Jean-Charles
Jeune bulbe
Bonsoir,
Récemment, je suis tombé par hasard sur un petit article du courrier des lecteurs de Télérama (rubrique "Cela va mieux en le disant").
L'article est nommé "GAVANT", le voici :
Mon sang ne fit qu'un tour et j'écris directement à Télérama :
"En réponse à Annick (ça va mieux en le disant du Télérama n° 3286 du 2/1/13) :
La réponse est OUI (boycott du foie ET boycott des produits bas prix-esclavage).
A l'époque de l'Apartheid, je boycottais les oranges d'Afrique du Sud pour participer au combat contre le racisme. Je boycotte aussi les produits promus par des publicités sexistes par féminisme.
En fait, l'idée est, dans la mesure de nos moyens, de lutter contre toute sorte de souffrance provoquée par l'exploitation ou la domination (esclavagisme, racisme, homophobie, sexisme, ...)
Ces considérations éthiques (et politiques) entraînent naturellement à lutter contre l'une des formes les plus importantes de souffrance sur la planète, l'exploitation de l'animal (dont les oies et canards) : l'anti-spécisme qui devrait faire partie intégrante des combats de tous ceux qui se déclarent "humanistes".
Merci à Télérama de bien vouloir publier une réponse à ce trait d'humour facile qui sous-entend qu'en luttant pour la protection animale, on ne considère aucunement les humains.
Je n'aime pas les animaux en particulier, ce qui m'insupporte, c'est la souffrance lorsqu'elle est provoquée par l'homme quelle que soit l'objectif.
Jean-Charles"
Cette réponse a été publiée cette semaine, mercredi 9/1/13 (un peu transformée mais l'essentiel est là même s'ils n'ont pas retenu le mot "spécisme", la phrase mise dans le journal étant : "Ces considérations éthiques (et politiques) entraînent naturellement à lutter contre l'exploitation de l'animal"...)
Ce n'est pas pour mettre en avant ma réponse ici, mais j'avais envie de dire qu'il est possible de contrer ce genre d'argument absurde (en plus avec l'intitulé "GAVANT" ).
Un petit mail, c'est vite fait... et parfois, ça passe et c'est publié...
Récemment, je suis tombé par hasard sur un petit article du courrier des lecteurs de Télérama (rubrique "Cela va mieux en le disant").
L'article est nommé "GAVANT", le voici :
Ceux qui ont boycotté le foie gras pour combattre la maltraitance des oies et des canards ont-ils boycotté à Noël les produits à bas prix fabriqués au prix de l'esclavage humain ? Annick - Courriel
Mon sang ne fit qu'un tour et j'écris directement à Télérama :
"En réponse à Annick (ça va mieux en le disant du Télérama n° 3286 du 2/1/13) :
La réponse est OUI (boycott du foie ET boycott des produits bas prix-esclavage).
A l'époque de l'Apartheid, je boycottais les oranges d'Afrique du Sud pour participer au combat contre le racisme. Je boycotte aussi les produits promus par des publicités sexistes par féminisme.
En fait, l'idée est, dans la mesure de nos moyens, de lutter contre toute sorte de souffrance provoquée par l'exploitation ou la domination (esclavagisme, racisme, homophobie, sexisme, ...)
Ces considérations éthiques (et politiques) entraînent naturellement à lutter contre l'une des formes les plus importantes de souffrance sur la planète, l'exploitation de l'animal (dont les oies et canards) : l'anti-spécisme qui devrait faire partie intégrante des combats de tous ceux qui se déclarent "humanistes".
Merci à Télérama de bien vouloir publier une réponse à ce trait d'humour facile qui sous-entend qu'en luttant pour la protection animale, on ne considère aucunement les humains.
Je n'aime pas les animaux en particulier, ce qui m'insupporte, c'est la souffrance lorsqu'elle est provoquée par l'homme quelle que soit l'objectif.
Jean-Charles"
Cette réponse a été publiée cette semaine, mercredi 9/1/13 (un peu transformée mais l'essentiel est là même s'ils n'ont pas retenu le mot "spécisme", la phrase mise dans le journal étant : "Ces considérations éthiques (et politiques) entraînent naturellement à lutter contre l'exploitation de l'animal"...)
Ce n'est pas pour mettre en avant ma réponse ici, mais j'avais envie de dire qu'il est possible de contrer ce genre d'argument absurde (en plus avec l'intitulé "GAVANT" ).
Un petit mail, c'est vite fait... et parfois, ça passe et c'est publié...