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Cicerolle
Avale du tofu
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Moi non plus je ne suis pas, mais alors pas du tout, d'accord avec les propos de ce philosophe cités en extraits. J'ai déjà entendu ces mêmes propos un jour de la part d'un véto, à la télé, ça m'avait fait bondir d'indignation. Non, nous n'avons pas droit de vie et de mort sur notre animal de compagnie ! Des lois existent, nous interdisant de lui faire du mal et exigeant de nous de le nourrir et le soigner. Pour moi il s'agit plutôt d'un devoir et d'une responsabilité (j'avais déjà écrit ça sur un autre forum à propos du même sujet et je n'ai pas changé d'avis depuis). Dans mon cas, ma minette est entrée dans ma vie et celle de ma famille de façon imprévue, sa maman l'avait abandonnée, tout bébé, nous nous sommes fait un devoir de la sauver, de l'élever (au biberon !) et de la rendre heureuse. Parce que nosu n'aurions pas pu laisser s'éteindre cette jeune vie sous nos yeux, ç'aurait été aussi criminel que de laisser mourir un bébé humain.
Par la suite, j'ai fait plusieurs sacrifices pour qu'elle ait un environnement qui lui convienne. Toujours par devoir envers elle, ça tombait sous le sens. Je ne vois pas où est le narcissisme là-dedans ?? Evidemment j'ai la satisfaction de la savoir heureuse et en bonne santé à bientôt 14 ans maintenant, mais ce n'est pas comme une plante verte que je pourrais jeter si elle dépérissait. C'est un être vivant à part entière, avec un caractère, une personnalité, des humeurs, des émotions, sachant fort bien se faire comprendre, le tout influant directement dans ma vie de tous les jours. Je ne la sens pas du tout dépendante de moi : elle va dehors comme elle le souhaite, sans moi, boit l'eau des flaques, et pourrait se nourrir seule si elle le voulait. C'est un être indépendant, qui me fait l'amitié de rester avec moi, parce qu'elle le veut bien. Je ne me sens pas davantage supérieure à elle, ni à aucun autre animal. Les animaux ont bien des talents que nous n'avons pas. Quand je vois ma minette grimper aux arbres, j'aimerais avoir son agilité !
Je pense que ce philosophe n'a jamais établi de relation véritable avec un animal pour écrire des propos aussi ridicules.
Par la suite, j'ai fait plusieurs sacrifices pour qu'elle ait un environnement qui lui convienne. Toujours par devoir envers elle, ça tombait sous le sens. Je ne vois pas où est le narcissisme là-dedans ?? Evidemment j'ai la satisfaction de la savoir heureuse et en bonne santé à bientôt 14 ans maintenant, mais ce n'est pas comme une plante verte que je pourrais jeter si elle dépérissait. C'est un être vivant à part entière, avec un caractère, une personnalité, des humeurs, des émotions, sachant fort bien se faire comprendre, le tout influant directement dans ma vie de tous les jours. Je ne la sens pas du tout dépendante de moi : elle va dehors comme elle le souhaite, sans moi, boit l'eau des flaques, et pourrait se nourrir seule si elle le voulait. C'est un être indépendant, qui me fait l'amitié de rester avec moi, parce qu'elle le veut bien. Je ne me sens pas davantage supérieure à elle, ni à aucun autre animal. Les animaux ont bien des talents que nous n'avons pas. Quand je vois ma minette grimper aux arbres, j'aimerais avoir son agilité !
Je pense que ce philosophe n'a jamais établi de relation véritable avec un animal pour écrire des propos aussi ridicules.
A
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Guest
J'ai un chat ou mon chat m'a.
Entre égoïsme et altruisme...
J'étais contre ce fait d'avoir un animal domestique de compagnie "par principe" (débile) au nom de la liberté des animaux.
J'ai compris plus tard qu'en réalité je me donnais des prétextes pour ne pas subir les contraintes occasionnées par un animal.
Un jour, une personne m'a suppliée de prendre un chaton né d'une portée indésirable chez ses voisins. La propriétaire de la chatte n'avait pas le coeur à tuer les petits, car déjà gambadant, mais un de ses voisins l'aurait, paraît-il, fait sans états d'âme !
Presque forcée, prise au dépourvu, alors sans réfléchir aux contraintes, aux éventuels problèmes, à l'argent qu'il me coûterait et tout, j'ai accepté un chaton sans le choisir.
Avant qu'on me l'apporte j'ignorais même s'il s'agissait d'un mâle ou d'une femelle, son aspect physique...
C'est mieux ainsi, c'est comme un bébé, on ignore aussi à l'avance comment il (ou elle) sera : sain, beau, sage, gentil, facile à vivre ou non.
On prend celui qui vient et on l'aime comme il est.
Ce chat, un joli mâle noir et blanc, est entré dans ma vie alors que je n'y étais pas préparée.
