A
Anonymous
Guest
Les insectes font partis de l'écosystème. Ils ont leur rôle.
Soit je les laisse faire leur vie, soit je les chasse de la main (s'ils tournent trop autour de moi), soit je m'éloigne.
Parcontre j'estime que la peur ou la phobie (angoisse irraisonnée) ne justifient en rien la mort d'un insecte. Il n'y a donc que si je suis en danger immédiat que je tue. (Exemple : Moustique qui vole, ok. Moustique sur ma peau, Rip !)
Parfois je sauve des insectes. Comme ce gros bourdon un jour, qui était prit dans une toile d'araignée au fond de mon jardin et qui tentait desesperement de s'extirper de ce piège.
Par la logique naturelle de la Vie, j'aurais dû le laisser là. Après tout par mon sauvetage, j'enlevais le "casse-dalle" de l'araignée et...le bourdon avait-il plus le droit de vivre qu'elle ? Mais moi, je suis une humaine. Je suis dotée d'une capacité que les autres animaux n'ont pas : La pitié. Le bruit de ses ailes qui parvenaient à mes oreilles, était un son retranscrit par mon cerveau, comme un pleur de detresse. Je l'ai donc libéré. Il n'était peut-être pas sur mon chemin pour rien. Ce n'était peut-être pas son heure ?
Mon geste de sauvetage récurant : Sortir une mouche qui se noie (dans un verre, dans l'eau de vaisselle, etc...). Parfois quand elle est tombé dans un liquide sucré, je vais jusqu'à la rinçer (quelques gouttes d'eau sur elle) puis la secher avec un bout de sopalin. Si j'ai le temps, je l'observe ensuite faire sa toilette. Ses petites pattes avant qui s'activent autour de ses yeux, celles de derrière qui défroissent les ailes...
Néanmoins, si elle venait à me faire ch*er une heure après, à m'agresser, à me piquer (un taon, par exemple), je la tuerais. Sauver un être, ça ne veut pas dire être son souffre-douleur. J'suis aimable mais pas mazo.
J'avais tenté aussi une fois de sauver un perce-oreille, qui s'était pris dans le mastic de ma porte-fenetre. Il m'avait fallu environ 7 heures (sur 2 jours) pour tout lui enlever. Un travail minutieux. Je l'avais mis sous cloche pendant 3 jours, pour qu'il reprenne ses forces et sa mobilité (J'avais dû lui sacrifier une patte). J'avais pour cela crée un petit lieu avec une grosse pierre, de l'herbe etc... afin qu'il se sente comme en extérieur.
Pour savoir ce qu'il fallait qu'il mange, je m'étais renseigné sur des sites concernant cet insecte. J'avais appris plein de choses interessantes. (qu'ils ont des ailes sous leur carapace, qu'ils ont un trou pour faire pipi, etc...)
Et puis un soir, je suis sortie (Dans un bar avec des amis) et quand je suis revenue... mon petit Jacob était quasi mort, sur le dos, les pattes recroquevillées !
Mais que c'était-il passé en 2 heures de temps, lui qui était si vif encore avant que je parte et que je comptais rendre à la nature le lendemain ?
Les perce-oreilles vivent la nuit et dans le FROID ! A la maison j'avais mis le chauffage (c'était l'hiver dernier), il a attrapé un coup de chaud qui lui a été fatal, tout simplement.
Certaines personnes quand je leur raconte tout ça, me prenne pour une folle, mais je m'en fiche ! Je fais ce que je pense être juste. Je ne dénigre pas un être par son "insignifiante apparence"
Toutefois, je reconnais volontier que, comme beaucoups, je suis phobique vis à vis des insectes. Surtout les rempants (araignées, cafards) et les papillons de nuits qui me dégoute avec leur gros corps sombre et tout poilus.. brrrr....
Tiens ! A ce propos y'en a un, pas plus tard qu'avant-hier, qui a été intelligent (pour une fois) : Il s'est carrement mit au fond du gobelet que je lui avait destiné pour le sortir dehors. Il me restait plus qu'à mettre un couvercle et hop... sur le rebord de fenêtre ! Pour un peu, je l'aurais presque embrassé pour le remercier de m'avoir facilité la tache.
En tant qu'antispéciste, je pars d'un principe, que, combien même je ne sais pas à quoi "sert" (ou pas) un être, je le laisse faire sa vie et je compose au cas par cas, selon la situation/relation/confrontation dans laquelle je me retrouve avec lui.
J'évite pour cela d'y mêler mon humeur, mais je ne suis pas parfaite.
Il m'arrive, rarement certe, mais il m'arrive quand même, si je suis dans un moment de colère, qui n'a rien à voir avec le petit moucheron par exemple, qui se retrouve sous mon nez, de le tuer. N'ayant plus d'objectivité, de patience ou de compréhension, dans l'état où je suis, je deviens alors injuste :
- "PAF ! ça t'apprendra à m'agacer quand c'est pas le moment, p'tit c*n" !
C'est ce que j'appelle un accident dû à une faille de mon Etre, qui est encore loin de savoir controler ses pulsions provocant parfois des injustices.
Pour résumer, je dirais que les insectes, de par leur petite taille, semblent insignifiants et s'occuper d'eux, parait donc ridicule et pourtant... que ferions-nous sans les abeilles, sans les vers de terre... dont on apprend tout juste (nous, les lambdas) leur utilité fondamentale à la Vie terrestre ?
Personnellement, je n'attends pas de "savoir" pour respecter un être, pour lui donner une valeur. Et combien même un être ne servirait rien, je n'aurais pas pour autant des droits/de l'emprise sur lui. Sa fonction étant de ne servir à rien, et bien qu'il vive ainsi. C'est SA vie.
