Adolescence et homosexualité: Les étranges conseils du Dico des filles

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En effet, c'est connu, deux hommes ensemble ne peuvent pas faire de gosses, mais deux femmes par contre elles y arrivent...
en effet, biologiquement un couple masculin est et restera stérile, alors qu'un couple féminin reste fertile, soit par rapport sexuel passager, soit par insémination comme actuellement.
 
rapport sexuel passager

Ca ressemble fortement à tolerer le viol (mais vu la source, c'est pas surprenant). Et puis c'est vrai qu'un homme ne peut pas avoir de rapports passagers avec un partenaire de l'autre sexe, contrairement aux lesbiennes... :rolleyes:
 
janic":1g5mbmh7 a dit:
jess bonjour
Notre société est née d'un paradoxe, un mélange entre une société gréco-romaine, et les nombreux interdits judéo-chrétiens qui en ont découlés, en grande partie pour se démarquer des anciennes religions "païennes" très libres et d'en prendre le contrepied.
C'est un point de vue largement répandu qui relève du mythe et d'une certaine culture mélangeant religion et spiritualité. Contrairement, donc, à ce point de vue répandu, le judaïsme n'est pas dans l'interdit pour l'interdit sinon l'homosexualité féminine serait interdite, or elle ne l'est pas. Par contre elle interdit l'homosexualité masculine au même titre que la zoosexualité masculine ET féminine à cause de leur stérilité inévitable, laquelle stérilité est considérée comme une "malédiction".

Ce que disait jess est mille fois vrai. Le christianisme comme culture interdit l'homosexualité, mais genre même pas l'interdit : le proscrit, l'abjure, le refuse, c'est une chose innommable et impensable. Au Moyen-Âge l'homosexualité n'existait pas. Pas parce que le désir était absent, mais parce que c'était juste un mot qui n'existait pas quoi. C'était une absurdité.
Alors du coup janic, tu as beau jeu de dire que dans les textes, l'homosexualité n'est pas explicitement interdite : effectivement, puisqu'elle est absurde et qu'ils refusent même son existence.
 
Elle n'était effectivement pas interdite puisque non existante. (officiellement reconnue quoi)
 
Tcharls":2kubfyns a dit:
En tout cas, en Iran, l'homosexualité n'existe pas.
Si ça existe puisque c'est interdit. Non mais tu suis un peu ? :whistle:
 
sarah460":37vagzha a dit:
Bonsoir!
Si je peux me permettre, j'aimerais vous donner mon avis sur tout ça.

Attention, étroits d'esprits ou trop cartésiens, ces propos pourraient vous choquer!

Je pense que l'homosexualité n'existe pas. L'hétérosexualité non plus par opposition. Pour moi, on est charmé par une âme. Et peut importe qu'elle soit dans un corps de femme ou d'homme. L'attirance est là, quoiqu'il se passe. Certains préfèrent des âmes peut être plus féminines, d'autres des plus masculines.

Après, faut-il encore croire en l'âme, en l'amour (vous avez vu, c'est la même racine!).
Certains penseront peut être que je fume trop d'herbe... A ceux là, je répond que c'est végétarien, et même végétalien :)

Je viens de voir que la dernière réponse date de plus d'un an. Je ne pas m'empêcher de donner mon avis mais je ne veux pas relancer le débat. (certains ne sont peut être même plus présents...). Juste mettre mon petit cailloux sur l'édifice...

Aaah je me suis toujours fait ce genre de remarques, ça me rassure de ne pas être la seule :D

Sauf que j'en arrive à trouver l'homosexualité "bizarre" (pas taper, pas taper ! )

Pour moi, comme l'a dit Sarah, on tombe amoureux d'une personne, qui peut être grande, maigre, noire, femme, etc. Du coup, je trouve étrange qu'un garçon ne soit attiré QUE par des garçons. Ça me paraît à peu près aussi bizarre que de n'être attiré que par des rousses, ou par des gauchers - je trouve que c'est un critère de restriction arbitraire. (Mais je suis bien consciente que là, je mélange allègrement attirance sexuelle et sentiments).
Je me demande comment se fait cette restriction, pourquoi ?