J'aurais pris un chat adulte de préférence - selon le principe "généreux" que les gens préfèrent prendre un chaton et que de pauvres chats adultes restent sans foyer; j'avoue que c'est aussi parce que j'aurais pu le choisir doux, l'adulte ayant le caractère révélé - mais c'est vrai qu'un chaton c'est craquant, c'est irrésistible ! Et comme un petit enfant, il faut le surveiller !
Le mien a fait énormément de bêtises au début - j'étais effondrée ! - mais j'avais surtout peur qu'il se blesse, se tue, s'évade, se perde, soit enfermé dans le lave-linge ou le frigo... qu'il s'électrocute chez moi à explorer sous le bureau et jouer avec les cables.
Venant de la campagne d'une portée surprise découverte tardivement, ce chaton était très sauvage, sur la défensive, sautant partout, mordant dès qu'on tentait de l'attrapper...
Déception, mon chat n'était même pas câlin, malchance... J'en ai pleuré !
Oui, j'étais déçue, ce chat ne correspondait pas à mon rêve (inavoué !) d'un chat "peluche" qui n'existe que pour faire joli sur un meuble et être caressé en faisant ronron, et qui est exactement le chat qu'on prend par pur égoïsme.
Je regrettais d'avoir accepté ce chaton, ce bolide qui me pourrissait la vie et pour lequel je tremblais tout le temps. Mais je n'aurais pas pu le rejetter, tenter de le faire adopter par quelqu'un d'autre. Je me disais que... (d'abord personne n'en voudrait ! alors "le pauvre petit !") j'étais responsable de lui, que je devais assumer, point !
Même s'il m'a beaucoup énervée, jamais je ne l'ai tapé (ni puni, sachant que cela ne sert à rien pour un chat) car je le voyais comme un bébé innocent et vulnérable. Je me contentais de le retirer des endroits dangereux ou objets qu'il risquait de casser, etc, et... j'avais décroché mes rideaux... La nuit et durant mes absences de la maison, je l'enfermais dans une petite pièce sans risque pour lui avec ses jeux, un coin sommeil, sa caisse litière et un bol d'eau. Mais là, il pleurait ! J'en avais le coeur brisé ! Puis, très tôt, il a trouvé le moyen d'ouvrir la porte de sa prison...
En réalité, même si je perdais parfois conscience de ce fait, je l'aimais, je l'ai aimé dans la minute où l'amie, anxieuse de ma réaction, est arrivée chez moi avec lui, que j'ai vu sa petite bouille effrontée, que déjà il me mordait la main puis courait se cacher sous un meuble.
J'ai eu des moments de désespoir car j'ignorais que les espiègleries d'un chaton sont de brève durée. Même, après, on regrette ce temps-là...
Je croyais que cela n'aurait pas de fin. Personne ne m'a rassurée car tout le monde (des amis ayant eux-mêmes un chat ou une chatte) y compris la vétérinaire, trouvait mon chaton exceptionnellement éveillé, dégourdi, fort, intelligent avec sa compréhension précoce des systèmes d'ouvertures des portes et fenêtres...
Comme chacun me disait (même des personnes ayant eu plusieurs chats) "c'est pas possible, je n'ai jamais vu un chat pareil !!", je croyais qu'il resterait toujours difficile, agité, qu'il était ainsi de caractère...
Maintenant, il est âgé de 2 ans (castré depuis ses 6 mois) et il est devenu un vrai chat de maison, genre seigneur très maître des lieux, cherchant peu à sortir, petites virées dehors, préfère la sécurité de l'intérieur, a vachement peur du bruit des voitures (tant mieux !), se méfie des inconnus - y compris des autres chats qu'il n'attaque pas mais se défend s'il est attaqué... après, les autres gros matous lui fichent la paix car il est le plus fort, il est particulièrement grand.
Dès qu'il me voit me préparer à aller au lit, il me devance et s'installe le premier, puis ronron et il se blottit contre moi; le matin il me mord les orteils pour me faire lever.
Mon mari avait une méfiance des chats, petite phobie. Il ne touchait pas le nôtre, ne le laissait pas monter sur ses genoux mais le regardait vivre avec intérêt, admiration et attendrissement. Le voir faire ses expériences, s'acharner à tenter de monter sur un meuble haut pour sa taille de chaton de l'époque, ouvrir les portes...
Le chat a apprivoisé l'homme, ils sont devenus une belle paire d'amis.
Mon chat me sensibilise plus que jamais au sort des animaux maltraités et me fait, notamment, m'intéresser plus aux chiens qu'auparavant. Quand je pense aux malheurs de tant d'animaux abandonnés, maltraités, torturés, je vois mon chat si innocent et si confiant, je me dis "si c'était lui..."
Je ne sais pas si mon chat est heureux, s'il l'est il l'ignore. Je ne sais pas s'il m'aime mais je remarque que je représente sa sécurité.
Il vaut mieux être un chat qui ignore qu'il a de la chance d'avoir un abri, de la nourriture sans problème, des soins, une bonne protection, être un chat castré qui n'éprouve alors pas le besoin de sortir des jours et nuits entières se battre pour des femelles, qu'être un chat vraiment libre, entier et errant...
