Adolescence et homosexualité: Les étranges conseils du Dico des filles

  • Auteur de la discussion IV
  • Date de début
Iffrit bonsoir
en meme temps vu le niveau de la majorité faut voir si on a vraiment besoin de leur amour
Il faut le penser dans l'autre sens, les pensées sont des actes autant que nos paroles; donc ce que l'on pense de l'autre va indirectement l'influencer. Si tu l'aimes (dans le sens avoir des pensées positives à son encontre) l'autre le resentira. Comme les animaux qui sentent tes intentions. Dans le cadre des citations médite celle-ci: "Vous serez mesurés avec la mesure dont vous vous êtes servis" et cet autre: "ne jugez point et vous ne serez point jugés". comme dirait maitre yoda "ne pas aller du coté obscur de la force".
 
je suis tout a fait d'accord avec toi Janic mais je ne disais pas ca dans le sens negatif. en disant cela je pensai aux gens intolerants ou justement venant d'office avec des intentions negatives ... je n'aurai jamais le pretention de penser pouvoir me suffire a moi meme au point de me passer des autres ;)
 
c'est exactement ca :)
 
je pensai aux gens intolerants ou justement venant d'office avec des intentions negatives
Justement ce comportement est le signe d'un mal être intérieur et réclame d'autant plus de pensées positives à leur encontre.
 
Justement ce comportement est le signe d'un mal être intérieur et réclame d'autant plus de pensées positives à leur encontre.
c'est vrai que j'ai tendance a etre mefiante vis a vis des personnes inconnus .. mais bon vieille histoire personnelle non reglée oblige :oops:...
mais je ne serai jamais negative et ne jugerai jamais a la hate une nouvelle personne que je rencontre.
 
teiki
l'inhibition crée des maladies de stress intérieur, de conflit , et le développement de maladies alliées, cancer ,ulcères d'estomac, allergies, dépression etc..
ou comme l'arthrite souvent généré par des émotions fortes comme la peur, la haine, le ressentiment.
 
teiki bonjour
comme l'arthrite souvent généré par des émotions fortes comme la peur, la haine, le ressentiment.
Ce n'était pas une supposition, mais une affirmation!
 
Mouais, l'article est vraiment très court et au final n'apprend rien, donc même si l'idée de montrer que l'on peut autant rechercher les "causes" de l'hétérosexualité que celles de l'homosexualité est bien, je ne le trouve pas très intéressant.
 
IV":nxkg7xhv a dit:
Voici un article sur les causes de l'hétérosexualité :D
http://heterosexualite.blogs.liberation ... .html#more
excellent IV , avant de se poser toujours les mêmes questions sans fins sur l'anormalité (enfin ce qui est reconnu comme tel souvent), définir la normalité est bien plus constructif, la preuve dans cet article et du coup rend caduque le débat sur l'anormalité
@ akkana l'article initial est un torchon, après avoir brodé dessus,(d'une façon assez stérile je trouve, puisque le problème de départ était mal posé) IV nous a sorti une feuille d'or et qui tient la route et remet ls pendules à l'heure.
 
Bonsoir!
Si je peux me permettre, j'aimerais vous donner mon avis sur tout ça.

Attention, étroits d'esprits ou trop cartésiens, ces propos pourraient vous choquer!

Je pense que l'homosexualité n'existe pas. L'hétérosexualité non plus par opposition. Pour moi, on est charmé par une âme. Et peut importe qu'elle soit dans un corps de femme ou d'homme. L'attirance est là, quoiqu'il se passe. Certains préfèrent des âmes peut être plus féminines, d'autres des plus masculines.

Après, faut-il encore croire en l'âme, en l'amour (vous avez vu, c'est la même racine!).
Certains penseront peut être que je fume trop d'herbe... A ceux là, je répond que c'est végétarien, et même végétalien :)

Je viens de voir que la dernière réponse date de plus d'un an. Je ne pas m'empêcher de donner mon avis mais je ne veux pas relancer le débat. (certains ne sont peut être même plus présents...). Juste mettre mon petit cailloux sur l'édifice...
 
J'ai entendu il y a quelques mois (années ? peu importe) un sociologue qui a dit quelque-chose qui m'a beaucoup plut (que je vais essayer de résumer simplement selon ma mémoire défaillante):
Il est très probable que d'ici quelques années disparaisse toute notion de "typologie" sexuelle.
Disparaitront toute différence hétéro/bi/homo, il ne s'agira plus que de plaisir sexuels libres et sans jugement, auxquels pourront tout aussi librement se greffer des sentiments divers et variés, également plus genrés ni étiquetés.
 
