sujet redondant, donc les pieds dans le plat, c'est un bien grand mot... disons sujet qui divise, forcément. Comme tout mouvement politique "hors normes"(si le végétarisme ne l'est pas forcément, celui de la libération animale l'est), il y a nécessairement un mouvement restant dans les clous de la légalité, et un plus radical, qui utilise toutes les méthodes qu'il juge nécessaire pour faire avancer sa cause.
Le débat est sans fin, l'action violente a t'elle déjà permis de résoudre plus rapidement des conflits... peut etre, des passionnés d'histoire et de sociologie ont peut etre des réponses à nous apporter... moi non.
juste un exemple, athypique car quasiment unique dans l'histoire, celui de Ganhdi bien entendu. Lui n'a pas chercher à résoudre un conflit par la non violence, mais à "étudier" l'application de sa théorie sur la non violence dans la gouvernance d'un pays (autant que le rapport de force avec les autres membres du gouvernement le lui permettait).
certains voient dans la non violence un possible avenir de l'humanité, d'autres non. Là est pour moi le vrai débat concernant certaines actions de l'alf et toute action violente en général. Ce qui ne s'ignifie pas tendre l'autre joue, mais ne pas répondre à la violence par la violence... l'actualité nous en donne un exemple criant. Réponse du gourvernement aux actions de poitiers (pour moi compréhensibles compte tenu des conditions de détentions actuelles)... Plutôt que de réouvrir le débat sur les prisons (pas un seul commentaire dans ce sens, même des journalistes, le gouvernement en profite pour remettre le couvert sur les fichiers en tous genres.
Dans le contexte actuel excessivement sécurisé (dans tous les domaines, fermeture des frontières, luttes contre tout ce qui ressemble de prêt ou de loin à terre et à isme), tous les prétextes sont bons pour renforcer le contrôle.