Il est de ces animaux qui, même si c'est la faute de l'homme (mais pas de la notre, c'était nos ancêtres), sont devenus trop dépendants des hommes pour "bien" vivre en liberté. Notre devoir est de prendre soin d'eux.
Comme ces animaux, particulièrement les chats, pullulent, il est essentiel de faire stériliser ceux qu'on a et surtout adopter un chat commun et non favoriser de nouvelles naissances en achetant (cher en plus !) un chat de belle race par snobisme - sinon pourquoi ? vu qu'un chat commun est plus robuste qu'un chat dit "de race" et qu'il peut être tout aussi beau et attachant, sinon plus.
http://frmichel.free.fr/da/compagn.htm
Entre égoïsme et altruisme...
J'étais contre ce fait d'avoir un animal domestique de compagnie "par principe" (débile) au nom de la liberté des animaux.
J'ai compris plus tard qu'en réalité je me donnais des prétextes pour ne pas subir les contraintes occasionnées par un animal.
Un jour, une personne m'a suppliée de prendre un chaton né d'une portée indésirable chez ses voisins. La propriétaire de la chatte n'avait pas le coeur à tuer les petits, car déjà gambadant, mais un de ses voisins l'aurait, paraît-il, fait sans états d'âme !
Presque forcée, prise au dépourvu, alors sans réfléchir aux contraintes, aux éventuels problèmes, à l'argent qu'il me coûterait et tout, j'ai accepté un chaton sans le choisir.
Avant qu'on me l'apporte j'ignorais même s'il s'agissait d'un mâle ou d'une femelle, son aspect physique...
C'est mieux ainsi, c'est comme un bébé, on ignore aussi à l'avance comment il (ou elle) sera : sain, beau, sage, gentil, facile à vivre ou non.
On prend celui qui vient et on l'aime comme il est.
Ce chat, un joli mâle noir et blanc, est entré dans ma vie alors que je n'y étais pas préparée.
J'aurais pris un chat adulte de préférence - selon le principe "généreux" que les gens préfèrent prendre un chaton et que de pauvres chats adultes restent sans foyer; j'avoue que c'est aussi parce que j'aurais pu le choisir doux, l'adulte ayant le caractère révélé - mais c'est vrai qu'un chaton c'est craquant, c'est irrésistible ! Et comme un petit enfant, il faut le surveiller !
Le mien a fait énormément de bêtises au début - j'étais effondrée ! - mais j'avais surtout peur qu'il se blesse, se tue, s'évade, se perde, soit enfermé dans le lave-linge ou le frigo... qu'il s'électrocute chez moi à explorer sous le bureau et jouer avec les cables.
Venant de la campagne d'une portée surprise découverte tardivement, ce chaton était très sauvage, sur la défensive, sautant partout, mordant dès qu'on tentait de l'attrapper...
Déception, mon chat n'était même pas câlin, malchance... J'en ai pleuré !
Oui, j'étais déçue, ce chat ne correspondait pas à mon rêve (inavoué !) d'un chat "peluche" qui n'existe que pour faire joli sur un meuble et être caressé en faisant ronron, et qui est exactement le chat qu'on prend par pur égoïsme.
Je regrettais d'avoir accepté ce chaton, ce bolide qui me pourrissait la vie et pour lequel je tremblais tout le temps. Mais je n'aurais pas pu le rejetter, tenter de le faire adopter par quelqu'un d'autre. Je me disais que... (d'abord personne n'en voudrait ! alors "le pauvre petit !") j'étais responsable de lui, que je devais assumer, point !
Même s'il m'a beaucoup énervée, jamais je ne l'ai tapé (ni puni, sachant que cela ne sert à rien pour un chat) car je le voyais comme un bébé innocent et vulnérable. Je me contentais de le retirer des endroits dangereux ou objets qu'il risquait de casser, etc, et... j'avais décroché mes rideaux... La nuit et durant mes absences de la maison, je l'enfermais dans une petite pièce sans risque pour lui avec ses jeux, un coin sommeil, sa caisse litière et un bol d'eau. Mais là, il pleurait ! J'en avais le coeur brisé ! Puis, très tôt, il a trouvé le moyen d'ouvrir la porte de sa prison...
En réalité, même si je perdais parfois conscience de ce fait, je l'aimais, je l'ai aimé dans la minute où l'amie, anxieuse de ma réaction, est arrivée chez moi avec lui, que j'ai vu sa petite bouille effrontée, que déjà il me mordait la main puis courait se cacher sous un meuble.
J'ai eu des moments de désespoir car j'ignorais que les espiègleries d'un chaton sont de brève durée. Même, après, on regrette ce temps-là...
Je croyais que cela n'aurait pas de fin. Personne ne m'a rassurée car tout le monde (des amis ayant eux-mêmes un chat ou une chatte) y compris la vétérinaire, trouvait mon chaton exceptionnellement éveillé, dégourdi, fort, intelligent avec sa compréhension précoce des systèmes d'ouvertures des portes et fenêtres...
