autisme

Dame fée
Je comprends parfaitement des réactions comme la tienne, il fut une époque où je défendais la vaccination (j’ai pris le premier vaccin buccal contre la polio dès qu’il est sorti). Puis je suis devenu végé, je me suis renseigné sur les facteurs de santé et j’ai changé d’avis en consultant les statistiques OFFICIELLLES. Pourquoi ne pas en faire autant, elles sont disponibles sur le site de l’INSERM (quoi de plus rassurant ?)
Ces maladies sont rarissimes aujourd'hui, parce qu'on est vaccinés. Il fut un temps où c'était normal d'attraper la rougeole.
C’est justement là le typique du bourrage de crane, jamais vérifié. Au temps où c’était normal d’avoir la rougeole cette maladie était considérée comme non dangereuse par le corps médical dans son ensemble et brutalement l’est devenue à la sortie du vaccin. Il y a quelque chose qui cloche quelque part.
Je ne dis pas qu'il faut à tout prix se vacciner contre tout sans réfléchir, mais en attendant le discours anti vaccin me fait bondir.
Le discours n’est pas anti vaccin. Si ceux-ci avaient fait preuve de leur efficacité et de leur inoccuité on pourrait être pour. Hors cette preuve n’a jamais été faite et avec le recul du temps a été considérée par nombre de médecins et gouvernements comme plus risquée que la maladie elle-même. (Statistiques de l’INSERM)
Des gens qui refusent de vacciner leur enfant sous prétexte que les maladies sont rares se reposent sur le fait que les autres enfants sont vacciné, c'est tout bénèf' pour eux !
Totalement faux et irrationnel. Etre protégé soi même n’évite pas la contagion chez les autres car si 15% ça parait peu, cela fait tout de même (taux moyen de protection 85% env) 9,750 millions non vaccinés. Alors comment expliquer que sur une telle quantité personne ne soit atteint par la maladie en question.
Si personne ne se vaccinait ils rigoleraient beaucoup moins parce que leur enfants attraperaient justement les maladies en question, comme il y a quelques siècles.
Faux, voir juste avant. Reconsulte les statistiques de l’INSERM, le taux de malades était sur la même courbe descendante dans tous les pays voisins à niveau d’hygiène équivalent; les premières vaccinations (quelques soient celles-ci) faisaient regrimper en flèche la mortalité. C’est à partir de cette courbe maxi, induite par les vaccinations, que les pro-vaccins se vantent d’une courbe descendante. Vérifies-le. Mais c’est le discours des labos et de leurs distributeurs de poisons.
Y a-t-il des études de cas parmi des communautés de non vaccinés ?
Bien sûr,Teiki vient de te fournir des chiffres juste avant.Certains pays ayant adoptés, donc rendu obligatoires, certains vaccins les ont ensuite délégalisés parce que plus dangereux que la maladie elle-même. Maintenant c’est comme tout produit à risque, l’interdire est une erreur, mieux vaut informer à condition de ne pas être en même temps juge et partie comme c’est le cas des labos actuellement.
Fushicho : Il faudrait prendre le problème à l'envers, combien de vaccinés contractent la maladie ? Il est évident qu'un vaccin ne peut être une garantie de protection à 100%
La encore c’est une erreur de raisonnement, de logique comme tu dis. Ce n’est pas parce que l’on est vacciné que l’on est plus ou moins protégé qu’un non vacciné, comme le montrent les statistiques OFFICIELLES. La résistance aux maladies dépend du système immunitaire qui peut être bon ou mauvais, vacciné ou pas.
 
isan
mais je continue de trouver que ce sont là encore une fois l’œuvre des adepte de la Théorie du Complot et de la Biologie Totale
Mais bon....chacun ses croyances
Ce n'est pas une question de croyance (sauf si tu considères que les études scientifiques relèvent de la croyance) mais de travaux on ne peut plus conformes aux données de la science actuelle. Ou alors l'INSERM fait partie du complot et l'OMS aussi (Bon, là c'est peut être le cas >:))
 
Je ne voudrais pas passer pour une rabat joie, mais le thème revient toujours à la même chose : pour ou contre le vaccin. Premier sujet général avec les greffes et les transfusion ; il y a peu, sujet sur Pasteur...
Le ROR a été obligatoire pendant les années 90. Y a-t-il plus d'autiste né dans les années 90 que dans les autres?
De plus, le mercure est interdit dans les produits de santé : pour preuve, même dans les thermomètres il n'y en a plus...

"La théorie de l'origine vaccinale

* De nombreuses personnes ont associé l'apparition de la maladie au vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR), et au mercure qu'il contenait jusqu'en 2001. La première étude évoquant cette possible association date de 1998[52]. Cette théorie a été invalidée par de nombreuses études postérieures[53] et par la rétractation de 10 des 12 auteurs de l'étude initiale ayant mis en cause ce vaccin au Royaume-Uni.

* Suite à la mise en cause du vaccin ROR au Royaume-Uni, le nombre d'enfants vaccinés a nettement décru, sans qu'on constate parallèlement une diminution du nombre d'enfants autistes diagnostiqués. Mais d'autres vaccins contiennent des métaux comme additifs.
Enfin, selon le Times, Andrew Wakefield, à l'origine de cette thèse, avait falsifié les données de la première étude sur le sujet[54], ce qui cause potentiellement un désastre de santé publique, puisque la rougeole est une affection qui a avec certitude des complications mortelles ou gravement invalidantes.

* L'épilogue de cette affaire est intervenu le 2 février 2010: la revue médicale The Lancet, dans laquelle Wakefield et ses collègues avaient publié leur étude initiale mettant en cause le vaccin ROR, s'est rétractée formellement et a retiré l'article de ses archives[55]. The Lancet a ainsi suivi un jugement du General Medical Council britannique (Conseil général de la médecine) en date du 28 janvier 2010, selon lequel certains éléments de l'article de 1998 de Wakefield et ses co-auteurs sont « incorrects » et ses méthodes de recherche « non éthiques ».

* Certains spécialistes avaient affirmé qu'il pouvait exister un lien entre thimérosal (additif fréquent des premières générations de vaccin, à base de mercure) et les désordres de type autistique [56],[57],[58]. Selon d’autres études le thimérosal ne présente aucun danger[59],[60]. La justice américaine a ainsi rejeté en février 2009, les demandes de dédommagement de trois familles affirmant que leur enfant était devenu autiste après l'administration du vaccin ROR, en soulignant qu'il n'y avait pas de preuves scientifiques fiables pour soutenir leur plainte[61]."
Source : Wikipédia


http://fr.wikipedia.org/wiki/Autisme#cite_note-52 : anotation 53
 
l'elfe
De plus, le mercure est interdit dans les produits de santé :
en théorie.
Pour Wikipédia qui est libre d'interprétation, il faut le prendre avec une certaine réserve. Les travaux récents cités par les médias montrent que ce qui a été dit sur Wakefield était destiné à le discréditer pour protéger les labos comme d'habitude. Pour l'augmentation des autismes, il semblerait que le lien se confirme de plus en plus. Attendons quelques temps pour voir si cela se confirme ou pas. Par contre l'inutilité du vaccin avec adjuvants ou pas, ne fait plus de doute.
 
L'Elfe":1jpf4z3a a dit:
Je ne voudrais pas passer pour une rabat joie, mais le thème revient toujours à la même chose : pour ou contre le vaccin. Premier sujet général avec les greffes et les transfusion ; il y a peu, sujet sur Pasteur...
Le ROR a été obligatoire pendant les années 90. Y a-t-il plus d'autiste né dans les années 90 que dans les autres?
De plus, le mercure est interdit dans les produits de santé : pour preuve, même dans les thermomètres il n'y en a plus...

"La théorie de l'origine vaccinale

* De nombreuses personnes ont associé l'apparition de la maladie au vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR), et au mercure qu'il contenait jusqu'en 2001. La première étude évoquant cette possible association date de 1998[52]. Cette théorie a été invalidée par de nombreuses études postérieures[53] et par la rétractation de 10 des 12 auteurs de l'étude initiale ayant mis en cause ce vaccin au Royaume-Uni.

* Suite à la mise en cause du vaccin ROR au Royaume-Uni, le nombre d'enfants vaccinés a nettement décru, sans qu'on constate parallèlement une diminution du nombre d'enfants autistes diagnostiqués. Mais d'autres vaccins contiennent des métaux comme additifs.
Enfin, selon le Times, Andrew Wakefield, à l'origine de cette thèse, avait falsifié les données de la première étude sur le sujet[54], ce qui cause potentiellement un désastre de santé publique, puisque la rougeole est une affection qui a avec certitude des complications mortelles ou gravement invalidantes.

* L'épilogue de cette affaire est intervenu le 2 février 2010: la revue médicale The Lancet, dans laquelle Wakefield et ses collègues avaient publié leur étude initiale mettant en cause le vaccin ROR, s'est rétractée formellement et a retiré l'article de ses archives[55]. The Lancet a ainsi suivi un jugement du General Medical Council britannique (Conseil général de la médecine) en date du 28 janvier 2010, selon lequel certains éléments de l'article de 1998 de Wakefield et ses co-auteurs sont « incorrects » et ses méthodes de recherche « non éthiques ».

* Certains spécialistes avaient affirmé qu'il pouvait exister un lien entre thimérosal (additif fréquent des premières générations de vaccin, à base de mercure) et les désordres de type autistique [56],[57],[58]. Selon d’autres études le thimérosal ne présente aucun danger[59],[60]. La justice américaine a ainsi rejeté en février 2009, les demandes de dédommagement de trois familles affirmant que leur enfant était devenu autiste après l'administration du vaccin ROR, en soulignant qu'il n'y avait pas de preuves scientifiques fiables pour soutenir leur plainte[61]."
Source : Wikipédia


http://fr.wikipedia.org/wiki/Autisme#cite_note-52 : anotation 53
les réponses sont dans les posts plus haut, il ne s'agit pas de 3 cas mais de centaines de milliers au moins ! il faut lire les arguments des uns et des autres pour qu'il y ait débat et non pas suite de monologues ;)
 
