le mode «Elle l’a bien cherché...».

Une proportion non négligeable (17%) estime aussi que forcer sa conjointe à avoir un rapport sexuel alors qu’elle le refuse n’est pas un viol. Car le mythe du «vrai viol» perdure (à l’extérieur, sous la menace d’une arme, par un inconnu, à l’encontre d’une jeune femme séduisante...) et traduit une méconnaissance de la réalité statistique des viols : dans 90% des cas, les victimes connaissent leur agresseur. 58% des viols sont perpétrés dans le couple et, pour les mineurs, 53% au sein du cercle familial. Plus de la moitié des sondés (55%) jugent à tort que l’espace public est le plus dangereux.

Le nombre annuel de viols est aussi sous-estimé : 41% des Français le situe entre 10 000 et 50 000. En réalité, la moyenne observée ces cinq dernières années fait état de 98 000 viols ou tentatives de viol, dont 14 000 sur des hommes. En tenant compte des mineurs, premières victimes des violences sexuelles, «on arriverait sûrement à un chiffre supérieur à 200 000», selon l’association.

Les Français estiment que 25% des victimes portent plainte. Elles ne sont en fait que 10%. Enfin, les sondés considèrent que certaines victimes accusent à tort leur agresseur, pour se venger (32%) ou pour attirer l’attention (23%). «Ce mythe est tenace. Ce sont les seuls crimes ou délits pour lesquels on soupçonne a priori la personne qui s’en déclare victime», s’émeut Mme Salmona.

L’enquête a été réalisée via internet du 25 novembre au 2 décembre 2015, auprès d’un échantillon de 1 001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

http://www.liberation.fr/france/2016/03 ... re_1436883
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:confus: :confus: :confus:
 
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