Et oui Pim sait faire aussi dans le long et/ou le sérieux.
Soit je les laisse faire leur vie, soit je les chasse de la main (s'ils tournent trop autour de moi), soit je m'éloigne.
Parcontre j'estime que la peur ou la phobie (angoisse irraisonnée) ne justifient en rien la mort d'un insecte. Il n'y a donc que si je suis en danger immédiat que je tue. (Exemple : Moustique qui vole, ok. Moustique sur ma peau, Rip !)
Parfois je sauve des insectes. Comme ce gros bourdon un jour, qui était prit dans une toile d'araignée au fond de mon jardin et qui tentait desesperement de s'extirper de ce piège.
Par la logique naturelle de la Vie, j'aurais dû le laisser là. Après tout par mon sauvetage, j'enlevais le "casse-dalle" de l'araignée et...le bourdon avait-il plus le droit de vivre qu'elle ? Mais moi, je suis une humaine. Je suis dotée d'une capacité que les autres animaux n'ont pas : La pitié. Le bruit de ses ailes qui parvenaient à mes oreilles, était un son retranscrit par mon cerveau, comme un pleur de detresse. Je l'ai donc libéré. Il n'était peut-être pas sur mon chemin pour rien. Ce n'était peut-être pas son heure ?
Mon geste de sauvetage récurant : Sortir une mouche qui se noie (dans un verre, dans l'eau de vaisselle, etc...). Parfois quand elle est tombé dans un liquide sucré, je vais jusqu'à la rinçer (quelques gouttes d'eau sur elle) puis la secher avec un bout de sopalin. Si j'ai le temps, je l'observe ensuite faire sa toilette. Ses petites pattes avant qui s'activent autour de ses yeux, celles de derrière qui défroissent les ailes...
Néanmoins, si elle venait à me faire ch*er une heure après, à m'agresser, à me piquer (un taon, par exemple), je la tuerais. Sauver un être, ça ne veut pas dire être son souffre-douleur. J'suis aimable mais pas mazo.
J'avais tenté aussi une fois de sauver un perce-oreille, qui s'était pris dans le mastic de ma porte-fenetre. Il m'avait fallu environ 7 heures (sur 2 jours) pour tout lui enlever. Un travail minutieux. Je l'avais mis sous cloche pendant 3 jours, pour qu'il reprenne ses forces et sa mobilité (J'avais dû lui sacrifier une patte). J'avais pour cela crée un petit lieu avec une grosse pierre, de l'herbe etc... afin qu'il se sente comme en extérieur.
Pour savoir ce qu'il fallait qu'il mange, je m'étais renseigné sur des sites concernant cet insecte. J'avais appris plein de choses interessantes. (qu'ils ont des ailes sous leur carapace, qu'ils ont un trou pour faire pipi, etc...)
Et puis un soir, je suis sortie (Dans un bar avec des amis) et quand je suis revenue... mon petit Jacob était quasi mort, sur le dos, les pattes recroquevillées !
Mais que c'était-il passé en 2 heures de temps, lui qui était si vif encore avant que je parte et que je comptais rendre à la nature le lendemain ?

Les perce-oreilles vivent la nuit et dans le FROID ! A la maison j'avais mis le chauffage (c'était l'hiver dernier), il a attrapé un coup de chaud qui lui a été fatal, tout simplement.
Certaines personnes quand je leur raconte tout ça, me prenne pour une folle, mais je m'en fiche ! Je fais ce que je pense être juste. Je ne dénigre pas un être par son "insignifiante apparence"
Toutefois, je reconnais volontier que, comme beaucoups, je suis phobique vis à vis des insectes. Surtout les rempants (araignées, cafards) et les papillons de nuits qui me dégoute avec leur gros corps sombre et tout poilus.. brrrr....
Tiens ! A ce propos y'en a un, pas plus tard qu'avant-hier, qui a été intelligent (pour une fois) : Il s'est carrement mit au fond du gobelet que je lui avait destiné pour le sortir dehors. Il me restait plus qu'à mettre un couvercle et hop... sur le rebord de fenêtre ! Pour un peu, je l'aurais presque embrassé pour le remercier de m'avoir facilité la tache.
En tant qu'antispéciste, je pars d'un principe, que, combien même je ne sais pas à quoi "sert" (ou pas) un être, je le laisse faire sa vie et je compose au cas par cas, selon la situation/relation/confrontation dans laquelle je me retrouve avec lui.
J'évite pour cela d'y mêler mon humeur, mais je ne suis pas parfaite.
Il m'arrive, rarement certe, mais il m'arrive quand même, si je suis dans un moment de colère, qui n'a rien à voir avec le petit moucheron par exemple, qui se retrouve sous mon nez, de le tuer. N'ayant plus d'objectivité, de patience ou de compréhension, dans l'état où je suis, je deviens alors injuste :
- "PAF ! ça t'apprendra à m'agacer quand c'est pas le moment, p'tit c*n" !
C'est ce que j'appelle un accident dû à une faille de mon Etre, qui est encore loin de savoir controler ses pulsions provocant parfois des injustices.
Pour résumer, je dirais que les insectes, de par leur petite taille, semblent insignifiants et s'occuper d'eux, parait donc ridicule et pourtant... que ferions-nous sans les abeilles, sans les vers de terre... dont on apprend tout juste (nous, les lambdas) leur utilité fondamentale à la Vie terrestre ?
Personnellement, je n'attends pas de "savoir" pour respecter un être, pour lui donner une valeur. Et combien même un être ne servirait rien, je n'aurais pas pour autant des droits/de l'emprise sur lui. Sa fonction étant de ne servir à rien, et bien qu'il vive ainsi. C'est SA vie.
Et oui Pim sait faire aussi dans le long et/ou le sérieux.