Mais vaut-il mieux 70 cas de rubéoles et 40 d'oreillons pour 1000 personnes ou un cas d'autisme pour 10 000?
Il n'y a pas plus d'autisme entre 90 et 2000 qu'entre 2000 et 2010 (ou il y a eu une forte baisse de vaccination)
 
L'Elfe":2mq1931x a dit:
Mais vaut-il mieux 70 cas de rubéoles et 40 d'oreillons pour 1000 personnes ou un cas d'autisme pour 10 000?
Il n'y a pas plus d'autisme entre 90 et 2000 qu'entre 2000 et 2010 (ou il y a eu une forte baisse de vaccination)
ce ne sont pas les chiffres officiels , lis les posts plus haut , enfin si tu veux ... c'est ton choix , les libertés se prennent , elles ne se donnent pas :)
 
le problème c'est qu'il faudrait des témoins. et à échelle humaine, c'est un peu délicat...
 
azalaïs":1y8mm5yu a dit:
le problème c'est qu'il faudrait des témoins. et à échelle humaine, c'est un peu délicat...
témoin ou victime sera suivant les informations que nous aurons, chacun en tirera des conclusions personnelles en conséquences , nous sommes tous concernés , notre santé nous appartient , avoir une confiance aveugle est-il raisonnable ?
 
l'elfe
Mais vaut-il mieux 70 cas de rubéoles et 40 d'oreillons pour 1000 personnes ou un cas d'autisme pour 10 000?
Il n'y a pas plus d'autisme entre 90 et 2000 qu'entre 2000 et 2010 (ou il y a eu une forte baisse de vaccination)
Tu as, jusqu'à un certain point, raison lorsque l'on se trouve devant un cas de conscience. mais tes chiffres ne sont pas bon.
Sur pdf. Sante gouv.
Plan d’élimination rougeole et rubeole2.2.2 Epidémiologie
Le nombre de nouveau-nés atteints de rubéole congénitale malformative a été de 6 en 2001, 1 en 2002 et 2 en 2003 ce qui correspond à des taux d’incidence respectifs de 0.78, 0.13 et de 0.26pour 100 000 naissances vivantes. Au cours des 3 dernières années, le nombre total d’infections rubéoleuses survenant chez des femmes enceintes de moins de 20 ans a été de 13. Les taux d’infections observés dans cette tranche d’âge en 2001, 2002 et 2003 ont été respectivement de 50.1, 13.1 et 20.3 pour 100 000 naissances vivantes.
donc pas 70 sur 1000 soit 7.000 pour 100.000 au lieu de moins de 1 pour 100.000.
2.1.2 Epidémiologie
L’incidence nationale de la rougeole était autour de 300.000 cas par an en 1985 et a progressivement chuté pour atteindre un nombre estimé de 10 400 cas en 2003 et 4 448 en 2004, correspondant à des taux d’incidence respectifs de 16 cas et 7 cas pour 100.000 habitants. Parallèlement, le réseau de médecins sentinelle a observé une augmentation de l’âge moyen de survenue de la maladie avec une proportion des patients âgés de plus de 10 ans qui est passée de 13% en 1985 à 62% en 2002. Ceci est corroboré par une enquête sérologique nationale réalisée en 1998 montrant que 5% de la population âgée de 15 à 19 ans à cette période n’était pas protégée contre la rougeole.
Là aussi taux très bas et pas de mortalité depuis 2005.

Chez les enfants entre 2 et 12 ans, les oreillons est en général une maladie bénigne qui se résorbe d’elle-même. Le risque de surdité concerne 1 cas pour 20 000, et la mortalité 1 à 3 cas pour 10 000.
Source Bloc.com : http://www.bloc.com/article/sante/malad ... z1ITfCkL52
Donc 1 à 3 pour 10.000 et non 40 pour 1000, donc 400 pour 10.000

FAITS Historiques montrant les Dangers et l’Inefficacité des Vaccinations
http://www.rense.com/general87/historic.htm
* En 1871-72 l’ Angleterre avec un taux de vaccinés contre la variole de 98% parmi les personnes de 2 à 50 ans eut à affronter la pire des épidémies avec 45.000 décès. A la même période en Allemagne, avec un taux de vaccinés atteignant les 96%, on comptabilisa 125.000 décès de variole. (NDT n°1) http://www.soilandhealth.org/02/0201hyg ... n.toc.html
* En Allemagne, la vaccination obligatoire contre la diphtérie débuta en 1940. En 1945 les cas de diphtérie étaient passés de 40.000 à 250.000 (« Don’t get stuck, Hannah Allen.)
* Aux USA en 1960, deux virologues découvrirent que les deux vaccins antipolio étaient contaminés par le virus simien SV40 qui provoque le cancer chez les animaux, de même que des modifications dans des cellules humaines en culture. Des millions d’enfants ont reçu ces vaccins. ( Med. Jnl. of Australia, 17/3/1973, p.555.)
* En 1967, le Ghana fut déclaré exempt de rougeole par l’Organisation Mondiale de la Santé après que 96% de sa population ait été vaccinée. En 1972, le Ghana connut l’une des pires épidémies de rougeole jamais connue avec un taux de mortalité jamais atteint auparavant. ( Dr H. Albonico,MMR Vaccine Campaign in Switzerland, March 1990).
* Au Royaume Uni entre 1970 et 1990, plus de 200.000 cas de coqueluche se sont produits chez des enfants parfaitement vaccinés. (Community Disease surveillance Centre, UK.)
* Dans les années 1970’ eut lieu en Inde une vaste expérimentation sur 260.000 personnes concernant le vaccin contre la tuberculose (BCG) . Cette étude révéla qu’il y avait plus de cas de tuberculose chez les vaccinés que chez les non vaccinés. (Lancet, 121/80, p. 73)
* En 1977 le Dr Jonas Salk qui avait mis au point le premier vaccin contre la polio, affirma conjointement à d’autres scientifiques, que les vaccinations massives contre la polio avaient été la cause de la plupart des cas de polio aux Etats-Unis depuis 1961. (Science 4/477 « Abstracts » ) (NDT n°2)
* En 1978, une enquête menée dans 30 états américains a montré que plus de la moitié des enfants qui avaient contracté la rougeole avaient été vaccinés selon les règles. ( The People’s Doctor, DrR.Mendelsohn)
* En 1979, la Suède a abandonné le vaccin contre la coqueluche suite à son manque d’efficacité. Parmi les 5.140 cas de coqueluche enregistrés en 1978, 84% avaient été vaccinés jusqu’à trois fois ! (British Medical Journal, 283 :696-697, 1981.)
* Le numéro de février 1981 du Journal de l’Association Médicale Américaine a montré que 90% des obstétriciens et 66% des pédiatres ont refusé de se faire vacciner contre la rubéole.
* Aux Etats-Unis, le coût d’un simple vaccin DPT est passé de 11 cents en 1982 à 11, 40 dollars en 1987. Les fabricants de vaccins ont, par dose de vaccin, mis 8 dollars de côté pour pouvoir couvrir le coût des dommages qu’ils devaient payer aux parents dont les enfants avaient eu le cerveau endommagé, ainsi que pour les enfants qui étaient décédés après avoir reçu des vaccinations. (The Vine, Issue 7, January 1994, Nambour, Qld )
* Entre 1988 et 1989 à Oman, une épidémie de polio se déclara parmi des milliers d’enfants complètement vaccinés. La région la plus touchée fut celle où le taux de vaccinations avait été le plus élevé. ( The Lancet, 21/09/91.)
* En 1990 au Royaume Uni une étude réalisée auprès de 598 médecins révéla que plus de 50% d’entre eux refusèrent de recevoir le vaccin contre l’hépatire B en dépit du fait qu’ils appartenaient à un groupe à haut risque qui avait cependant été pressé de se faire vacciner. (British Medical Journal, 27/01/1990)
* En 1990 le Journal de l’Association Médicale Américaine publia un article sur la rougeole qui stipulait : « Bien que plus de 95% des enfants en âge d’école aux Etats-Unis soient vaccinés contre la rougeole, d’importantes épidémies ont continué à se produire dans les écoles et dans la plupart des cas cette situation se produisit parmi les enfants qui avaient déjà été vaccinés. (JAMA, 21/1190.)
* Aux Etats-Unis, de juillet 1990 à novembre 1993, la Food ans Drug Administration a relevé un total de 54.072 effets secondaires après vaccinations. La FDA a admis que ce chiffre ne représentait que 10% de nombre réel total, pour la simple raison que la plupart des médecins refusent de rapporter les dommages vaccinaux. En d’autres termes, les réactions négatives pour cette période excèdent le demi million ! ( National Vaccine Information Centre, March 2, 1994.)
* Le New England Journal of Medicine de Juillet 1994 publie une étude qui a montré que plus de 80% des enfants en-dessous de 5 ans et qui avaient contracté la coqueluche avaient été complètement et dûment vaccinés.
* Le 2 novembre 2000, l’Association des Médecins Américains et des Chirurgiens (AAPS) a déclaré que ses membres avaient, au cours de leur 57 ème Congrès à St Louis voté une résolution demandant l’arrêt des vaccinations obligatoires. La résolution fut adoptée à l’unanimité. http://www.wellnesschiro.com/physicians ... ccines.htm (Report by Michael Devitt)
http://www.vaccinationdebate.com/web2.html
NDT :
1)- En 1810 « The London Medical Observer » Vol. VI, 1810 publie l’histoire de 535 cas de variole après vaccination (E.McBean, 1957). En 1834, la loi rend la vaccination obligatoire en Prusse. La population est pratiquement vaccinée à 100%. Après 35 ans de vaccination obligatoire, une épidémie de variole entraîne le décès de 124.978 citoyens Prusses vaccinés et revaccinés ( Dr Hadwen W. M.D. Médaille d’Or de Médecine et de chirurgie.)- http://www.whale.to/v/hadwen.html
2) L’ENCYCLOPEDIA UNIVERSALIS , Corpus 14, 1988, p.903 publie (…) « en contraste avec ces résultats, qui constituent la plus éclatante victoire jamais obtenue par les vaccinations, les rapports de l’OMS montrent que, en d’autres régions (Afrique, Amérique latine), sur trente-quatre pays vaccinés par vaccin vivant, vingt-quatre ont enregistré une augmentation des cas de poliomyélite : de sorte que, si l’on considère soixante-dix pays des régions tropicales ou subtropicales, on constate qu’il y a eu en 1966 une augmentation des cas de poliomyélite allant jusqu’à 300 p. 100. »
Non limitatif.
 