Comme chacun me disait (même des personnes ayant eu plusieurs chats) "c'est pas possible, je n'ai jamais vu un chat pareil !!", je croyais qu'il resterait toujours difficile, agité, qu'il était ainsi de caractère...
Maintenant, il est âgé de 2 ans (castré depuis ses 6 mois) et il est devenu un vrai chat de maison, genre seigneur très maître des lieux, cherchant peu à sortir, petites virées dehors, préfère la sécurité de l'intérieur, a vachement peur du bruit des voitures (tant mieux !), se méfie des inconnus - y compris des autres chats qu'il n'attaque pas mais se défend s'il est attaqué... après, les autres gros matous lui fichent la paix car il est le plus fort, il est particulièrement grand.
Dès qu'il me voit me préparer à aller au lit, il me devance et s'installe le premier, puis ronron et il se blottit contre moi; le matin il me mord les orteils pour me faire lever.
Mon mari avait une méfiance des chats, petite phobie. Il ne touchait pas le nôtre, ne le laissait pas monter sur ses genoux mais le regardait vivre avec intérêt, admiration et attendrissement. Le voir faire ses expériences, s'acharner à tenter de monter sur un meuble haut pour sa taille de chaton de l'époque, ouvrir les portes...
Le chat a apprivoisé l'homme, ils sont devenus une belle paire d'amis.
Mon chat me sensibilise plus que jamais au sort des animaux maltraités et me fait, notamment, m'intéresser plus aux chiens qu'auparavant. Quand je pense aux malheurs de tant d'animaux abandonnés, maltraités, torturés, je vois mon chat si innocent et si confiant, je me dis "si c'était lui..."
Je ne sais pas si mon chat est heureux, s'il l'est il l'ignore. Je ne sais pas s'il m'aime mais je remarque que je représente sa sécurité.
Il vaut mieux être un chat qui ignore qu'il a de la chance d'avoir un abri, de la nourriture sans problème, des soins, une bonne protection, être un chat castré qui n'éprouve alors pas le besoin de sortir des jours et nuits entières se battre pour des femelles, qu'être un chat vraiment libre, entier et errant...
Il est de ces animaux qui, même si c'est la faute de l'homme (mais pas de la notre, c'était nos ancêtres), sont devenus trop dépendants des hommes pour "bien" vivre en liberté. Notre devoir est de prendre soin d'eux.
Comme ces animaux, particulièrement les chats, pullulent, il est essentiel de faire stériliser ceux qu'on a et surtout adopter un chat commun et non favoriser de nouvelles naissances en achetant (cher en plus !) un chat de belle race par snobisme - sinon pourquoi ? vu qu'un chat commun est plus robuste qu'un chat dit "de race" et qu'il peut être tout aussi beau et attachant, sinon plus.
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kerloen
Fait crier les carottes
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Je pense qu'il faut relir le passage de soy :
"Au sujet des passages que tu n'aimes pas Hervé, je ne pense pas que l'auteur veuille dire que tout le monde soit ainsi (au moins à 100%) surtout il faut resituer la phrase dans le contexte (la question qui lui est posée)"
ce n'est certainement pas pour tout le monde pareil, mais comment expliquer que desgens adopte des animaux alors qu'ils ne les aiment en fait pas, c'est sale, ça fait des betises, etc. et que le cas echeant ils les laissent au bord de la route... evidemment, touts le monde n'est pas comme ça, mais tous aux fond d nous, on a potentiellement ce sentiment, il suffit d'en prendre conscience.
"Au sujet des passages que tu n'aimes pas Hervé, je ne pense pas que l'auteur veuille dire que tout le monde soit ainsi (au moins à 100%) surtout il faut resituer la phrase dans le contexte (la question qui lui est posée)"
ce n'est certainement pas pour tout le monde pareil, mais comment expliquer que desgens adopte des animaux alors qu'ils ne les aiment en fait pas, c'est sale, ça fait des betises, etc. et que le cas echeant ils les laissent au bord de la route... evidemment, touts le monde n'est pas comme ça, mais tous aux fond d nous, on a potentiellement ce sentiment, il suffit d'en prendre conscience.
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Je me suis souvent demandé ce qu'il pouvait passer par la tête d'une personne capable d'abandonner un animal qui lui a pourtant certainement donné de l'affection, j'irais même jusqu'à dire que c'est le même genre de personne capable de délaisser ses parents âgés dans un hospice.
Je crois que ces gens là sont incapables de compassion, mais potentiellement capables de maltraitance, à n'importe quel niveau, envers l'animal, ses semblables et la planète !
Je crois que ces gens là sont incapables de compassion, mais potentiellement capables de maltraitance, à n'importe quel niveau, envers l'animal, ses semblables et la planète !
