J'ai hésité avant de venir m'inscrire car je ne suis pas et ne pense pas devenir une végétarienne accomplie un jour.
Je m'appelle Noémie, j'ai 27 ans, et je vis en Dordogne.
Les mois passent, et plus la viande m'écoeure .
ça a commencé avec le steack haché, même avec une sauce au poivre, tartare, au truc, au machin... Plus possible d'en avaler même un seul morceau. Même l'odeur m'écoeure au plus haut point. Pendant un temps, ce fut le poulet la cible de mon aversion, l'odeur et le goût me rebutant particulièrement, et je m'y remet petit à petit.
Mais plus le temps passe, et plus mon aversion envers la viande s'élargit : Steack, haché ou non, porc, saucisses, chipolatas... etc. c'est devenu très dur d'en avaler.
Seulement, je vis encore chez mes parents, et mon père ne sait plus quoi m'acheter quand il prépare le repas. Dès lors, il s'inquiète, devient pesant, oppressant, et chez un homme, j'ai remarqué qu'un repas sans viande, ça n'est pas toujours un réflexe chez eux...
Je deviens alors agressive, je n'ai jamais pu supporter que l'on puisse gérer ma façon de manger, c'est bien une des choses qui ne faut pas s'amuser à faire chez moi >
Donc déjà, je ne mange plus certaines viandes, mais j'ai dû mal à concillier cela avec ma vie quotidienne avec mes parents. (Encore que pour ma mère, un repas sans viande, cela ne la chagrinerait pas tant que ça).
Pardon pour le roman, mais j'ai décidé de proscrire certaines viandes qui me rebutent, et trouver un équilibre qui me correspond, sachant que je continue à boire du lait de vache, à manger les oeufs de mes poules, et préférer le poisson et les crustacés à la viande, et puis trouver des recettes végétariennes, qui je suis sûre, pourrait plaire à mes parents et à moi-même, et cela me changerait du quotidien
Je m'appelle Noémie, j'ai 27 ans, et je vis en Dordogne.
Les mois passent, et plus la viande m'écoeure .
ça a commencé avec le steack haché, même avec une sauce au poivre, tartare, au truc, au machin... Plus possible d'en avaler même un seul morceau. Même l'odeur m'écoeure au plus haut point. Pendant un temps, ce fut le poulet la cible de mon aversion, l'odeur et le goût me rebutant particulièrement, et je m'y remet petit à petit.
Mais plus le temps passe, et plus mon aversion envers la viande s'élargit : Steack, haché ou non, porc, saucisses, chipolatas... etc. c'est devenu très dur d'en avaler.
Seulement, je vis encore chez mes parents, et mon père ne sait plus quoi m'acheter quand il prépare le repas. Dès lors, il s'inquiète, devient pesant, oppressant, et chez un homme, j'ai remarqué qu'un repas sans viande, ça n'est pas toujours un réflexe chez eux...
Je deviens alors agressive, je n'ai jamais pu supporter que l'on puisse gérer ma façon de manger, c'est bien une des choses qui ne faut pas s'amuser à faire chez moi >
Donc déjà, je ne mange plus certaines viandes, mais j'ai dû mal à concillier cela avec ma vie quotidienne avec mes parents. (Encore que pour ma mère, un repas sans viande, cela ne la chagrinerait pas tant que ça).
Pardon pour le roman, mais j'ai décidé de proscrire certaines viandes qui me rebutent, et trouver un équilibre qui me correspond, sachant que je continue à boire du lait de vache, à manger les oeufs de mes poules, et préférer le poisson et les crustacés à la viande, et puis trouver des recettes végétariennes, qui je suis sûre, pourrait plaire à mes parents et à moi-même, et cela me changerait du quotidien