Actualité

  • Auteur de la discussion Anonymous
  • Date de début
Heu, dire qu'une vache a des difficultés de reproduction ne veut pas du tout dire qu'elle souffre de ne pas avoir d'enfants...
 
Bah oui mais le texte ne dit pas juste qu'elle ont des difficultés mais bien qu'elles en souffrent.
"En élevage laitier, les vaches souffrent [...] de difficultés de reproduction."

Ça ne dit certes pas qu'elles sont tristes de ne pas avoir de veaux mais je doute franchement que leur difficultés à concevoir les fasse souffrir. :gné:
 
C'est surtout le producteur qui souffrent de son porte monnaie, une vache laitière qui produit pas (et donc ne se reproduit pas) c'est un coup... Elles finissent souvent à la réforme (dixit l'abattoir)...
 
Purée font ç_"'àç"_r !! C'est vraiment Français le pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué..... Ils savent que c'est déjà le parcours du combattant, et boom.
Q_Q.
 
Mais qu'est ce qui leur passe par la tête ? :mmm:
 
C'est l'ouverture de la chasse en Belgique. :anger: :'(
 
Usagi.Chan":3t48dylu a dit:
Bah oui mais le texte ne dit pas juste qu'elle ont des difficultés mais bien qu'elles en souffrent.
"En élevage laitier, les vaches souffrent [...] de difficultés de reproduction."

Ça ne dit certes pas qu'elles sont tristes de ne pas avoir de veaux mais je doute franchement que leur difficultés à concevoir les fasse souffrir. :gné:

"Souffrir d'une pathologie" c'est une expression qui veut dire qu'on a cette pathologie, ça ne dit rien sur les répercussions en terme de souffrance psychique.
Je crois qu'il s'agit juste d'une incompréhension lexicale/langagière/jenesaispaslemot de votre part :)
 
Un Palois affirme que son chien a été abattu par un chasseur lors d’une promenade. L’homme aurait ensuite pointé son fusil sur lui, avant de quitter les lieux. Une plainte a été déposée.


:anger: :anger: :anger: :anger: :anger:
 
akkana":1rlnw9fx a dit:
"Souffrir d'une pathologie" c'est une expression qui veut dire qu'on a cette pathologie, ça ne dit rien sur les répercussions en terme de souffrance psychique.
Je crois qu'il s'agit juste d'une incompréhension lexicale/langagière/jenesaispaslemot de votre part :)

Je pense plutôt que ce n'est pas anodin d'avoir choisi ce terme quand le lexique comprend des expressions de type "atteint de telle pathologie" moins chargé émotionnellement. Quelque part, ils ont réussi à placer le mot "souffrance".
 
Tiens, ils ont parlé justement du mouvement végétalien ce soir sur TF1, plus précisément dans les restaurants. Mon père était en train de regarder le journal alors que j'étais en train de finir mon repas dans la même pièce.

Mis à part le problème du vocabulaire (utilisation du mot "végane" au lieu de "végétalien" dans un reportage ne parlant que de l'aspect nourriture) il n'était pas trop mauvais, d'après ce que j'ai retenu il n'y a pas eu de lancer de gros préjugé du style "carences" ou "sectaire" et il a eu le mérite d'avoir mentionné la première motivation du mouvement (une fille apparue brièvement qui a dit "pour les animaux").
 
Canastenard":1o9b2nw9 a dit:
Tiens, ils ont parlé justement du mouvement végétalien ce soir sur TF1, plus précisément dans les restaurants.
À partir de 25 min 11.
Canastenard":1o9b2nw9 a dit:
(…) il a eu le mérite d'avoir mentionné la première motivation du mouvement (une fille apparue brièvement qui a dit "pour les animaux").
Avant d’enchainer directement sur le prix de l’Arc de triomphe…
 
jess":g4rk0jdt a dit:
Soma, pour l'Existrans, c'est spécifiquement à Paris ou il existe des marches équivalentes en province ?

Niet, qu'à Paris, du coup on monte tou·te·s là haut et ça sera pas du style festif comme aux prides.
 
Oui, pour le côté festif, je me doute.
Et pour Paris, je m'en doutais un peu aussi, ça doit déjà pas être évident d'organiser un tel évènement et de rassembler suffisamment de monde pour donner un peu de visibilité, alors en créer aussi en province, c'était peu probable. Mais bon, je posais quand même la question au cas où.


A Montpellier, on a été privés de Marche LGBT+ cette année, elle était prévue pour le 16 juillet et a donc été annulée suite à l'attentat niçois :(
 
Une tribune récente de Lolita Lempicka (également signataire du Plaidoyer pour le véganisme).


Non à une Fashion Week sanglante

LE MONDE | 24.09.2016 à 12h07 • Mis à jour le 27.09.2016 | Par Lolita Lempicka (Styliste de mode et créatrice de parfum)

La Fashion Week de Paris est une célébration chic et médiatique de la mode et une occasion pour les créateurs de présenter leurs derniers modèles. Malheureusement, ce que l’on ne nous présente pas, c’est la cruauté inimaginable inhérente à la production de matières provenant d’animaux, encore utilisées par certaines marques. En paradant avec un manteau de fourrure, un sac en peau, un pull en laine ou en angora ou une veste en cuir, ces créateurs sont directement responsables de la torture et du meurtre de ces êtres sensibles qui voulaient vivre.
Bien connue pour être synonyme de cruauté gratuite, l’industrie de la fourrure élève et exécute des millions d’animaux chaque année, dans des conditions atroces. Renards, visons, loups et autres sont confinés dans de minuscules cages insalubres avant d’être tués par empoisonnement, gazage ou électrocution vaginale ou anale. Derrière chaque article en fourrure se cache le passé horrible, douloureux et terrifiant d’un animal à qui on a volé la peau et la vie pour un vêtement.

Une véritable torture
Bien que peu de personnes s’en rendent compte, le cuir ne provient pas seulement de vaches issues de l’élevage industriel, mais aussi de chevaux, agneaux, chèvres, cochons et même de chiens et de chats. Après avoir été brutalisés toute leur vie, ces animaux sont attachés, battus, plongés dans de l’eau bouillante ou dépecés vivants. Cela alors qu’il existe de plus en plus de matières véganes imitant le cuir de manière convaincante sans causer d’atroces souffrances aux animaux.
Les moutons élevés pour leur laine et les lapins dont on obtient l’angora ne subissent pas une simple tonte, mais une véritable torture, quand les employés – payés au kilo – les poussent violemment à terre avant de leur arracher leur laine, souvent en coupant de gros morceaux de peau en même temps. Ensanglantés, hurlants et terrifiés, ces animaux subissent cet effroyable traitement tous les quelques mois jusqu’à ce qu’ils soient envoyés à l’abattoir.
Enfin, élevés dans des fermes sordides, les crocodiles, lézards, serpents et autruches tués pour que leur peau soit transformée en sacs vendus des milliers d’euros sont décapités, cloués vivants, remplis d’air ou d’eau avant qu’on leur arrache la peau.

Extrême cruauté
Clairement, utiliser des matières provenant d’animaux est extrêmement cruel et cela n’a pas lieu d’être au XXIe siècle. Les créateurs jouent un rôle important en fixant les dernières tendances. En refusant l’exploitation animale, ils ont la possibilité d’accorder leurs collections au respect grandissant de la vie animale dont font preuve les nouvelles générations de consommateurs.
Les nombreuses enquêtes révélées par Pour une éthique dans le traitement des animaux (PETA) France et ses affiliés prouvent l’urgente nécessité de rejeter les produits animaux, aussi bien de notre assiette que de notre garde-robe.
Cette semaine, les défilés de prêt-à-porter devraient être une célébration pleine de style et joyeuse et non une parade de cadavres. Plusieurs grands noms de la mode se sont déjà engagés à abandonner la fourrure, l’angora, la laine, le cuir et les peaux exotiques et il est grand temps que tous leur emboîtent le pas.
J’encourage les créateurs ainsi que les consommateurs à arrêter de participer à cette cruauté en se défaisant de toute matière ayant engendré de la souffrance animale. Vu le nombre d’alternatives sans cruauté que l’on peut trouver aujourd’hui, les stylistes réellement créatifs, modernes et talentueux sont plus que capables de créer des articles de mode élégants sans ôter la vie à un animal. Faites ce choix éthique, et laissez leur peau aux animaux.

Lolita Lempicka est végane et militante pour la protection animale.
 
Il était très attendu par les participants au sommet, qui célèbre sa 25e édition sous le signe d'une double crise, à la fois dans le secteur laitier et dans le secteur de la viande.

[…]

Les syndicats d'éleveurs français estiment qu'il leur manque en moyenne 1 euro par kilo de carcasse de viande pour couvrir leurs frais.
Est-ce vraiment la faute d’un manque de consommation ou est-ce à cause des prix d’achat exigés par les intermédiaires ?

Interbev justifie cette opération en expliquant qu’elle sert à expliquer aux enfants comment les animaux d’élevage sont traités à la ferme, à rappeler la qualité sanitaire des produits servis et l’importance de la traçabilité de leur origine.
Et on autorise la publicité dans les écoles ? :mmm:

Mais, bon, depuis que le ministère se réjouit de faire entrer Microsoft à l’école, il ne faut plus s’étonner de rien. :'(

H.
 
HaricotPrincesse":j9olfute a dit:
Et on autorise la publicité dans les écoles ? :mmm:

H.
En théorie, en Belgique, non. En pratique, elle y est bel est bien présente. Et, même en temps qu'enseignante sensible à la question, c'est difficile de l'éviter à 100%.
 
Nurja":105omnkw a dit:
HaricotPrincesse":105omnkw a dit:
Et on autorise la publicité dans les écoles ?
En théorie, en Belgique, non. En pratique, elle y est bel est bien présente.
Et, si je ne me trompe, ce sont même les activités commerciales qui y sont interdites. Règlementairement.

H. <br /:><:br /> — Le 06 Oct 2016, 01:03, fusion automatique du message précédent — <br /:><:br />
HaricotPrincesse":105omnkw a dit:
[…]
Est-ce vraiment la faute d’un manque de consommation ou est-ce à cause des prix d’achat exigés par les intermédiaires ?
Ben… apparemment, on fait dans le surplus de viande, là :confus: :
Les professionnels réunis au Sommet de l'élevage en Auvergne poussent l'Europe à distribuer ses surplus de viande dans les principaux pays d'accueil des réfugiés syriens.
Source : Crise agricole et crise des réfugiés: l'Europe pourrait faire d'une pierre deux coups, 5 octobre 2016.

H.
 
Retour
Haut