Alors bien entendu, on peut dire la même chose de l'hétérosexualité - je pense que c'est tout de même un peu tempéré par une forte pression socio-culturelle à se mettre en couple avec le sexe opposé... peut-être même qu'il reste des réminescences d'instincts primaires qui nous poussent à trouver l'autre sexe plus attirant pour une question de perpétuer l'espèce.

Mais dans l'absolu, je trouve la bi/pansexualité plus "logique" que le reste.
 
Il est tout sauf arbitraire que d'avoir une préférence, un "type", il a d'ailleurs souvent pour origine la mère ou une relation marquante dans l'enfance. (ami(e), copains, famille, cousin(e)s, oncle tante...)

Après c'est vrai que récemment sont nés des critères "sociaux" de beauté absurdes et aussi pérenne que la mode... mais je ne les compte pas là dedans car c'est plus une démarche volontaire de "restriction" alors que je parle d'émoi, d'émoustillement, de sensibilité, d'intérêt du premier regard, de ce ptit truc que toute personne peut sentir se dégager de toute autre à la première apparition.

Il existe 1000 façons de tomber amoureux ou d'avoir un désir sexuel (voire les deux), c'est rarement volontaire, et une de portes d'entrée les plus classiques, c'est l'accroche du premier regard... l'homme étant par nature hyper sensible à ce qui entre par son sens de la vue. (je parle bien de première approche, pas d'un engrenage réflexe systématique et irrépressible "moi voit, moi éjacule dedans")

Quant à l'hétéro sexualité, il doit exister une forme de préférence naturelle (et en même temps culturelle je crois) à préférer le sexe opposé, surtout dans une optique d'union "constructive". Mais je n'entends pas "normalité" par nature (la normalité étant un concept très humain), et je dissocie également le plaisir sexuel ou l'attirance prononcée pour quelqu'un pour tout critère autre (charme, bagou, couleur de cheveux, attitude, discours, philosophie, forme du nez, voix, etc.............)

En fait si nous avions le pouvoir de faire disparaitre toute notion de "schéma parental", nous verrions peut-être disparaitre toute forme de différence de typologie des relations amoureuses et/ou sexuelles.
Par contre on verrait peut-être naitre une sorte d'hétérosexualité "utilitariste" à but procréateur.
Ou bien la différence se déplacerait ici: les couples qui veulent procréer (par eux-même ou différemment -insémination, mère porteuse, adoption), et les autres.

On voit déjà un peu ça aujourd'hui encore, un couple hétéro, même ensembles depuis longtemps, provoquent toujours soit un léger malaise soit un flottement "philosophique" quand ils annoncent qu'il n'ont et ne veulent pas d'enfant. Comme si c'était incongru.
 
Guanaco bonjour
Ce que disait jess est mille fois vrai. Le christianisme comme culture interdit l'homosexualité, mais genre même pas l'interdit : le proscrit, l'abjure, le refuse, c'est une chose innommable et impensable. Au Moyen-Âge l'homosexualité n'existait pas. Pas parce que le désir était absent, mais parce que c'était juste un mot qui n'existait pas quoi. C'était une absurdité.
Déjà il n’y a pas un « christianisme », mais des « christianismes » qui sont effectivement le résultat d’un mélange de croyances, de cultures, d’opportunités politiques, etc… et qui, dans notre pays, sera dominé par le catholicisme romain (différent de l’orthodoxie, des protestantismes, des évangélistes comme actuellement et tous ne tiennent pas le même langage concernant les choix et relations sexuelles). Donc on ne peut dire LE christianisme, mais telle ou telle religion qui se dit chrétienne.(c’est le rôle de la théologie et de l’exégèse de définir ces différents aspects.)
Alors du coup janic, tu as beau jeu de dire que dans les textes, l'homosexualité n'est pas explicitement interdite : effectivement, puisqu'elle est absurde et qu'ils refusent même son existence.
Pas tout à fait, elle n’est interdite que pour les relations masculines et la zoosexualité. Par contre il est difficile de nier l’existence de l’homosexualité étant donné sa mention et son examen dans ces textes de référence, au même titre que seront évoqués le viol, l’assassinat, le vol, etc… sans fausse pudeur ou hypocrisie.
Après que telles ou telles religions, selon les époques, les cultures, aient plus ou moins escamoté cette réalité (comme tout système humain qu’il soit religieux, politique, culturel, économique…) ça fait partie de la nature humaine.

