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entre le YIN et le YANG
- Auteur de la discussion janic
- Date de début
Hebi
Broute de l'herbe
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- 2/2/11
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On dirait que ce sujet s'est fait remonter par un spam...
Ceci dit, j'en ai profité pour lire les interventions et voudrait apporter une toute petite pierre à la réflexion.
Il est courant d'employer comme exemples concrets de principes opposés, lumière/ténèbres, ou chaud/froid, voire vivant/mort...
Il s'agit, à mon sens d'une erreur de conception. Le froid n'est pas une force concrète opposée à la chaleur, il s'agit d'une absence de chaleur. Tout comme les ténèbres sont une absence de lumière, la mort une absence de vie...
Ainsi la phrase de Shin:
Un point important pour que des choses soient opposées, c'est qu'elles doivent être "actives", "concrètes", et les effets de l'une doivent annuler les effets de l'autre. "l'état de mort" n'est pas l'opposé de "l'état de vie". Mourir, c'est cesser de vivre. En revanche, "tuer", c'est "ôter la vie".
Il est difficile de transposer cela aux notions de "bien" et de "mal", d'autant plus que leurs acceptions sont relatives. Mais on peut tout de même se demander "l'absence de bien" est-elle forcément le mal, et "l'absence de mal", forcément le bien?
L'humain à tendance à simplifier les choses pour les ramener à deux alternatives. En réalité, c'est rarement le cas.
Cela peut amener à cette question à propos du Yin et du Yang: ceux qui l'on déterminé ont-il vraiment voulu symboliser l'opposition (contrairement à lumière et ténèbres, blanc et noir sont de réels opposés: l'un rejette la lumière, l'autre l'absorbe), ou ont-il représenté comme ils le pouvaient un concept de présence/absence?
S'il s'agit bien de deux principes opposés, alors le fait qu'ils soient délimités dans l'espace prend un autre sens: ces principes existent localement, dans quelque chose de plus vaste qui n'est ni l'un, ni l'autre, mais l'absence des des deux (ou la fusion des deux, entrainant leur annulation)
Ceci dit, j'en ai profité pour lire les interventions et voudrait apporter une toute petite pierre à la réflexion.
Il est courant d'employer comme exemples concrets de principes opposés, lumière/ténèbres, ou chaud/froid, voire vivant/mort...
Il s'agit, à mon sens d'une erreur de conception. Le froid n'est pas une force concrète opposée à la chaleur, il s'agit d'une absence de chaleur. Tout comme les ténèbres sont une absence de lumière, la mort une absence de vie...
Ainsi la phrase de Shin:
Est à mon avis particulièrement exacte.
Un point important pour que des choses soient opposées, c'est qu'elles doivent être "actives", "concrètes", et les effets de l'une doivent annuler les effets de l'autre. "l'état de mort" n'est pas l'opposé de "l'état de vie". Mourir, c'est cesser de vivre. En revanche, "tuer", c'est "ôter la vie".
Il est difficile de transposer cela aux notions de "bien" et de "mal", d'autant plus que leurs acceptions sont relatives. Mais on peut tout de même se demander "l'absence de bien" est-elle forcément le mal, et "l'absence de mal", forcément le bien?
L'humain à tendance à simplifier les choses pour les ramener à deux alternatives. En réalité, c'est rarement le cas.
Cela peut amener à cette question à propos du Yin et du Yang: ceux qui l'on déterminé ont-il vraiment voulu symboliser l'opposition (contrairement à lumière et ténèbres, blanc et noir sont de réels opposés: l'un rejette la lumière, l'autre l'absorbe), ou ont-il représenté comme ils le pouvaient un concept de présence/absence?
S'il s'agit bien de deux principes opposés, alors le fait qu'ils soient délimités dans l'espace prend un autre sens: ces principes existent localement, dans quelque chose de plus vaste qui n'est ni l'un, ni l'autre, mais l'absence des des deux (ou la fusion des deux, entrainant leur annulation)
Je ne pense pas que le bien et le mal soit complémentaires, comme shin je pense qu'il est possible d'être bon sans qu'il ne soit nécessaire d'avoir une contrepartie opposée.
Qu'est-ce que la bonté ? La réponse il faut la chercher en soi, je ne pense pas que ce soit utile d'en débattre. Quand tu arrives à te soustraire de toute tes contraintes culturelles (celles imposées par tes parents, l'école, la société d'une manière générale) et que tu arrives donc à penser librement, il me semble alors (je n'ai jamais expérimenté la liberté, je ne peux que supposer) que tu arrives à une connaissance du bien et du mal. Si tu agis de manière à rester intègre, alors tu agis bien. "Le bien et le mal est une affaire personnelle ou culturelle ou morale..." je pense que c'est de la connerie, c'est universel.
@Azalaïs, j'ai pas compris la relation avec la théorie de la relativité ?
Qu'est-ce que la bonté ? La réponse il faut la chercher en soi, je ne pense pas que ce soit utile d'en débattre. Quand tu arrives à te soustraire de toute tes contraintes culturelles (celles imposées par tes parents, l'école, la société d'une manière générale) et que tu arrives donc à penser librement, il me semble alors (je n'ai jamais expérimenté la liberté, je ne peux que supposer) que tu arrives à une connaissance du bien et du mal. Si tu agis de manière à rester intègre, alors tu agis bien. "Le bien et le mal est une affaire personnelle ou culturelle ou morale..." je pense que c'est de la connerie, c'est universel.
@Azalaïs, j'ai pas compris la relation avec la théorie de la relativité ?
Ça me fait un peu penser à la théorie du big bang, tout du moins de la manière que je l'ai comprise (donc sinon totalement fausse au moins très approximative). Avant l'explosion, tout est confondu. L'espace temps en concentré en un point, il n'y a pas de temps, pas d'espace, ou alors le passé, le présente, le futur, le devant, le derrière, la droite la gauche, le haut le bas, tout ça est confondu. La gravité, l'électromagnétisme (lumière), les forces nucléaires... tout ça est confondu. Et puis survient cette explosion et tout ça va se séparer, à une vitesse folle. La matière va être crée avec son antimatière. Qu'une particule d'antimatière et de matière s'acoquinent et c'est l'annihilation des deux, donnant naissance à unHebi":2d0aukbq a dit: