Tardigrade
Broute de l'herbe
Bonjour à tous !
Pour me présenter, je suis une nana de 26 ans, qui à la base faisait partie des carnistes, omnivores, une vraie folle de viande . Je m'étais posée la question du végétarisme quand j'étais petite, parce que j'étais très choquée de ce que je voyais dans les documentaires animaliers notamment (pourquoi le caméraman ne va pas aider le pauvre petit kangourou qui risque de mourir ?), et aussi parce que selon moi l'Homme était le seul animal à être capable d'une réelle cruauté, à prendre plaisir à tuer, sans aucune nécessité vitale. Quand j'en ai parlé à mon père, il m'a rétorqué "oui, mais tu n'aimes presque pas de légumes...".
C'était vrai, et j'ai continué à manger de la viande, me trouvant au final des excuses que je ne vous dirai pas, tout simplement parce que vous les avez déjà entendu mille fois. Cela dit, depuis quelques temps, je me suis mise à songer de plus en plus sérieusement à devenir végétarienne. Je n'ai jamais mangé de cheval parce que je faisais de l'équitation à une époque, et que l'idée de manger l'un des poneys que j'avais monté m'étais insoutenable. Mais alors, pourquoi continuer à manger des vaches, des cochons, des moutons qui ne méritent pas moins de considération que les chevaux, même s'ils ont une moins belle crinière ?
C'est absurde, mais dans mon esprit, je m'étais fait des catégories d'animaux élevés pour certaines choses. En gros, si on faisait travailler un animal durant sa vie, le manger était très grave (comme de tuer un retraité parce qu'il n'est plus utile). Mais s'il était élevé juste pour la viande, eh bien c'était moins grave parce qu'il avait eu une vie tranquille... Idiotie quand tu nous tiens !
Puis, j'ai commencé à prendre conscience de certaines réalités, notamment à la vue de certains documentaires. Les animaux élevés pour la viande ne sont pas bien traités. Ils ne souffrent pas moins que les autres, et au final, la viande, les fameuses "protéines animales" ne nous sont pas aussi nécessaires qu'on veut nous le faire croire. Mais là encore, je n'arrêtais pas de manger de la viande pour autant, un peu par peur des réactions de mon entourage, de ne pas être comprise.
Ce n'est qu'au bout d'un long cheminement que je prends vraiment la décision d'être végétarienne. Mieux vaut tard que jamais, non ?
Alors voilà, je viens ici pour prendre conseil auprès de vous, pour savoir comment vivre un végétarisme joyeux, au milieux des omnivores.
Pour me présenter, je suis une nana de 26 ans, qui à la base faisait partie des carnistes, omnivores, une vraie folle de viande . Je m'étais posée la question du végétarisme quand j'étais petite, parce que j'étais très choquée de ce que je voyais dans les documentaires animaliers notamment (pourquoi le caméraman ne va pas aider le pauvre petit kangourou qui risque de mourir ?), et aussi parce que selon moi l'Homme était le seul animal à être capable d'une réelle cruauté, à prendre plaisir à tuer, sans aucune nécessité vitale. Quand j'en ai parlé à mon père, il m'a rétorqué "oui, mais tu n'aimes presque pas de légumes...".
C'était vrai, et j'ai continué à manger de la viande, me trouvant au final des excuses que je ne vous dirai pas, tout simplement parce que vous les avez déjà entendu mille fois. Cela dit, depuis quelques temps, je me suis mise à songer de plus en plus sérieusement à devenir végétarienne. Je n'ai jamais mangé de cheval parce que je faisais de l'équitation à une époque, et que l'idée de manger l'un des poneys que j'avais monté m'étais insoutenable. Mais alors, pourquoi continuer à manger des vaches, des cochons, des moutons qui ne méritent pas moins de considération que les chevaux, même s'ils ont une moins belle crinière ?
C'est absurde, mais dans mon esprit, je m'étais fait des catégories d'animaux élevés pour certaines choses. En gros, si on faisait travailler un animal durant sa vie, le manger était très grave (comme de tuer un retraité parce qu'il n'est plus utile). Mais s'il était élevé juste pour la viande, eh bien c'était moins grave parce qu'il avait eu une vie tranquille... Idiotie quand tu nous tiens !
Puis, j'ai commencé à prendre conscience de certaines réalités, notamment à la vue de certains documentaires. Les animaux élevés pour la viande ne sont pas bien traités. Ils ne souffrent pas moins que les autres, et au final, la viande, les fameuses "protéines animales" ne nous sont pas aussi nécessaires qu'on veut nous le faire croire. Mais là encore, je n'arrêtais pas de manger de la viande pour autant, un peu par peur des réactions de mon entourage, de ne pas être comprise.
Ce n'est qu'au bout d'un long cheminement que je prends vraiment la décision d'être végétarienne. Mieux vaut tard que jamais, non ?
Alors voilà, je viens ici pour prendre conseil auprès de vous, pour savoir comment vivre un végétarisme joyeux, au milieux des omnivores.