Les notions d'hétérosexualité et d'homosexualité sont en grande partie sociale, c'est évident.

Notre société est née d'un paradoxe, un mélange entre une société gréco-romaine, et les nombreux interdits judéo-chrétiens qui en ont découlés, en grande partie pour se démarquer des anciennes religions "païennes" très libres et d'en prendre le contrepied.

Du coup, oui, on a créé cette vision très manichéenne, blanc ou noir, bien ou mal, hétéro ou homo.

C'est en partie ça d'ailleurs qui fait qu'on s'en prend plein la g****e quand on est bi/pansexuel, mis "dans le même panier" que les homos par beaucoup d'hétéros, et en même temps rejetés par le milieu gay où beaucoup considèrent que les bis sont des homos qui ne s'assument pas (alors que dans notre société actuelle c'est peut-être l'orientation sexuelle la plus dure à assumer...)

J'ai toujours pensé qu'en fait on est tous plus ou moins, notre parcours de vie nous orientant dans un sens ou un autre, mais peu de gens acceptent de l'entendre, et je me suis fait plus d'une fois jetée pour avoir dit ça.

Étrangement, les rares personnes qui le prennent se qualifient souvent de bis eux-même...

Donc, d'une certaine manière, ça me rassure de lire qu'une sociologue a ce point de vue-là, car ça veut dire qu'au bout du compte l'orientation sexuelle n'est qu'une création sociale, et que peut-être un jour notre société sera prête à accepter qu'on aime et/ou qu'on est du désir pour une personne, juste une personne, pas un homme ou une femme mais un être humain.
 
jess bonjour
Notre société est née d'un paradoxe, un mélange entre une société gréco-romaine, et les nombreux interdits judéo-chrétiens qui en ont découlés, en grande partie pour se démarquer des anciennes religions "païennes" très libres et d'en prendre le contrepied.
C'est un point de vue largement répandu qui relève du mythe et d'une certaine culture mélangeant religion et spiritualité. Contrairement, donc, à ce point de vue répandu, le judaïsme n'est pas dans l'interdit pour l'interdit sinon l'homosexualité féminine serait interdite, or elle ne l'est pas. Par contre elle interdit l'homosexualité masculine au même titre que la zoosexualité masculine ET féminine à cause de leur stérilité inévitable, laquelle stérilité est considérée comme une "malédiction".
Par contre dans notre société pagano-athéo-chrétienne, elle devient culturelle effectivement puisque la dimension biologique n’est plus prise en considération.
que peut-être un jour notre société sera prête à accepter qu'on aime et/ou qu'on est du désir pour une personne, juste une personne, pas un homme ou une femme mais un être humain.
Ce même désir peut exister entre des parents et leurs enfants, entre adultes et enfants, entre humains et animaux, la culture est-elle sans limite et pourquoi ? Les philosophies et les « religions » ont placé des barrières (justifiées ou pas) pour éviter des débordements que les lois doivent ensuite sanctionner.
Ainsi que le souligne V3nom « Disparaitront toute différence hétéro/bi/homo, il ne s'agira plus que de plaisir sexuels libres et sans jugement, auxquels pourront tout aussi librement se greffer des sentiments divers et variés, également plus genrés ni étiquetés. »
 
En effet, c'est connu, deux hommes ensemble ne peuvent pas faire de gosses, mais deux femmes par contre elles y arrivent...

Et on ne peut pas interdire quelque chose dont on nie l’existence, or la sexualité féminine a été maintenue dans un placard pendant des siècles.
 
jess":68km87xx a dit:
Et on ne peut pas interdire quelque chose dont on nie l’existence, or la sexualité féminine a été maintenue dans un placard pendant des siècles.

C'est vrai, et j'ai l'impression que ce "mythe de l'interdit" (pour certain) c'est déplacé dans la sphère lesbienne maintenant.
 
V3nom":2yzwj013 a dit:
j'ai l'impression que ce "mythe de l'interdit" (pour certain) c'est déplacé dans la sphère lesbienne maintenant.

C'est-à-dire ? d'où te vient cette impression ? quels interdits ?
 
Et bien comme tu le dis, durant très longtemps la sexualité féminine était tout simplement une hérésie inutile et absurde.
La société (au moins la notre, occidentale) en revient (petit à petit, c'est pas encore gagné), mais on a vu je trouve un "glissement" d'indignation vers la sexualité entre femmes, à la fois taboue, mystérieuse et fascinante (jusqu'au fantasme stéréotypé).

(j'exprime pas aussi bien que je voudrais comment je vois le truc, mais c'est l'idée)
 
Retour
Haut