Jezebel bonjour
rapport sexuel passager
Ca ressemble fortement à tolerer le viol (mais vu la source, c'est pas surprenant). Tu as raison, j’aurais dû préciser rapport sexuel passager volontaire !Et puis c'est vrai qu'un homme ne peut pas avoir de rapports passagers avec un partenaire de l'autre sexe, contrairement aux lesbiennes...

Il pourra effectivement avoir un rapport sexuel passager avec un partenaire de l’autre sexe, mais, lui, IL n’en tombera pas enceinte parce que, biologiquement c’est impossible ! Or le texte biblique ne cherche pas à définir une dimension « morale » mais vitale : perpétuer la vie !
 
Me considérant moi même comme homosexuel (ou plutôt queer, c'est à dire n'étant pas "hétéro"), certaines remarques que j'ai pu lire à la volée me sidèrent et me choquent... Même si je trouve ça pleinement bénéfique de pouvoir en parler ouvertement.

Je ne comprends un truc: pourquoi les hommes gays ne peuvent pas avoir de rapport passager avec une femme, tandis que les femmes homosexuelles, si ? Eclairez-moi, là...

Faisant partie de cette grande et joyeuse (ou non) communauté, je fais une réelle distinction entre deux choses: l'orientation sentimentale et l'orientation sexuelle. Je pense que les deux n'ont rien à voir, voire ne dépendent pas l'une de l'autre, étant donné que pour moi, le plaisir sexuel est quelque chose différent des sentiments.

Je trouve ça bien beau de dire qu'on "tombe amoureux d'une âme", mais qu'en est-il des personnes qui ne tombent jamais amoureux de quelqu'un de tel ou tel sexe - simplement parce qu'ils ne sont pas attiré par ce sexe ?
J'aimerais d'abord préciser que l'orientation sentimentale, sexuelle, ou appelez ça comme vous le voulez, ne se dirige pas. Un hétéro peut un jour tomber amoureux d'une personne du même sexe, un homo d'une personne du sexe opposé. Ce que je trouve plutôt vrai c'est que "l'orientation n'est jamais définitivement figée".

J'avais également lu une étude comme quoi la zone du cerveau où naît le comportement sexuel est différent entre hétérosexuels et homosexuels. En voilà peut-être une partie de la raison ?

Pourquoi trouver étrange qu'un garçon puisse être attiré seulement par les garçons ? Ou qu'un garçon puisse être, au contraire, seulement attiré par les filles ? Tu dois trouver bien étranges alors la grande majorité des quelques 7 milliards d'humains qui peuplent ce monde.
Je pense que c'est quelque chose qu'on ne contrôle pas, tout simplement.
Je suppose aussi que chaque personne, dans sa vie, sera attirée (physiquement, sexuellement ou sentimentalement) par une personne du même sexe et du sexe opposé.

Désolé si je radote ou m'embrouille, je n'ai pas eu le courage de lire tous les posts...
 
Cheshire K.":2pintpgg a dit:
Désolé si je radote ou m'embrouille, je n'ai pas eu le courage de lire tous les posts...

