tom
Élève des carottes
- Inscrit
- 8/9/06
- Messages
- 1 343
- Score de réaction
- 2
Je rajoute aussi un lien sur les composants présents dans les vaccins en France. En haut de page, on peut trouver un lien pdf plus détaillé sur les milieux de culture utilisés pour les vaccins "miam" !!
J'avoue que plus je me penche sur le sujet des vaccins, plus je suis dégoûté des positions et "recommandations" officielles ; contre les interrogations précises des familles et des enfants, les instances officielles n'ont à opposer qu'un discours vague et des menaces persistantes. Un peu comme avec l'alimentation...
J'ai lu un p'tit livre facile comme tout, "qui aime bien vaccine peu", et un gros livre difficile à avaler mais très intéressant néanmoins ("vaccinations, les vérités indésirables" de Michel Georget). Je pense qu'on peut dire en préambule que, pour la plupart des vaccins de l'enfance, le nombre de décès avaient largement régressé avant l'introduction des vaccinations de masse, du fait d'une meilleure qualité de l'eau et apport alimentaire, ainsi que d'une meilleure prise en compte de l'hygiène dans son ensemble.
Je pense aussi qu'il est utopique de penser pouvoir éradiquer tout germe pathogène dans notre entourage, et à vrai dire il paraît logique de postuler que la vaccination de masse (pas toujours efficace puisqu'ayant un impact immunologique très différent d'un individu à l'autre, tant en qualité qu'en temps de protection) va entraîner un déséquilibre des germes qui nous entourent, et laisser des portes ouvertes à des virus très virulents en tentant de faire disparaître d'autres mieux tolérés. On peut d'ailleurs faire une analogie avec l'utilisation massive des antibiotiques, qui conduit à une résistance croissante des germes !! On aurait à mon avis beaucoup à gagner (la Sécu comprise) si on ciblait les groupes à risques au lieu de prendre la population entière pour des cobayes "volontaires" !!
D'ailleurs, on assiste à une conséquence inattendue pour des maladies réputées infantiles (et bénignes) comme la rougeole ou les oreillons : la ré-émergence de la maladie à l'âge adulte (où elle est moins bien supportée) du fait de la baisse de la protection vaccinale (alors que la maladie naturelle protège vraiment durablement), et par contre-coup chez les nourrissons (puisque la mère vaccinée adulte ne lui apporte plus d'anticorps par son lait). Donc, vacciner massivement, sans même parler des risques, provoque à terme non pas une éradication de la maladie, mais un déséquilibre de la flore pathogène et un déplacement des infections. Que vont faire les instances gouvernementales dans les années à venir ?? Remettre la maladie infantile protectrice au "goût du jour" ?? A mon avis on va continuer dans la logique de "déséquilibrage aveugle" de notre environnement en préconisant d'autres rappels vaccinaux...
J'aimerais discuter avec vous aussi sur ce sujet (avec courtoisie et discernement). Je continue à m'intéresser aux arguments des uns et des autres, mais j'ai dans mon boulot des exemples concrets de réactions post-vaccinales inquiétantes (après vaccination contre l'hépatite B et contre la fièvre jaune), et j'en ai marre qu'au nom des "bénéfices apportés par la vaccination", on foute les risques associés (à plus ou moins long terme) aux chiottes. D'ailleurs, [big]savez-vous que l'Etat français ne dédommage les familles que lorsque l'implication de la vaccination dans la survenue d'une pathologie est démontrée, et seulement lorsque la vaccination est obligatoire[/big] ?!? En pratique, il s'agit d'un dédommagement après la vaccination contre la diphtérie - tétanos - poliomyélite, et contre l'hépatite B pour les professionnels de santé. N'espérez pas un dédommagement après une vaccination contre le "pentavac" (diphtérie - tétanos - poliomyélite mais aussi coqueluche et haemophilus influenzae type b), puisque ce vaccin contient deux antigènes non obligatoires...
Bref, vous l'aurez compris, je ne suis pas contre le principe de la vaccination, mais contre son application soumise aux lois du marché et non à des principes de précaution et de logique scientifique... Je suis tombé sur un article rigolo, d'un directeur d'une association qui offre $120.000 (plus $5.000 par mois) au premier médecin ou responsable d'un groupe pharmaceutique qui accepte de boire en public un mélange composé des ingrédients se trouvant dans les vaccins administrés aux enfants de six ans (uniquement les additifs, pas les germes), préparé selon le poids du candidat. Cette offre est ouverte depuis début 2001...
