janic
Fait crier les carottes
Je pense que c'est le bon endroit pour ce sujet!
Entre le yin et le yang
Presque tout le monde connait maintenant ce symbole du YIN/YANG. Comme symbole, il sert à donner du sens aux événements de notre vie.
Vous n’êtes pas sans avoir remarqué que les échanges, ici comme ailleurs, se transforment souvent en pugilats verbaux (quelques fois tempérés par une note d’humour).
Les explications que je donnerai ci-dessous ne sont bien entendu pas limitatives et n’ont aucune prétention de vérité. C’est donc juste un outil qui peut aider à relativiser les choses.
Donc le premier élément à remarquer dans ce symbole, c’est le cercle. Ce cercle symbolise l’enfermement de l’espace : de l’espace infini (ou indéfini), à l’espace fini, limité, tout comme une bulle de savon enferme de l’air au sein de l’air et donc y met ses limites.
L’auteur de ce symbole a séparé ce cercle en deux parties : d’un coté le sombre, de l’autre le clair, ce qui symbolise les oppositions : le chaud, le froid ; le haut, le bas; le bien, le mal.
L’auteur aurait pu tracer une ligne droite comme séparation (symbole de rigidité, de rationalisme), mais il y a mis des courbes (symbole de souplesse, d’adaptabilité) avec deux parties renflées et deux parties amincies, chacune en opposition.
Symboliquement lorsque le YIN l’emporte sur le YANG, c’est pour y laisser une partie de lui-même sur laquelle le YANG l’emporte et inversement en une sorte de faux équilibre. C’est comme mettre dans un verre de l’huile et de l’eau (qui ne sont pas miscibles ensembles) ; quand l’un veut prendre un volume occupé par l’autre, il ne faut que laisser un espace vide aussitôt occupé par l’autre composant.
C’est le symbole de l’opposition permanente et, dans une discussion, un débat, il représente le vouloir avoir raison, être le détenteur d’une vérité.
Toujours dans le symbole YIN/YANG, l’auteur a mis au cœur de la partie la plus renflée (l’égo) une petite partie de son opposé : dans le YIN du YANG et dans le YANG du YIN. Toute vérité (supposée) a en son sein une part d’erreur, toute certitude a une part d’incertitude.
Maintenant, si l’on veut suivre la bordure intérieure du YIN (et du même coup du YANG) on débouche sur le cercle extérieur et l’on tourne en rond (une expression populaire couramment utilisée ce « tourner en rond ») et que l’on s’y prenne dans un sens ou dans l’autre, on fini toujours par tourner en rond et toujours dans le même sens (comme bien des débats où chacun campe sur ses positions).
Ensuite, pour reprendre l’exemple de la bulle : la mousse, c’est une multitude de bulles collées les unes aux autres et donc séparées par leur EGO, par leurs limites, sauf lorsque leur ego éclate et que 2,3 bulles se fondent ensemble et ne font plus qu’une seule bulle (être d’accord sur un point particulier) mais forment de ce fait un ego encore plus gros.
C’est ce phénomène que l’on rencontre dans tous les systèmes établis : la politique, la religion, la philosophie, la science, etc.. le végéta*isme, l’omnivorisme.
Pour en sortir, il faut éclater sa bulle vers l’extérieur, cesser d’isoler une partie du tout pour le refondre dans le tout (comme la mort qui fait taire les egos). C’est cela que l’on appelle la spiritualité qui permet de percevoir la relativité de toutes choses et peut mettre fin aux conflits qui ne sont souvent que formels.
Entre le yin et le yang
Presque tout le monde connait maintenant ce symbole du YIN/YANG. Comme symbole, il sert à donner du sens aux événements de notre vie.
Vous n’êtes pas sans avoir remarqué que les échanges, ici comme ailleurs, se transforment souvent en pugilats verbaux (quelques fois tempérés par une note d’humour).
Les explications que je donnerai ci-dessous ne sont bien entendu pas limitatives et n’ont aucune prétention de vérité. C’est donc juste un outil qui peut aider à relativiser les choses.
Donc le premier élément à remarquer dans ce symbole, c’est le cercle. Ce cercle symbolise l’enfermement de l’espace : de l’espace infini (ou indéfini), à l’espace fini, limité, tout comme une bulle de savon enferme de l’air au sein de l’air et donc y met ses limites.
L’auteur de ce symbole a séparé ce cercle en deux parties : d’un coté le sombre, de l’autre le clair, ce qui symbolise les oppositions : le chaud, le froid ; le haut, le bas; le bien, le mal.
L’auteur aurait pu tracer une ligne droite comme séparation (symbole de rigidité, de rationalisme), mais il y a mis des courbes (symbole de souplesse, d’adaptabilité) avec deux parties renflées et deux parties amincies, chacune en opposition.
Symboliquement lorsque le YIN l’emporte sur le YANG, c’est pour y laisser une partie de lui-même sur laquelle le YANG l’emporte et inversement en une sorte de faux équilibre. C’est comme mettre dans un verre de l’huile et de l’eau (qui ne sont pas miscibles ensembles) ; quand l’un veut prendre un volume occupé par l’autre, il ne faut que laisser un espace vide aussitôt occupé par l’autre composant.
C’est le symbole de l’opposition permanente et, dans une discussion, un débat, il représente le vouloir avoir raison, être le détenteur d’une vérité.
Toujours dans le symbole YIN/YANG, l’auteur a mis au cœur de la partie la plus renflée (l’égo) une petite partie de son opposé : dans le YIN du YANG et dans le YANG du YIN. Toute vérité (supposée) a en son sein une part d’erreur, toute certitude a une part d’incertitude.
Maintenant, si l’on veut suivre la bordure intérieure du YIN (et du même coup du YANG) on débouche sur le cercle extérieur et l’on tourne en rond (une expression populaire couramment utilisée ce « tourner en rond ») et que l’on s’y prenne dans un sens ou dans l’autre, on fini toujours par tourner en rond et toujours dans le même sens (comme bien des débats où chacun campe sur ses positions).
Ensuite, pour reprendre l’exemple de la bulle : la mousse, c’est une multitude de bulles collées les unes aux autres et donc séparées par leur EGO, par leurs limites, sauf lorsque leur ego éclate et que 2,3 bulles se fondent ensemble et ne font plus qu’une seule bulle (être d’accord sur un point particulier) mais forment de ce fait un ego encore plus gros.
C’est ce phénomène que l’on rencontre dans tous les systèmes établis : la politique, la religion, la philosophie, la science, etc.. le végéta*isme, l’omnivorisme.
Pour en sortir, il faut éclater sa bulle vers l’extérieur, cesser d’isoler une partie du tout pour le refondre dans le tout (comme la mort qui fait taire les egos). C’est cela que l’on appelle la spiritualité qui permet de percevoir la relativité de toutes choses et peut mettre fin aux conflits qui ne sont souvent que formels.