Louve
Avale du tofu
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quel belle histoire annaig, ça c'est de l'amour. Si tout le monde pouvait ressentir autant de compassion, de tendresse, d'attention à son prochain... ça fait du bien de te lire. ça me fait repenser à la porté de chat qu'on a eu...4 chatons à faire les fous, puis le silence de la têtée les 4 petites boules de poil contre le ventre de maman..On en a 6 à la maison. Que du bonheur (ou presque lol) Les animaux non humains nous donnent tellement, même quand on ne le mérite pas. Je ne pourrai plus vivre sans eux. Ils font partie de ma vie. On forme une tribu, je vois ça comme ça. (composée de deux humains, de 6 chats, un chien et une ratte) La liste "risque" de s'allonger avec le temps.
A
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Guest
Tu plaisantes ou tu es sérieux, là, Brunito ?Brunito":qdog7455 a dit:
Bien sûr, castrer un animal à vif c'est de la torture; cela se faisait autrefois, faute d'autres moyens, mais hélas cela se pratique encore dans le monde et, notamment, sur des animaux de ferme.Mon chat a évidemment été anesthésié par sa vétérinaire pour cette opération qui est bénigne. Il s'agit d'ôter les testicules à l'intérieur des bourses; une fois cela fait il n'y a pas de traces extérieures et pas d'agraphes, pas de fils.
Pour mon cas (je suis en Allemagne), j'ai apporté le chat au cabinet de la vétérinaire un matin à 9 heures (j'étais triste, j'avais peur pour lui !) et je suis rentrée chez moi. C'est la vétérinaire qui me l'a elle-même ramené à 13 heures. Il est sorti lui-même de sa cage transport avec les yeux encore troubles (exactement comme sous l'effet du cachet calmant quand il voyage). Le soir-même il a mangé normalement, le lendemain son comportement était comme tous les jours. La véto (qui, en plus se déplace chez les gens !) m'a demandé 50€... je crois que c'est nettement plus cher en france !
Ce chat avait alors 6 mois et pesait 3 kg. Selon la vétérinaire, l'important était qu'il pèse au moins 3 kg. Il n'était pas encore adulte, il a, bien sûr, grandi et grossi depuis.
On dit qu'un chat castré devient obèse. J'en connais deux dans mon quartier qui sont menus et très légers - pourtant bien nourris, bien traités, je connais leurs propriétaires; l'un de ces deux chats (mâles castrés) a 10 ans, l'autre 4.
Le mien - énorme comparé aux deux chats cités ci-dessus - est assez limite sur ce plan (selon sa véto qui l'a vu dernièrement pour rappel de vaccins, ça va, rien d'alarmant) je lui donne des croquettes spéciales pour chats adultes castrés. Il semble qu'il soit grand et fort par génétique, selon l'amie qui me l'a apporté et qui possède elle-même "l'oncle" de mon chat (lol).
Un chat qui ne connait pas le rut ne peut pas être malheureux de ce fait !
Un chat "entier" marque son territoire par des jets d'urine d'odeur forte, il se bagarre avec d'autres mâles, risque d'attrapper des maladies et des puces et, bien sûr, il contribue à augmenter la population des chats futurs zigouillés ou abandonnés, errants...
La stérilisation d'une chatte représente une opération plus lourde, plus risquée et aussi plus onéreuse. Cependant, j'ai lu un peu partout que les autres moyens de contraceptions pour chattes (pilule ou piqûres) finissent par provoquer des tumeurs de mamelles...
Je trouve ignoble la mentalité de certains propriétaires de chats ou de chiens mâles qui s'en fichent totalement que leur animal aille engrosser des femelles dans la mesure où ils n'ont pas à se charger des portées !!
Brunito: Je crois sincèrement que castrer un animal n'est pas bien pour lui mais selon moi toujours, c'est ce qu'il y a de mieux à faire pour lui en France. D'une part, parce qu'il y a trop d'animaux abandonnés et ceux qui sont errants sont considérés comme nuisibles. Tant que les gens auront ce type de mentalité, il vaut mieux protéger l'animal en l'empêchant d'aller trop loin. J'ai vécu à la campagne et je peux te dire que nombre de gens n'hésitent pas à tirer sur des chats ou à poser des pièges, des boulettes de poison... Notre chat de 14 ans, qui pourtant était méfiant et ne s'éloignait plus, a disparu. On l'a cherché partout pendant plus de 3 semaines, on a retourné tous les fourrés, fait des km en voiture, à pied... plus aucune trace de lui. Le plus dur? Penser qu'il a peut-être agonisé longuement sans comprendre qui lui voulait du mal. Car on est certain que certaines personnes savent ce qui lui est arrivé, mais on n'a pas de preuves. Donc, ça a dû être affreux pour lui qui était un membre important de notre famille.
Annaïg: ton histoire est belle. Mais je ne suis pas d'accord avec toi sur un point, mais peut-être t'ai je mal comprise. Soigner, protéger... un animal est normal, pas un devoir, ou en tout cas, ça ne devrait pas l'être. Comme je le disais, j'ai toujours eu des animaux chez moi. Parfois, je n'ai pas mangé (peu de temps, hein!) pour pouvoir les emmener chez le véto ou acheter de la nourriture ou de la litière... Mais ce ne fut pas un devoir ou un sacrifice, c'est juste normal.