article intéressant sur l'autisme
http://www.astrosurf.com/luxorion/autisme-ror.htm
L'autisme et la vaccination ROR

La santé en question
Des associations américaines représentant près de 5000 familles dont les enfants sont devenus autistes après avoir, semble-t-il, reçu une vaccination ROR (rougeole, oreillons et rubéole) ont porté l'affaire en justice sous le motif qu'il y avait un lien plausible de cause à effet entre l'autisme et ces vaccins pédiatriques.
Depuis la fin des années 1990, l'autisme fait coulé beaucoup d'encre et alimente une importante littérature, tant livresque que sur Internet, et de plus en plus polémique.
Penchons-nous un instant sur cette maladie et les raisons qui ont poussé ces victimes à porter l'affaire sur la place publique.
Avant toute chose, définissons l'autisme.
Qu'est-ce que l'autisme ?
L’autisme a été décrit pour la première fois en 1943 par le pédopsychiatre américain d'origine autrichienne Léo Kanner qui l'identifia non pas comme une psychose de l'enfant mais comme une maladie à part entière.
Cette maladie est classée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l'Association de Psychologie Américaine (APA) comme un trouble du développement résultant d'un désordre du système nerveux central.
Depuis cette découverte, l'autisme n'est plus du ressort de la psychiatrie mais des neurosciences et de la génétique.
L'autisme se caractérise par des difficultés de communication et d’interaction avec les autres, accompagné par des comportements répétitifs stéréotypés, parfois avec un retard mental ou une épilepsie. L'enfant s'isole en silence dans son monde au plus grand dérarroi de ses parents.
L’autisme est généralement diagnostiqué lorsque l'enfant atteint 2 ou 3 ans, au moment où il développe des interactions avec les autres. Mais des tests spécialisés permettent souvent de suspecter plus tôt un trouble du développement de type autiste.
Chez certains enfants autistes, le développement semble normal pendant de nombreux mois, avant d’être suivi d’une régression, parfois assez soudaine, dans le langage, les jeux et le comportement. On parle alors d’autisme régressif.
Enfin, certains autistes peuvent développer des dons prodigieux pour le calcul ou la mémorisation notamment, mais ils ne contrôlent pas cette faculté et ne peuvent donc pas l'adapter à d'autres tâches.
Actuellement nous ne connaissons pas de remède contre cette maladie handicappante. A défaut, certains parents s'orientent vers l'homéopathie et les médecines parallèles mais si elles pouvaient vraiment guérir les autistes, cela se saurait. Il faut donc continuer à encourager la recherche scientifique, à la fois théorique et clinique.
Origine de la maladie
Si on connaît les effets de cette maladie neurologique, si on sait comment elle se manifeste et où elle agit, on ignore encore son origine précise et la manière de la guérir.

Des psychothérapies douteuses ont "démontré" en leur temps qu'il existerait un dénominateur commun chez les autistes, à savoir un manque grave de communication des parents et/ou des familles concernées dans lesquelles avait baigné l'enfant au cours de sa conception. La responsabilité était donc reportée sur les parents ou la famille, déjà culpabilisés par la naissance d'un enfant handicappé. Il va sans dire qu'on rejoint ici la pataphysique et les pseudosciences !
Plus sérieusement, jusqu'à présent les chercheurs ont toujours considéré que l'autisme était une maladie génétique, pour preuve le lancement de l'Autism Genome Projet, AGP en 2002 et dont les premiers résultats ont été publiés en 2007.
En 2006, l'institut Pasteur a d'ailleurs découvert un gène responsable d'une forme d'autisme, le gène SHANK3 qui se trouve dans la zone du chromosome 22q13 (Cf Nature Genetics, Dec 2006). Son altération provoque des mutations sur deux gènes parmi les 931 gènes dont est constitué le chromosome sexuel X. Ces mutations génétiques ont un impact sur des protéines, les neuroligines, qui interviennent dans la formation des synapes, les zones de communication entre les neurones.
Si l'origine génétique de la maladie est validée par de nombreuses études et découvertes, on constate toutefois ces dernières années une sorte d'épidémie d'autisme.
Fréquence
Ainsi que le confirment ces graphiques préparés par le Projet TAAP qui se consacre à l'autisme, aux Etats-Unis on constate depuis 1992 une augmentation presque exponentielle du nombre d'enfants autistes. Selon l'Autism Society of America, la maladie augmente à un taux très rapide de 10 à 17% par an. Son évolution ne semble donc pas corrolée avec le taux de natalité (15.1 naissances pour 1000) mais avec un facteur extérieur.