J'avoue que plus je me penche sur le sujet des vaccins, plus je suis dégoûté des positions et "recommandations" officielles ; contre les interrogations précises des familles et des enfants, les instances officielles n'ont à opposer qu'un discours vague et des menaces persistantes. Un peu comme avec l'alimentation...
J'ai lu un p'tit livre facile comme tout, "qui aime bien vaccine peu", et un gros livre difficile à avaler mais très intéressant néanmoins ("vaccinations, les vérités indésirables" de Michel Georget). Je pense qu'on peut dire en préambule que, pour la plupart des vaccins de l'enfance, le nombre de décès avaient largement régressé avant l'introduction des vaccinations de masse, du fait d'une meilleure qualité de l'eau et apport alimentaire, ainsi que d'une meilleure prise en compte de l'hygiène dans son ensemble.
Je pense aussi qu'il est utopique de penser pouvoir éradiquer tout germe pathogène dans notre entourage, et à vrai dire il paraît logique de postuler que la vaccination de masse (pas toujours efficace puisqu'ayant un impact immunologique très différent d'un individu à l'autre, tant en qualité qu'en temps de protection) va entraîner un déséquilibre des germes qui nous entourent, et laisser des portes ouvertes à des virus très virulents en tentant de faire disparaître d'autres mieux tolérés. On peut d'ailleurs faire une analogie avec l'utilisation massive des antibiotiques, qui conduit à une résistance croissante des germes !! On aurait à mon avis beaucoup à gagner (la Sécu comprise) si on ciblait les groupes à risques au lieu de prendre la population entière pour des cobayes "volontaires" !!
D'ailleurs, on assiste à une conséquence inattendue pour des maladies réputées infantiles (et bénignes) comme la rougeole ou les oreillons : la ré-émergence de la maladie à l'âge adulte (où elle est moins bien supportée) du fait de la baisse de la protection vaccinale (alors que la maladie naturelle protège vraiment durablement), et par contre-coup chez les nourrissons (puisque la mère vaccinée adulte ne lui apporte plus d'anticorps par son lait). Donc, vacciner massivement, sans même parler des risques, provoque à terme non pas une éradication de la maladie, mais un déséquilibre de la flore pathogène et un déplacement des infections. Que vont faire les instances gouvernementales dans les années à venir ?? Remettre la maladie infantile protectrice au "goût du jour" ?? A mon avis on va continuer dans la logique de "déséquilibrage aveugle" de notre environnement en préconisant d'autres rappels vaccinaux...
J'aimerais discuter avec vous aussi sur ce sujet (avec courtoisie et discernement). Je continue à m'intéresser aux arguments des uns et des autres, mais j'ai dans mon boulot des exemples concrets de réactions post-vaccinales inquiétantes (après vaccination contre l'hépatite B et contre la fièvre jaune), et j'en ai marre qu'au nom des "bénéfices apportés par la vaccination", on foute les risques associés (à plus ou moins long terme) aux chiottes. D'ailleurs, [big]savez-vous que l'Etat français ne dédommage les familles que lorsque l'implication de la vaccination dans la survenue d'une pathologie est démontrée, et seulement lorsque la vaccination est obligatoire[/big] ?!? En pratique, il s'agit d'un dédommagement après la vaccination contre la diphtérie - tétanos - poliomyélite, et contre l'hépatite B pour les professionnels de santé. N'espérez pas un dédommagement après une vaccination contre le "pentavac" (diphtérie - tétanos - poliomyélite mais aussi coqueluche et haemophilus influenzae type b), puisque ce vaccin contient deux antigènes non obligatoires...
Bref, vous l'aurez compris, je ne suis pas contre le principe de la vaccination, mais contre son application soumise aux lois du marché et non à des principes de précaution et de logique scientifique... Je suis tombé sur un article rigolo, d'un directeur d'une association qui offre $120.000 (plus $5.000 par mois) au premier médecin ou responsable d'un groupe pharmaceutique qui accepte de boire en public un mélange composé des ingrédients se trouvant dans les vaccins administrés aux enfants de six ans (uniquement les additifs, pas les germes), préparé selon le poids du candidat. Cette offre est ouverte depuis début 2001...