Hervé: je crois que notre société nous a appris à devenir indifférents. A force de vouloir soulager les gens de tout ce qui était une contrainte, une source potentielle de malaise... et dans le but non avoué de laisser les gens "libres" de travailler et d'être productifs, on a enfermés nos vieux inutiles, les malades... dans des institutions. Ces gens représentaient une charge pour leur entourage. Après, il ne faut pas s'étonner que les gens ne supportent plus de voir souffrir, de devoir supporter une contrainte (partir en vacances, mais faut payer très cher pour faire garder son chat ou son chien), ne savent plus s'entraider (ben oui, avant, on pouvait demander aux voisins de garder ledit animal, à charge de revanche. Mais nos voisins on ne les connaît plus ou on déménage trop souvent pour avoir le temps et l'envie de les connaitre). Combien de gens sont capables d'aider leurs vieux parents malades? Et puis ça demande du temps, alors qu'on nous serine sans cesse qu'il faut partir en vacances avec les 35h. Et puis, souvent les gens habitent loin de leurs parents, il faudrait déménager à nouveau, trouver du boulot... Bref, les gens se blindent peu à peu devant de nouvelles contraintes. Un médecin avait dit à une infirmière que je connais que les gens tiennent en moyenne une semaine à s'occuper d'un de leurs parents malade. Après c'est l'hospice. C'est une moyenne qu'il avait établi d'après ses dossiers. Vu la place des animaux dans notre société, c'est "normal" de les abandonner après consommation.
OK, mon analyse de bon matin est terriblement pessimiste. Vite, un câlin à mon chat!
Annaïg: ton histoire est belle. Mais je ne suis pas d'accord avec toi sur un point, mais peut-être t'ai je mal comprise. Soigner, protéger... un animal est normal, pas un devoir, ou en tout cas, ça ne devrait pas l'être. Comme je le disais, j'ai toujours eu des animaux chez moi. Parfois, je n'ai pas mangé (peu de temps, hein!) pour pouvoir les emmener chez le véto ou acheter de la nourriture ou de la litière... Mais ce ne fut pas un devoir ou un sacrifice, c'est juste normal.
Hervé: je crois que notre société nous a appris à devenir indifférents. A force de vouloir soulager les gens de tout ce qui était une contrainte, une source potentielle de malaise... et dans le but non avoué de laisser les gens "libres" de travailler et d'être productifs, on a enfermés nos vieux inutiles, les malades... dans des institutions. Ces gens représentaient une charge pour leur entourage. Après, il ne faut pas s'étonner que les gens ne supportent plus de voir souffrir, de devoir supporter une contrainte (partir en vacances, mais faut payer très cher pour faire garder son chat ou son chien), ne savent plus s'entraider (ben oui, avant, on pouvait demander aux voisins de garder ledit animal, à charge de revanche. Mais nos voisins on ne les connaît plus ou on déménage trop souvent pour avoir le temps et l'envie de les connaitre). Combien de gens sont capables d'aider leurs vieux parents malades? Et puis ça demande du temps, alors qu'on nous serine sans cesse qu'il faut partir en vacances avec les 35h. Et puis, souvent les gens habitent loin de leurs parents, il faudrait déménager à nouveau, trouver du boulot... Bref, les gens se blindent peu à peu devant de nouvelles contraintes. Un médecin avait dit à une infirmière que je connais que les gens tiennent en moyenne une semaine à s'occuper d'un de leurs parents malade. Après c'est l'hospice. C'est une moyenne qu'il avait établi d'après ses dossiers. Vu la place des animaux dans notre société, c'est "normal" de les abandonner après consommation.
OK, mon analyse de bon matin est terriblement pessimiste. Vite, un câlin à mon chat!
A
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Guest
Louve":3rcapo5k a dit:
Merci pour ta gentillesse, Louve. Il me plairait aussi d'avoir plusieurs animaux (enfin... disons "deux"... lol) mais il n'en est pas question pour l'actuel; je me suis organisée avec un et je ne vois pas comment je ferais si j'en ai plus. Il faut les faire garder ou les transporter quand on part (je transporte mon chat, il supporte très bien un long trajet en voiture avec un demi-cachet)...
Pour avoir plusieurs animaux, il faut quand même pas mal d'espace, pas de meubles trop précieux... Si chien, prendre le temps de le sortir tous les jours et le faire courir suffisamment...
Et tout cela coûte cher entre les frais vétérinaires, la nourriture, les litières...
C'est adorable une chatte et sa portée de petits. Mais je suis formellement contre ce fait d'amener sa chatte à se reproduire, je suis pour la stérilisation précoce, qu'elle n'ait aucune portée.
Si on désire un ou des chatons, c'est facile à trouver (puis, on les fait stériliser au plus tôt).