1p6SsJoM_
 
Cheshire K. bonjour
Tu as un bon raisonnement global ! déjà en distinguant sentiment et attirance qui sont deux choses bien distinctes.
Je ne comprends un truc: pourquoi les hommes gays ne peuvent pas avoir de rapport passager avec une femme, tandis que les femmes homosexuelles, si ? Eclairez-moi, là...
La raison en est simple et pas du tout « morale ». Il s’agit de la recherche d’identité. Une femme homosexuelle ayant un rapport passager (donc je précise uniquement pour tomber enceinte) ou par insémination devient la mère biologique et sociale de l’enfant à naitre. Le procréateur par rapport sexuel ou par don de sperme n’est qu’un géniteur pour lequel il n’y aura pas d'existence sociale de paternité. Pour un homme ayant eut un rapport sexuel pour devenir père, il ne le deviendra jamais, il restera un géniteur et jamais un « père » au sens social de ce terme et encore moins dans une relation homosexuelle stérile.
Pour le coté moral, c’est l’affaire des philosophes et des théologiens et autres sociologues.
Faisant partie de cette grande et joyeuse (ou non) communauté, je fais une réelle distinction entre deux choses: l'orientation sentimentale et l'orientation sexuelle. Je pense que les deux n'ont rien à voir, voire ne dépendent pas l'une de l'autre, étant donné que pour moi, le plaisir sexuel est quelque chose différent des sentiments.
D’où la question : comment se situer par rapport à la zoosexualité, le viol, l’inceste qui sont des recherches uniquement du plaisir ?
J'avais également lu une étude comme quoi la zone du cerveau où naît le comportement sexuel est différent entre hétérosexuels et homosexuels. En voilà peut-être une partie de la raison ?
c’est surtout le système hormonal qui est sollicité par la production de phéromones.
Je pense que c'est quelque chose qu'on ne contrôle pas, tout simplement.
En partie seulement, car c’est aussi le principal argument des violeurs : difficultés à se contrôler ce qui est partiellement vrai.
 
Merci de m'avoir éclairé.
Seulement je rejette complètement et en bloc la comparaison entre le viol ou ce genre de choses, avec l'orientation sexuelle. Mais c'est mon avis.
 
Alors je ne suis pas d'accord avec 2 chose Janic :

-il existe tout autant de femmes "génitrices" qui ne sont pas mère pour autant (mère porteuses, abandons d'enfants dès la naissances, placements, poubelles...) que d'hommes inséminateurs.

-le viol a beaucoup moins à voir avec le plaisir (pas sexuel en tout cas), que la domination. Le viol est avant tout et toujours un geste de domination. (y comprit conjugal)
 
Cheshire K.":3oj5fsqm a dit:
Je trouve ça bien beau de dire qu'on "tombe amoureux d'une âme", mais qu'en est-il des personnes qui ne tombent jamais amoureux de quelqu'un de tel ou tel sexe - simplement parce qu'ils ne sont pas attiré par ce sexe ?
Je partage tout à fait cette objection. Les jolis petites phrases du genre "moi je tombe amoureux d'une personne, pas d'un corps", j'y réponds souvent par "tiens c'est marrant, depuis que tu as 16 ans c'est toujours des mecs, comment tu l'expliques ?"
A mon avis, ces histoires de séparation entre corps et esprit/âme, ça embrouille tout, c'est un dogme malsain. Tout est lié !
 
Personnellement, j'ai toujours difficilement dissocié sexe et sentiments (le second entrainant le premier dans mon cas, pas l'inverse).
La personne corporellement compatible la plus belle possible pour moi, si c'est quelqu'un que je n'aime pas (personnalité, attitude, etc), je n'aurais aucun désir pour elle, quand bien même certains traits physiques peuvent avoir toute mon admiration.
En revanche quelqu'un avec qui j'ai des affinités, voire de la tendresse, souvent par des sensibilités ou passions communes, le terreau sera autrement plus fertile.

(mais j'me considère pas comme un exemple)
 
V3nom
Alors je ne suis pas d'accord avec 2 chose Janic :

