Anthocaris
Jeune bulbe
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Bonjour à tous,
Contrairement aux apparences, ceci n’est pas une fable ni une autobiographie alimentaire mais bien une présentation
Les raisons qui me poussent au végétarisme sont d’ordre moral et environnemental. Tuer pour se nourrir m’a toujours posé problème, et depuis un an je n’achète plus de viande et suis enfin un peu plus en accord avec mes convictions, même si je consomme toujours de la viande à l’extérieur, à mon grand damn.
Ma problématique, c’est que je combine une tendance à prendre facilement du poids malgré une activité sportive régulière avec une grande gourmandise concrétisée par une passion pour la cuisine, la pâtisserie.
Je m’en sors en veillant à ne pas consommer trop de sucres ou de graisses sans pour autant les supprimer. Concrètement, je mange peu de fromage, vais éviter les sauces riches, les plâtrée de féculents, les plats à base de pâte à tarte, les fritures, les gâteaux... Pour des raisons de santé et parce qu’ils ne sont pas totalement convaincants gustativement, j’essaye de ne pas tomber dans le soja et le simili carné, Même si je ne me prive pas de temps en temps d’un bon tofu maison
Cela dit, il s’agit là de règles pour le quotidien qui restent souples et permettent des écarts réguliers! D’autant plus que je cuisine énormément, en utilisant des produits bruts et tous les tours de main, épices, aromates et modes de cuisson que j’ai pu porter à ma connaissance
Évidemment, je me pose la question de l’orthorexie, mais par expérience c’est ça ou prendre du poids petit à petit, je l’ai constaté.
Mon souci donc, c’est l’ennui alimentaire. Le goût me passionne, il est assez central dans ma vie; le goût des produits carnés me manque. J’ai l’impression de tourner en rond, de n’avoir accès qu’à une palette de saveur trop réduite. Au bout de quelques mois sans viande, j’ai commencé à développer une tendance à l’hyperphagie, en compensant la baisse de variété par la quantité. Tendance que je ne souhaite pas voir s’installer même si elle reste modérée.
Bref, je me sens fragile psychologiquement dans le domaine de l’alimentation, j’ai peur que mon envie de respecter mes idéaux ne se transforme définitivement en troubles alimentaires.
Ma présence ici s’articulera donc probablement autour de ces questionnements… J’espère bien pouvoir trouver sur ce forum un peu d’optimisme et de courage
(Si vous êtes arrivés jusqu’à cette ligne, c’est que vous êtes bien persévérants, merci de votre attention ^^)
Contrairement aux apparences, ceci n’est pas une fable ni une autobiographie alimentaire mais bien une présentation
Les raisons qui me poussent au végétarisme sont d’ordre moral et environnemental. Tuer pour se nourrir m’a toujours posé problème, et depuis un an je n’achète plus de viande et suis enfin un peu plus en accord avec mes convictions, même si je consomme toujours de la viande à l’extérieur, à mon grand damn.
Ma problématique, c’est que je combine une tendance à prendre facilement du poids malgré une activité sportive régulière avec une grande gourmandise concrétisée par une passion pour la cuisine, la pâtisserie.
Je m’en sors en veillant à ne pas consommer trop de sucres ou de graisses sans pour autant les supprimer. Concrètement, je mange peu de fromage, vais éviter les sauces riches, les plâtrée de féculents, les plats à base de pâte à tarte, les fritures, les gâteaux... Pour des raisons de santé et parce qu’ils ne sont pas totalement convaincants gustativement, j’essaye de ne pas tomber dans le soja et le simili carné, Même si je ne me prive pas de temps en temps d’un bon tofu maison
Cela dit, il s’agit là de règles pour le quotidien qui restent souples et permettent des écarts réguliers! D’autant plus que je cuisine énormément, en utilisant des produits bruts et tous les tours de main, épices, aromates et modes de cuisson que j’ai pu porter à ma connaissance
Évidemment, je me pose la question de l’orthorexie, mais par expérience c’est ça ou prendre du poids petit à petit, je l’ai constaté.
Mon souci donc, c’est l’ennui alimentaire. Le goût me passionne, il est assez central dans ma vie; le goût des produits carnés me manque. J’ai l’impression de tourner en rond, de n’avoir accès qu’à une palette de saveur trop réduite. Au bout de quelques mois sans viande, j’ai commencé à développer une tendance à l’hyperphagie, en compensant la baisse de variété par la quantité. Tendance que je ne souhaite pas voir s’installer même si elle reste modérée.
Bref, je me sens fragile psychologiquement dans le domaine de l’alimentation, j’ai peur que mon envie de respecter mes idéaux ne se transforme définitivement en troubles alimentaires.
Ma présence ici s’articulera donc probablement autour de ces questionnements… J’espère bien pouvoir trouver sur ce forum un peu d’optimisme et de courage
(Si vous êtes arrivés jusqu’à cette ligne, c’est que vous êtes bien persévérants, merci de votre attention ^^)