L'autisme touche aujourd'hui un enfant américain sur 166 soit environ 1.5 millions de personnes, ce qui représente 0.5% de la population. En France, l'autisme touche environ 1 enfant sur 200 soit 19000 jeunes pour un total de 75000 autistes, soit 0.12% de la population. En Belgique, le nombre d'autistes est évalué à 4.9 enfants sur 10000 naissances, avec une proportion de 3 ou 4 garçons pour 1 fille. Cela représente environ 60000 personnes soit 0.57% de la population. En Suisse, l'autisme toucherait jusqu'à 60000 personnes, soit 0.8% de la population, ce qui est très élevé comparativement aux autres pays.
Que peut-on en conclure ? Pour caricaturer la situation, on pourrait se demander si les médecins concernés nous ont menti ou s'il connaissent leur sujet ? En réalité il y a sans doute un peu des deux. En tous cas, si les "épidémies génétiques" n'existent pas, une certaine forme d'autisme apparaît alors comme une malade contractée par contact avec une substance toxique pour l'organisme. Encore faut-il l'identifier pour asseoir cette théorie.
Lancet, février 1998
D'où vient cette hypothèse ? Il faut remonter à 1998 où l'on trouve dans la revue médicale anglaise The Lancet (Wakefield et al., 28 Fév 1998, pp351(9103):637-41) la description d’une série de 12 enfants âgés de 9 à 12 ans adressés au Dr Wakefield, un gastroentérologue londonien, pour investigation sur des symptômes gastro-intestinaux avec syndrome neurologique régressif (autisme). Les troubles auraient commencé peu après (entre 1-2 jours et 1-2 semaines) la vaccination ROR.
Après quelques incertitudes sur l'origine de l'infection et la publication de nombreux travaux sur la question, quelques années plus tard de nouveau faisceau d'indices semblaient indiquer qu'il existerait une corrélation entre la vaccination ROR et un nouveau type d’autisme associant des troubles digestifs puis un autisme régressif.

La nouvelle fut très mal reçue par tous les médecins et chercheurs concernés de loin ou de près par cette maladie. La quasi totalité des pédiatres refusa d'admettre cette causalité et continue de le nier farouchement ainsi que le démontre cette publication suisse de 2002 remise à jour récemment.
Ce document prétend notamment que : "le risque d’autisme est le même chez les enfants qui ont été vaccinés avec le vaccin ROR avant qu’apparaissent l’autisme et chez ceux dont le diagnostic a été posé avant qu’ils soient vaccinés". Mais dans ce cas, comment expliquer l'apparition soudaine de la maladie chez des enfants de 9 à 12 ans ? Preuve de leur partialité et de leur manque de transparence, la question n'est même pas soulevée dans leur dossier !
Parmi les réfractaires à la théorie ROR, il y eut une étude du Centre universitaire de santé McGill à Montréal (CUSM) réalisée auprès de 28000 enfants québécois. Elle conclut comme la majorité des pédiatres : ''les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ne sont pas responsables des troubles envahissants du développement comme l'autisme et le syndrome d'Asperger". Or les milliers d'enfants devenus autistes après avoir reçu une vaccination ROR tentent à démontrer que cette opinion est fausse voire mensongère. Alors qui ment et qui dit la vérité ?
Du mercure dans les vaccins ROR
Partout en occident, l'information à ce sujet passe très mal entre le ministère de la Santé et la population. Aux Etats-Unis par exemple, suite à la Loi sur la Liberté d'accès à l'information (FOIA), on apprit que les Centers for Disease Control (CDC), la Food and Drug Administration (FDA) et les principaux fabricants de vaccins avaient sciemment menti avec l'approbation des autorités et tenus des colloques où l'embargo avait été décrété sur toutes les informations discutées au cours des réunions !

Grâce au FOIA, on apprit que ces experts avaient oublié de dire que jusqu'en 2005, les vaccins contenaient du Thimerosal par exemple qui est un préservatif (antisceptique) contenant 49% de mercure ! Vous trouverez plus de détails dans cette longue page rédigée par l'écrivain environnementaliste Robert F. Kennedy.
En parallèle, on a démontré que le mercure présente 27 fois plus de chance de développer l'autisme. Le lien entre le vaccin à base de mercure et l'autisme est donc plus clair qu'entre le tabac et le cancer ! Qui oserait encore le nier ?
Donc, malgré l'avis négatif de certains chercheurs, on peut en déduire qu'il y aurait bien un lien de cause à effet entre l'absorption de Thimerosal et l'autisme contracté par les enfants ayant reçu le vaccin ROR. Sinon, comment allez-vous expliquer à ces parents l'autisme soudain dont fut victime leur enfant juste après avoir été vacciné ?
Même en Belgique, la plupart des médecins refutent violemment cette hypothèse, études scientifiques à l'appui. Toutefois, en cherchant bien on trouve quelques médecins dont le pédiatre belge Kris Glaubomme qui osent dénoncer la langue de bois de leurs collègues. Très engagé et expert de ces questions, le 5 avril 2002, le Dr Glaubomme tint une conférence sur la vaccination au Parlement européen.
Les juges décideront
Les parents dont les enfants sont autistes auraient bien besoin d'une preuve formelle, scientifique, pour plaider leur cause. Or il faut se rappeler que les études épidémiologiques sont statistiques et tant que le lien de cause à effet n'est pas établi, il n'existe pas au yeux des scientifiques. Rappelez-vous les victimes de "soi-disant" irradiations nucléaires en Polynésie ou au Groenland dont la maladie n'a jamais été reconnue par les gouvernements : ils n'ont jamais été indemnisés. Entre-temps, des enfants continuent à contracter l'autisme !