-il existe tout autant de femmes "génitrices" qui ne sont pas mère pour autant (mère porteuses, abandons d'enfants dès la naissances, placements, poubelles...) que d'hommes inséminateurs.
là il s'agit de comportements, pas de biologie, ce qui donne lieu, bien entendu, à tous les cas de figures possibles.
-le viol a beaucoup moins à voir avec le plaisir (pas sexuel en tout cas), que la domination. Le viol est avant tout et toujours un geste de domination. (y comprit conjugal)
C'est une des composantes de la sexualité que les sociétés ont soutenu ou désapprouvé selon les époques, les cultures, les morales. Dans les communautés animales qui ne sont pas faussées par l'intellectualisme humain, la sexualité (qui va parfois jusqu'au viol) est un comportement de domination qui passe très souvent,sinon toujours, par la mise en concurrence des males parfois juqu'à la mort. L'humain est aussi un animal!
cheshire
Seulement je rejette complètement et en bloc la comparaison entre le viol ou ce genre de choses, avec l'orientation sexuelle. Mais c'est mon avis.
Nos acceptations ou rejets sont d'ordre affectifs ou culturels avec toutes les nuances possibles et instinctivement, par réflexe protecteur, nous faisons un tri qui nous arrange ou nous justifie.
D'où les différences entre les cultures et les générations, comme sur l'excision qui fait l'actualité en ce moment et où les parents risquent 30 ans de prison pour avoir cédé à une coutume interdite dans notre pays. A d'autres endroits les enfants sont mariés d'office encore pubères avec complicité et agrément de la famille, de la société, ailleurs vendus comme esclave,etc...or dans notre civilisation nous condamnons certains comportements, en créditons d'autres alors qu'ailleurs c'est l'inverse qui se produit. Donc quel est le seul bon critère? Pour autant que quelqu'un ai une réponse universelle????!!!!
 
Le viol n'a rien à voir avec la sexualité! C'est franchement nauséabond de devoir lire des choses pareilles encore et encore!
Il est temps d'arrêter les "vérités" éculées. Tu n'as visiblement aucune idée de ce qu'est la réalité du viol, je te conseille fortement de te renseigner.

Ce sont des discours de la sorte qui font que la culture du viol dans laquelle nous baignons existe toujours.

D'autre part, le relativisme culturel sur le mariage des enfants (bien souvent des filles) n'est pas du meilleur gout non plus.
 
Cheshire K.,

Tout d'abord désolée si certains propos t'ont choqué.
Je me sens particulièrement concernée lorsque tu dis être choqué en lisant qu'on trouve étrange de n'être attiré que par un sexe, quel qu'il soit, ce n'est pas du tout un jugement de valeur, juste une constatation de personnes se considérant comme bisexuelles/pansexuelles, comme c'est mon propre cas.

La raison en est toute simple je pense : comme tu le dis toi-même, la sexualité n'est pas quelque chose de figée, alors comment peut-on affirmer qu'on ne peut pas être attiré par l'autre sexe ?
Ça, c'est le premier point.

Le second, c'est tout simplement que, étant attiré(e)s par des hommes ou des femmes indifféremment, et potentiellement aussi par des hermaphrodites (la probabilité d'en rencontrer un est faible, certes, mais en ce qui me concerne je ne l'exclut pas ^^), on en vient à se foutre royalement du sexe de la personne, à ne plus être attiré(e)s par un homme ou une femme, mais tout simplement par un être humain, par une "âme".
Et du coup, ayant un peu mis la notion de sexe/genre au rebut, on a du mal à comprendre les gens qui placent ce critère comme étant en quelque sorte le premier pour être attiré par quelqu'un.

Voilà. J'espère avoir réussi à m'exprimer clairement.


PS.: Concernant le discours de Janic concernant l'homosexualité, sache tout de même qu'il fait partie de ses habitudes de la comparer avec la pédophilie, la zoophilie, le viol et autres pathologies mentales et sexuelles alors que ça n'a rien à voir. Plusieurs personnes ont déjà fait des remarques pour lui dire que ça les/nous dérange (je m'inclus dans ceux que ça dérange), mais apparemment il n'en tient pas compte, et continue à tenir des propos perpétuellement borderline, homophobes et sexistes, sous couvert d'expliquer aux incultes que nous sommes les merveilleux préceptes judéo-chrétiens.

Re PS.: Peut-être que ce PS sera mal perçu, que les choses soient claires : je m'en fous. Je me sens perpétuellement insultée par de tels propos, et je ne suis pas la seule, alors m****, j'ai le droit de le dire.
 
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