Une autre chose à ne pas faire est de demander à une copine qui a une chatte non-stérilisée ne nous réserver un petit de la prochaine portée. Au contraire, il faut inciter les propriétaires de chattes à les faire stériliser.
A
Anonymous
Guest
Aldriel":3unmxejp a dit:
Aldriel, soigner son animal est effectivement "normal" quand on en a un et que, donc en principe, on l'aime. Il ne s'agit alors évidemment pas d'un devoir ou d'un sacrifice. Mais, en parlant de "devoir" je pensais à la société en général.
Tout le monde n'est pas attiré par les animaux ou, pour prendre uniquement le cas des animaux de compagnie, il y a souvent une préférence pour une espèce animale plutôt que pour une autre. Cependant, une personne simplement "non attirée" par un animal, n'éprouve pas automatiquement de la haine pour l'animal en question !
Pour adopter un animal, il faut être capable de l'aimer.
Sinon, on peut quand même agir en faveur des animaux, d'une manière ou d'une autre selon ses capacités et moyens, tel faire des dons à des associations.
À force de parler de ces abandons d'animaux, des refuges bomdés, de dénoncer les tortures, etc, de nouvelles lois et mesures devraient être mises en place.
C'est ton chat sur la photo, je suppose. Adorable ! J'ai l'impression qu'il a à peu près la même corpulence que le mien.
Oh, mais désolée s'il s'agit de celui qui est mort
flolalapine
Massacre des légumes
Moi par exemple, je ne suis absolument pas attirée par les animaux; je ne les déteste pas pour autant... (enfin quand j'ai trouvé l'année dernière le chat du voisin en train de me bouffer ma tarte aux mirabelles, j'ai un éprouvé un sentiment pas très zen à son égardAnnaïg":2tyjjdqf a dit:
)Mon collègue s'est acheté un chien (déjà moi ça m'épate qu'on puisse "acheter" un chien, il y en a suffisamment à adopter, mais bon); c'est un berger allemand, pur race, béh total à 8 mois v'là-t-y pas qu'elle se tape une dysplasie de hanche. Ce clebs je me le farcis tous les jours vu qu'il l'amène au boulot, elle est dans le secrétariat, ça me gonfle à un point que vous ne pouvez imaginer, l'encombrement, l'odeur (chien pétomane!), et le bruit, vu qu'elle aboie sur les petits enfants, et qu'on en voit défiler, des gosses.
Bon cette situation me pompe grave l'air MAIS je ne déteste pas cet animal, qui n'y est pour rien.
Kahte
Moulin à graines
Comme tout le monde le sait, enfin ceux qui me supportent ^^ je vis chez mes chats ^^
Pour moi il n'y a pas d'animal domestique puisque pour moi, on est tous des animaux, (le truc poilu qui miaule et les milliers d'autres bêtes sur terre, (les humains sont des bêtes et sont parfois bête ^^).
Je suis un ovni dans mon genre puisque les omnis ne me comprennent pas et les végé dans la grande majorité non plus ^^ J'ai le postérieur entre deux chaises je ne suis pas spéciste, mais je ne suis pas antispéciste, car comme je suis un animal comme les autres bah je vois pas pourquoi je me séparerais de mes congénères à 4 pattes ou à tasses à café incorporés (je parle du mâle pas de la cafetière).
Allez je retourne obéir aux ordres du truc poilu qui rallllle si je le gratouille pas.... (et non je suis toujours célibataire !)
Pour moi il n'y a pas d'animal domestique puisque pour moi, on est tous des animaux, (le truc poilu qui miaule et les milliers d'autres bêtes sur terre, (les humains sont des bêtes et sont parfois bête ^^).
Je suis un ovni dans mon genre puisque les omnis ne me comprennent pas et les végé dans la grande majorité non plus ^^ J'ai le postérieur entre deux chaises je ne suis pas spéciste, mais je ne suis pas antispéciste, car comme je suis un animal comme les autres bah je vois pas pourquoi je me séparerais de mes congénères à 4 pattes ou à tasses à café incorporés (je parle du mâle pas de la cafetière).
Allez je retourne obéir aux ordres du truc poilu qui rallllle si je le gratouille pas.... (et non je suis toujours célibataire !)
QSD22
Mange de la salade
Moi j'ai une chatte, je voulais pas d'animaux au départ, mais bon pareil une amie qui devait absolument caser des chats sous peine de les voir mourir...je suis rentrée dans une pièce où il y en avait 5 et elle m'a choisie direct en me sautant dessus. Que faire, je l'ai prise, elle a fait des conneries, surtout elle a ravagé la tapisserie, mais bon c' pas grave, ça se change, mangé 2 ou 3 trucs, vomit, mais assez rarement, mais depuis qu'elle est là, toute la famille en est absolument dingue. Elle s'est approprié les lieux et les gens, on est la pour lui ouvrir la porte, la gratouiller, lui donner à manger. Elle va partout, l'hiver elle dort avec nous, le printemps venu elle passe 90% de son temps dehors. Bref, elle est membre de la famille à part entière, on l'aime, on ne sait pas si elle nous aime, mais on ne se pose pas cette question. Elle vit sa vie comme une chatte et nous comme des humains et on est tous des habitants de la maison et de la planète.