C'est pour cette raison qu'un avocat voit le problème autrement. "Il y a une différence entre une preuve scientifique et une preuve légale", a déclaré Kevin Conway, l'avocat d'une famille américaine victime de l'autisme. Selon lui, la première est à 95% certaine tandis que pour la seconde il s'agit de convaincre le tribunal qu'un lien est suffisamment plausible.
Notons que c'est le même argument qui a été retenu par les parties civiles pour indemniser les personnes irradiées à l'époque des essais nucléaires français à Mururoa. Généralement, l'argument du lien plausible est reconnu.
En revanche, pour le CDC, une victoire des plaignants pourrait rendre malades, voire tuer des dizaines de milliers d'enfants puisqu'ils ne seront plus vaccinés contre la ROR.
L'un des trois juges, Gary Golkiewicz, a expliqué aux médias qu'il mesurait les implications de cette affaire. Mais, a-t-il dit, la mission de ce tribunal est seulement de décider si les plaignants établissent ou non un lien plausible entre les vaccins et l'autisme.
Pour sa part, l'Autism Society of America précisait sur son site Internet que même les CDC avaient des doutes puisqu'ils ont récemment décidé d'effectuer des recherches supplémentaires sur cette question. Voilà au moins une attitude scientifique plus responsable.
Si les familles obtiennent gain de cause, elles pourraient obtenir des dédommagements dans le cadre d'un fonds fédéral créé spécialement par le Congrès américain pour encourager la production de vaccins tout en protégeant les laboratoires pharmaceutiques contre d'éventuelles poursuites judiciaires qui pourraient ruiner leur société. Affaire à suivre comme l'on dit.
En guise de conclusion
Tout médecin vous dira qu'il n'existe pas de vaccin sans effet secondaire comme d'autres vous diront qu'aucun autre que celui du Tétanos n'est indispensable dans nos sociétés modernes. Comme toujours, la vérité se trouve entre les deux avis. Bon nombre de vaccins ont des effets secondaires négatifs mais les vaccins sont toujours indispensables pour combattre des maladies qui tuent encore.
Si vous êtes sensibilisé par cette maladie, sachez que chaque année de nombreuses associations et communes font des campagnes de sensibilisation afin de récolter des fonds pour la recherche sur l'autisme.
Pour plus d'information sur l'autisme, consultez ces excellentes ressources en français ainsi que le site de l'Autism Society of America. Il existe également de nombreux livres de vulgarisation et des témoignages sur le sujet.
A lire sur le blog à propos des autistes :
Stephen Wiltshire, la caméra vivante
Daniel Tammet, autiste savant et auteur
Etes-vous autiste ?
Des chercheurs du centre de recherche sur l'autisme de l'Université de Cambridge (ARC) ont développé un questionnaire qui serait en mesure de dépister les tendances autistes chez les adultes.
Au terme des 50 questions, plus le score est élevé, plus votre tendance est forte. La moyenne pour un individu masculin "normal" est de 15 et de 17 pour un sujet féminin. A partir de 35, vous avez tous les symptômes de l'autiste (symptômes d'Asperger). Assez étonnement, certaines personnes tout ce qu'il y a de plus "normales" obtiennent un résultat entre 30 et 34. Si ce programme est fiable, où est la normalité ?
Voir aussi les tableaux TAAP très "parlants"
 
L'autisme et l'épilepsie liés par un gène

Des chercheurs montréalais ont identifié un gène lié à la fois à l'autisme et à l'épilepsie. Leurs recherches permettent de mieux comprendre les causes de l'autisme, ce qui pourrait mener à des médicaments pour cette maladie.

«On savait que les autistes sont plus souvent épileptiques que la moyenne de la population, et aussi que les épileptiques sont plus souvent autistes», explique Patrick Cossette, de l'Université de Montréal et du centre de recherche du CHUM, qui est l'auteur principal de l'étude publiée dans la revue Human Molecular Genetics. «Nous venons de trouver un lien génétique entre les deux maladies.»

Selon le Dr Cossette, le tiers des autistes ont des crises d'épilepsie, alors que les troubles envahissants du développement (TED), une catégorie large qui inclut l'autisme, touche entre 20% et 25% des enfants autistes. Dans la population, les TED et l'épilepsie frappent moins de 1% de la population.

