janic
Fait crier les carottes
Foxy bonjour
Pour te répondre, ça risque de nous emmener loin. Je vais donc essayer de faire court.
Depuis des millénaires, les penseurs, les sages, les philosophes et religieux, se sont penchés sur le mystère de la vie et plus particulièrement sur l’humain constatant que l’individu n’est pas fait seulement de matière mais aussi d’esprit (ou d’intellect ou encore de mental). D’où l’influence que ces penseurs ont eut sur la culture et donc le comportement social. Dans le bassin méditerranéen, la culture a été fortement influencée par le monothéisme issu du judaïsme que sont les christianismes et les islams.
En France, cette culture religieuse s’est IMPOSEE par ses dogmes autant que par la force où croire en dieu était obligatoire. La révolution française a mis à terre non seulement la royauté et la noblesse, mais aussi son alter égo et complice : la religion chrétienne. (d'où le très fort pourcentage d'athée en France par rapport au reste du monde).
Par réaction (compréhensible d’ailleurs) soutenir le discours religieux était assimilé à un retour au passé révolu et donc le matérialisme (avec l’aide de LA science et du même coup le discours sur l’évolution) a remplacé la religion à partir des mêmes mécanismes d’ailleurs.(voir l’athéisme bien plus développé sur Wikipédia)D'où la référence habituelle à des "preuves" matérielles et réfutation des "preuves" non matérielles.
Donc pour revenir au sujet : deux (ou plus) possibilités s’ouvrent :
a)Soit le vivant n’est qu’une machine organique composée d’organes indépendants que l’on peut retirer et remplacer comme sur une voiture par exemple.
b)Soit le vivant n’est pas un assemblage d’organes, mais un tout indissociable.
D’où la question philosophique: ai-je un corps et je suis donc « autre » que ce corps. Et dans ce cas où suis-je réellement ?
ou bien :
suis-je ce corps dans toutes ses parties et donc tout organe extérieur n’est pas moi. Et toute partie de moi est moi que ce soit une cellule souche ou pas. (Voir la mémoire cellulaire)
Du choix dépendra le comportement dans la vie.(Pour l'athée la question ne se pose pas évidemment!)
La vision mécaniste ajoutée à un humanisme, compréhensible d’ailleurs, explique la position actuelle de la médecine qui en tant que telle ne se place pas sur un plan métaphysique mais sur le seul plan physique. Tout comme le garagiste a pour mission de réparer un véhicule qui fonctionne mal, ou qui a eut un accident, et non de discuter sur les raisons qui ont conduit à cet état.
Je parlais de cellules souches.
Et pour ça:
Tu m'expliques le rapport?Cette dissociation se retrouve actuellement, où l'individu ne s'identifie pas à son corps ou à des parties de celui-ci. D'où l'utilisation de cellules hors du corps, de transfusions dans ce corps, de vaccins, de rafistolages par greffes de coeurs, de foie et autres pièces détachées. Comment, dès lors, s'étonner de l'explosion des contestations du corps dans les maladies, les cancers et autres phénomènes de rejets.
Mais que ce corps (même si c’est nécessaire à sa survie) va vouloir rejeter comme tout corps étranger.La greffe est l'implantation d'un nouveau organisme dans le corps, donc un corps étranger vital à sa survie, qui va être accepté en fonction des similitudes sanguines, d'adn, etc, etc...
Pour te répondre, ça risque de nous emmener loin. Je vais donc essayer de faire court.
Depuis des millénaires, les penseurs, les sages, les philosophes et religieux, se sont penchés sur le mystère de la vie et plus particulièrement sur l’humain constatant que l’individu n’est pas fait seulement de matière mais aussi d’esprit (ou d’intellect ou encore de mental). D’où l’influence que ces penseurs ont eut sur la culture et donc le comportement social. Dans le bassin méditerranéen, la culture a été fortement influencée par le monothéisme issu du judaïsme que sont les christianismes et les islams.
En France, cette culture religieuse s’est IMPOSEE par ses dogmes autant que par la force où croire en dieu était obligatoire. La révolution française a mis à terre non seulement la royauté et la noblesse, mais aussi son alter égo et complice : la religion chrétienne. (d'où le très fort pourcentage d'athée en France par rapport au reste du monde).
Par réaction (compréhensible d’ailleurs) soutenir le discours religieux était assimilé à un retour au passé révolu et donc le matérialisme (avec l’aide de LA science et du même coup le discours sur l’évolution) a remplacé la religion à partir des mêmes mécanismes d’ailleurs.(voir l’athéisme bien plus développé sur Wikipédia)D'où la référence habituelle à des "preuves" matérielles et réfutation des "preuves" non matérielles.
Donc pour revenir au sujet : deux (ou plus) possibilités s’ouvrent :
a)Soit le vivant n’est qu’une machine organique composée d’organes indépendants que l’on peut retirer et remplacer comme sur une voiture par exemple.
b)Soit le vivant n’est pas un assemblage d’organes, mais un tout indissociable.
D’où la question philosophique: ai-je un corps et je suis donc « autre » que ce corps. Et dans ce cas où suis-je réellement ?
ou bien :
suis-je ce corps dans toutes ses parties et donc tout organe extérieur n’est pas moi. Et toute partie de moi est moi que ce soit une cellule souche ou pas. (Voir la mémoire cellulaire)
Du choix dépendra le comportement dans la vie.(Pour l'athée la question ne se pose pas évidemment!)
La vision mécaniste ajoutée à un humanisme, compréhensible d’ailleurs, explique la position actuelle de la médecine qui en tant que telle ne se place pas sur un plan métaphysique mais sur le seul plan physique. Tout comme le garagiste a pour mission de réparer un véhicule qui fonctionne mal, ou qui a eut un accident, et non de discuter sur les raisons qui ont conduit à cet état.
Le psychisme joue un rôle important sur l’après greffe par contre sans produits anti rejet et sans avoir à s'ouvrir, le corps préfèrera la mort plutôt que de conserver ce qui n'est pas lui.Le psychique de l'individu ne joue pas (à ce que je sache), sur le rejet ou non de la greffe (sauf s'il s'ouvre lui même pour s'arracher l'implant, mais c'est différent).
Hippocrate parle déjà du crabe, c’est ainsi que le cancer était désigné, et ce ne sont pas les éléments cancérigènes actuels qui en étaient la cause.Le cancer est dû à un plus grand nombre d'éléments cancérigènes qu'on absorbe, encore qu'il devait y en avoir avant aussi.
Les cellules cancéreuses ne se nourrissent pas de cellules saines, elles entrent seulement en concurrence.C'est là aussi une maladie qui provient de cellules ennemies qui se "nourrissent" des autres cellules saine et se développe.
C’est pourtant ce que constatent (d’une certaine façon) des cancérologues. (Déjà que peu de personnes savent ce que c’est qu’une âme ! Alors parler d’une dissociation… !) Plutôt que de parler de dissociation, il serait plus heureux de parler de conflit entre « le corps et l’âme ».Merci de ne pas affirmer que le cancer vient d'une dissociation du corps et de l'âme (ça m'obligerait à montrer les crocs...), etc, etc...