Elle ne compense rien: je vis en couple, j'ai des gosses et une belle vie. Je ne sais pas si c'est égoïste, égocentrique, altruiste, valorisant et je m'en fous et la chatte aussi je pense
Le seul truc chiant c'est qu'elle tue des souris et des oiseaux, je sais pas si c'est pour nous faire plaisir ou nous emmerder...elle sait quand même qu'on est végétariens
QSD22
Elle ne compense rien: je vis en couple, j'ai des gosses et une belle vie. Je ne sais pas si c'est égoïste, égocentrique, altruiste, valorisant et je m'en fous et la chatte aussi je pense
Le seul truc chiant c'est qu'elle tue des souris et des oiseaux, je sais pas si c'est pour nous faire plaisir ou nous emmerder...elle sait quand même qu'on est végétariens
QSD22
kerloen
Fait crier les carottes
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On dirait ma grand mère !Brunito":2qgozy2v a dit:un chien dans un secrétariat médical ?!!!!!! de mieux en mieux ...
Il est où le problème Brunito ?
A
Anonymous
Guest
Ah mais tu ignores donc que, selon les dernières enquêtes officielles, ce sont les Français qui se lavent le plus de tous les Européens !!Brunito":34e3eask a dit:
Remarque, c'est pas très écolo, faut économiser l'eau...
Pardon, on passe dans le hors sujet, là...
A
Anonymous
Guest
Tu lui mets un collier avec une petite clochette pour alerter les oiseaux.QSD22":1bcnijry a dit:Le seul truc chiant c'est qu'elle tue des souris et des oiseaux, je sais pas si c'est pour nous faire plaisir ou nous emmerder...elle sait quand même qu'on est végétariens
flolalapine
Massacre des légumes
Euh n'exagérons rien, c'est le secrétariat, là où on enferme notre secrétaire, c'est pas un lieu de passage, les patients n'y entrent pas
par contre à chaque fois que je passe déposer un papier, prendre un café, chercher un fax, je me fais amoureusement lécher les orteils (car je bosse en tongs) voire renifler le cul...
Fleur46
Jeune bulbe
flolalapine":6wm0nmv3 a dit:
J'ai plusieurs chats (deux et un troisième, sourd, abandonné par ses propriétaires il y a quelque temps
). Les deux premiers m’ont été donnés par une collègue qui ne pouvait plus les garder : elle déménageait dans une grande ville, dans un appartement, et ses chats étaient habitués à une grande maison et à la campagne. C’est sûr que les animaux c’est des contraintes, mais on l’accepte si on les aime vraiment. J’adore les chats, et quand je n’en avais pas, j’étais en manque ! Donc bien sûr que c’est un peu égoïste de ma part d’avoir adopté des chats, mais si je les avais refusé, ils se seraient sûrement retrouvés dans un refuge…
Je pense moi aussi qu’il faut les faire stériliser et castrer pour limiter la population des chats errants malheureux. Mais c’est vrai qu’il faut surveiller un peu leur poids, et leur donner des croquettes allégées, car ils ont tendance à trop manger.
Fleur46
Jeune bulbe
Je suis d’accord, et en plus, cela me choque qu’on vende des animaux comme si c’étaient des objets. Ce sont quand même des êtres vivants !flolalapine":372pv4hn a dit:
A
Anonymous
Guest
Fleur, ton chat sourd est-il de couleur blanche ?Fleur46":1thvqtvu a dit:J'ai plusieurs chats (deux et un troisième, sourd, abandonné par ses propriétaires il y a quelque temps
Je pense moi aussi qu’il faut les faire stériliser et castrer pour limiter la population des chats errants malheureux. Mais c’est vrai qu’il faut surveiller un peu leur poids, et leur donner des croquettes allégées, car ils ont tendance à trop manger.
Il paraît que souvent les chats blancs sont sourds... J'ignore pourquoi, en tout cas c'est un gros handicap pour un chat qui se fie beaucoup à son ouïe normalement particulièrement fine.
C'est ignoble d'abandonner son animal quand, finalement, il ne convient pas, qu'il est handicapé, par exemple !
Mon chat a aussi "ses charmants petits défauts"... câlin quand ça l'arrange puis... il me mord je ne sais pas pourquoi, même quand je ne le touche pas.
Il lui arrive de me sauter dessus et me mordre... fort ! Il me fait mal !
J'aurais des raisons d'aller le jeter dans la nature !
Mais il est tellement rigolo, je lui passe tout, je ris de le voir avec son air provocateur, on dirait un sale gosse effronté, je suis une mère gâteuse.
À propos de bouffe, le mien mange assez peu, c'est dosé/pesé, je fais attention. Il n'est pas goinfre, ne vide pas d'un coup sa gamelle.
Il est "fort", long et massif, pas vraiment "gros".