tout d'abord Louve, je suis désolée si ce que j'ai ecris à pu te blesser ou te paraitre une leçon de vie......loin de moi cette idée. Tu veux du réconfort, je suis là et tout le monde et là pour t'en donner maintenant j'ai émis des idées qui sont à mon sens importante.
Tu dis je veux être vétérinaire.......mais ce métier au travers les études que je fais ne me correspond pas...et là je te dis, tu a deux choix:
-soit tu abandonnes cette idée parce que tu estime que ton ethique et tes idées t'empêchent de continuer et tu essayes de trouver autres choses......soignant animalier peut être ou travailler sans diplôme (pas en tant que veto bien sur hein!!! sinon c'est grave)
- soit tu tiens bon et tu continues parce que tu ne veux pas lâcher ton rêve, option que tu as apparemment choisi.(et je te félicite de ton choix)
Tu avais donc le choix....tu vois ce que je veux dire? maintenant tu as un autre choix qui s'offre à toi, tu continues tes études en les subissant ou tu les prenant à bras le corps.
Ca va encore faire un post super long mais tant pis c'est pas grave je voudrais partager avec toi un texte que j'ai lu il y a quelque année quand j'étais au Quebec. Et il m'a un peu aider à comprendre ce principe que je rejetais aussi : avoir le choix
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Jerry est gérant d’un restaurant. Il est toujours de bonne humeur.
Quand on lui demandait comment ça allait, il répondait toujours :
« Si ça allait mieux, je serais jumeau! »
Les serveurs de son restaurant quittaient leur emploi pour le suivre afin de demeurer à son service d’un restaurant à l’autre.
Pourquoi ?
Parce que Jerry était un motivateur né.
Quand ça n’allait pas bien pour un de ses employés, Jerry était toujours là pour lui faire voir le côté positif de la situation.
Son attitude me rendit curieux. Alors, un jour j’allai le voir et lui demandai :
Je ne comprends pas! Personne ne peut être positif tout le temps. Comment fais-tu?
Jerry répondit, « Chaque matin à mon réveil, je me dis, j’ai deux choix aujourd’hui. Je peux choisir d’être de bonne humeur ou de mauvaise humeur.
Je choisis toujours d’ être de bonne humeur. À chaque fois que quelque chose de mal arrive, je peux choisir d’être victime ou d’apprendre. Je choisis toujours d’apprendre.
Quand on vient se plaindre à moi, je peux choisir de me taire ou d’en faire ressortir le côté positif de la vie. Je choisis toujours cette dernière option.
« Mais ce n’est pas toujours si facile, » protestai-je.
Tout dans la vie est une question de choix. Après avoir enlevée le superflu, chaque situation est un choix.
On choisit comment réagir aux situations, comment les gens affectent notre humeur, d’être de bonne humeur ou pas. On choisit comment vivre notre vie. »
Plusieurs années plus tard, J’appris que Jerry avait accidentellement fait ce qu’on doit absolument éviter dans le monde de la restauration.
Il avait laissé la porte arrière de son restaurant ouverte.
Et alors, au matin il fut dévalisé par trois hommes armés.
Pendant que Jerry tentait d’ouvrir son coffre-fort, sa main nerveuse glissa de la manette de combinaison. Les voleurs paniqués firent feu sur lui.
Heureusement Jerry fut rapidement trouvé et transporté à l’hôpital.
Après 18 heures de chirurgie et des semaines des soins intensifs, Jerry pu quitter l’hôpital avec des fragments de projectiles dans son corps…
Je rencontrai Jerry environ six mois après l’accident.
Quand je lui demandai comment il allait, il me répondit, « Si j’allais mieux, je serais jumeau. Veux-tu voir mes cicatrices? »
Je déclinai son offre mais lui demandai ce qui lui avait passé par la tête lors du cambriolage.
« J’ai d’abord pensé que j’aurais dû barrer la porte arrière, Puis après qu’ils m’eurent tiré dessus, je me suis souvenu que j’avais deux choix: Je pouvais choisir de vivre ou de mourir. J’ai choisi de vivre. »
« N’avais-tu pas peur? » que je lui demandai.
Il continua, « Les ambulanciers ont été super. Il ne cessaient pas de me répéter que tout irait bien.
Mais quand ils m’ont emmené à l’urgence et que j’ai vu l’expression sur les visages des médecins et des gardes, j’ai paniqué.
Dans leurs yeux, Je pouvais lire, c’est un homme mort.
Il fallait que je passe à l’action. »
Qu’as-tu fait? Lui demandai-je.
« He bien, il y avait une grosse infirmière qui me criait des questions. Elle me demanda si j’étais allergique à quelque chose. »
Je lui répondis: « oui, aux balles de fusils. »
Quand ils eurent fini de rire, je leur dit: « J’ai choisi de vivre. S’il vous plait, opérez-moi comme si j’étais vivant et non pas mort.
Jerry survécut grâce à la compétence des médecins mais aussi à cause de son étonnante attitude.
J’ai appris de lui qu’à chaque jour on a le choix de jouir de la vie ou de la détester.
La seule vraie chose qui nous appartienne – que personne ne puisse contrôler ou nous prendre – c’est notre attitude.
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voilà pour cet question du choix......maintenant je vais revenir sur quelque chose que tu as dis
Puis dans la théorie ne pas se soucier des gens, du reste, c'est facile. Tu n'es pas confrontée à ce que je vis, alors c'est facile de me dire comment je dois faire. Je ne peux pas faire abstraction de ce que je vois, de la souffrance etc..
Non tu n'as pas compelement raison, je suis ...nous sommes tous confronté à des situations différentes mais parfois tout aussi eprouvante. Je vais te raconter une histoire
il y a maintenant 8 ans, en mars 2000, je me suis retrouvée à l'hopital au service des soin intensif (oh pas pour moi ne vous inquietez pas) et là un medecin nous à donner le choix à mon pére et à moi.......soit on laissait ma mére sans soin et on laissait faire la nature soit on decidait de lui donner une dose massive d'antibio qui la turait....ah voilà un choix terrifiant à faire....pas plaisant, horrible de conséquence mais un choix quand meme....on a choisi la deuxiéme option pour ne plus quelle souffre.
Tout les jours moi ce ne sont pas des yeux de vache ou de cochon que je vois mais des yeux humains térrifiés et apeuré ou perdu parce que personne ne s'oocupent d'eux ou ne prend le temps de les ecouter.
Je ne te dis pas de faire abstraction de ce que tu vois, je te dis de ne pas te faire bouffer par cela parce que sinon tu ne pourras faire un bon travail c'est tout.
Et pour finir oui tu as raison, je pense que à partir du moment ou on a du respect pour la vie ou respecte tout ces aspects (animal, matériel, humain....ecologique)
Bon courage ma chére Louve
Galadrielle 0