Les mutations génétiques du gène de la synapsine sont présentes chez 1% des autistes et 3,5% des épileptiques. Ce gène est impliqué dans les synapses qui communiquent l'information, sous forme d'électricité, entre les neurones du cerveau.

«On sait que l'épilepsie est un genre de court-circuit des synapses, dit le Dr Cossette. L'autisme pourrait être la forme comportementale de ces courts-circuits. Ça renforce l'idée que l'autisme a des origines génétiques. On a déjà trouvé une dizaine de gènes qui sont liés à cette maladie.»

Les deux maladies sont liées au développement du cerveau, dans une phase où le cerveau procède à un «élagage des synapses», dans les premières années de vie, indique le Dr Cossette. Des gènes liés à la formation et à l'élagage des synapses avaient été impliqués par le passé avec l'autisme, mais pas à l'épilepsie.
http://www.cyberpresse.ca/sciences/mede ... n-gene.php
 
Isan bonjour
les gènes sont comme le disque dur d'un ordinateur, ils enregistrent soit un fichier, soit un programme et restituent un acquis, mais ne le crée pas,le gène est donc un effet et non une cause. La question pour l'autisme ou l'épilepsie c'est: quelle en est la cause? Pour Wakefield et autres chercheurs la cause précédant la modification ou la création du gène a pour origine cette intoxication vaccinale "mutante".
 
"l'intoxication vaccinale mutante", c'est valable pour les épileptiques de l'antiquité et du Moyen-Age ainsi que les premiers cas d'autismes reconnus au 18e?
 
Jezebel bonjour
"l'intoxication vaccinale mutante", c'est valable pour les épileptiques de l'antiquité et du Moyen-Age ainsi que les premiers cas d'autismes reconnus au 18e?
Reflexion très juste. On peut comparer ce phénomène autisme ou épilepsie au cancer qui existe depuis des millénaires aussi (Hippocrate en parle comme du "crabe"). Par contre ce qui est particulier à notre époque c'est l'explosion brutale de ces maladies rarissimes il y a quelques siècles et pour l'autisme seulement quelques décennies. La question à se poser est: pourquoi? Quels sont les éléments déclenchants? La particularité des travaux de Wakefield et autres chercheurs c'est d'avoir mis le doigt sur la fragilité intestinale et l'explosion de l'autisme. Par contre sans cette fragilité, cet austisme et les épilepsies ne semblent pas se manifester. Donc la question du rapport autisme/vaccin ROR/fragilité intestinale est donc à poser et à résoudre.
 
ça faisait longtemps que j'étais pas passé par là, on s'amuse toujours autant à lire les posts de Janic qui nous citent des articles sur la santé publiés sur des sites d'astronomies. Faut que je mette celle là de côté aussi:

"les gènes sont comme le disque dur d'un ordinateur, ils enregistrent soit un fichier, soit un programme et restituent un acquis, mais ne le crée pas,le gène est donc un effet et non une cause"@Janic

Trop fort. Tu veux pas tenter un petit "format genes:/" ce week-end stp ?
 
papavg
ça faisait longtemps que j'étais pas passé par là, on s'amuse toujours autant à lire les posts de Janic qui nous citent des articles sur la santé publiés sur des sites d'astronomies. Faut que je mette celle là de côté aussi:
"les gènes sont comme le disque dur d'un ordinateur, ils enregistrent soit un fichier, soit un programme et restituent un acquis, mais ne le crée pas,le gène est donc un effet et non une cause"@Janic
On ne peut pas passer son temps à pleurer non plus, heureux que cela fasse sourire quelques uns. :D
Pour les gènes: un auteur a marqué son temps par des alégories, c'était Jean de la Fontaine.Peut-être qu'en son temps aussi, ses contemporains prenaient ses fables au premier dégré. >:)
 
janic":sj8t52bx a dit:
Isan bonjour
les gènes sont comme le disque dur d'un ordinateur, ils enregistrent soit un fichier, soit un programme et restituent un acquis, mais ne le crée pas,le gène est donc un effet et non une cause. La question pour l'autisme ou l'épilepsie c'est: quelle en est la cause? Pour Wakefield et autres chercheurs la cause précédant la modification ou la création du gène a pour origine cette intoxication vaccinale "mutante".
Sorry mais comme toute tes autres affirmation sur le même genre de sujet tirant de la théorie du complot, je continue de pas être d'accord...
 
isan bonjour
Sorry mais comme toute tes autres affirmation sur le même genre de sujet tirant de la théorie du complot, je continue de pas être d'accord...
l'objectif n'est pas d'obtenir un accord mais de faire passer une information. Après chacun en fait ce qu'il veut. C'est comme l'info sur le végéta*isme, tu auras pu remarquer que peu sont d'accord avec et pourtant de plus en plus de personnes y croient comme pour l'homéopathie, il faut du temps au temps. Qui sait, un jour peut-être....
NIETZSCHE A DIT: ''Je hais les âmes étroites, il n'y a la rien de bon et presque rien de mauvais!''
 
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