Aider une amie (prise de conscience)

ElMosquito":1nqt8cnw a dit:
J'étais venu chercher des gens qui je le croyais aimaient la nature tout simplement.

Mais je comprends maintenant, que la nature vous importe peu en réalité.

Je n'ai plus rien à faire ici par conséquent, et m'en vais virevolter vers d'autres cieux.
Fais ça.

Les milliards de poissons, le milliard d'oiseaux, les 15 millions de cochons, les 50 millions de lapins, les 6 millions d'ovins, les 6 millions de bovins inséminés, mutilés, enfermés, gavés, étouffés, égorgés, tués chaque année en France pour le plaisir et manifestement contre leur volonté te demandent gentiment de fermer ta bouche jusqu'à jamais.

Et emporte ce lien avec toi, ça pourra peut-être t'instruire : http://lesquestionscomposent.fr/vegephobie/
 
C'est marrant mais avec ElMosquito, j'ai eu l'impression qu'on était en train d'avoir une conversation entre personnes qui partagent au moins un point de vue commun, dans un endroit sympa, plutôt bon enfant malgré des divergences et que paf, le moutique a vu de la lumière et est rentré en gueulant que non quoi merde ! Vous n'avez pas le droit d'avoir des discussions comme ça. (Un jour, il faudra vraiment que j'apprenne à mettre ma pensée en forme, ça falicitera l'existence de tout le monde à commencer par la mienne et celle de mon psy.)
 
Merci pour vos conseils avisés, en effet je ne souhaite pas "convaincre" en balançant une pseudo haine des omnivores ou en l'étouffant d'images et faits h24. Juste espérer faire germer une réflexion en elle. D'un côté je me préoccupe pour sa conscience à elle seule, et d'un autre je souhaite diffuser un peu la cause, oui, mais pas à coups d'incriminations morales, plutôt à partir de faits concrets (et donc réels, pas issus d'une pseudo doctrine).
Je tâcherai d'y aller en douceur sans être intrusive, nous sommes d'accord, c'est rarement productif comme attitude et a plutôt tendance à braquer les personnes... Et pour la dérive qu'a pris cette conversation, j'en suis navrée mais je ne répondrai pas à de tels jugements qui, pour la plupart, sortent complètement du sujet. On interprète les mots comme on le souhaite après...

Fushichô":a99720hr a dit:
+1, Ravelle.
Moi, c'est mm avec l'amalgame végé/ami des animaux que j'ai un pb.
Je me "fous" des animaux.
Y pas besoin de kiffer les Noir.e.s (whatever that could mean) pour lutter contre le racisme, ni de trouver les femmes trop choupinoutes pour lutter contre le sexisme. Bah pareil, y a pas besoin d'être un amoureux inconditionnels des animaux sous toutes leurs formes pour être contre l'exploitation et le meurtre d'être sentients. C'est une question de justice sociale plus qu'autre chose, pour moi.

(et puis, la Nnature, c'est bien, mais en vacances. A vivre à l'année, je me taillerais les veines vite fait tellement je me ferais chier. Je suis un urbain, moi ! ou bobo vegan écolo privilégié, comme vous voulez).

Oh merci, enfin quelqu'un qui l'exprime. Tous les végéta*iens/véganes ne sont pas des amoureux des animaux ou de la nature, du moins ce n'est pas mon ressenti. Juste, foutre la paix aux autres (humains et non humains), essayer de faire le moins de mal possible, de ne pas détériorer volontairement son environnement..
 
Pour en revenir à ton sujet LordGuinness je soutiens tout d'abord ce qui a été dis avant moi : il est vrai que tenter de la convaicre n'est pas la meilleure façon de l'aider. Devenir Vegan c'est avant tout adopter une nouveau mode de vie car cela touche en premier lieu à l'alimentation. Et l'alimentation, c'est l'une des premières sources de l'éducation. Autrement dit, changer son alimentation c'est revenir sur son éducation, et ça ne se fais pas du jour au lendemain. Pour elle, le végétarisme ne la conçerne pas encore, parce qu'elle l'a décidé ainsi car ne conçevant pas encore l'idée qu'elle puisse s'alimenter autrement. C'est peut être aussi un manque de courage, car ce n'est pas facile de faire la démarche de devenir Vegan (nous le savons tous je pense, ce n'est pas forcément bien vu, c'est pas la solution de facilité etc...). Et puis réaliser que ce qui nous a nourrit pendant des années relève d'une forme de barbarie pure : ça fait mal.
En fait elle n'est juste pas prête à l'entendre.

Fais lui peut être part de ce qui te choque, montre lui que c'est possible de ne pas manger de viande et que c'est bien meileur non seulement pour elle mais aussi pour tout ce qui l'entoure. Sans lui dire "si tu devenais végétarienne..." tu peux lui dire "depuis que je suis végétarienne, je me suis rendu comtpe que...". Elle ne se sentira pas agressée car pas directement visée.

J'ai également une très bonne amie avec qui j'entretiens une relation similaire. Je n'ai jamais voulu faire quoi que ce soit pour "l'aider" à changer d'alimentation. Je lui confiais simplement mes ressentis etc...et il n'y a pas longtemps elle m'a annoncé qu'elle souhaitais devenir végétarienne. Suggérer, partager, plutôt que persuader, voilà ta solution :)
 
:confus: Bon, j'ai lu en diagonale mais ça a un peu dérapé... Pour revenir au sujet, je ne sais pas si peut faire prendre conscience de tout à tout le monde. Il y aura toujours des personnes qui penseront de manière radicalement différente de toi malgré tous les efforts qu'on pourra déployer. Le progrès ( quel qu'il soit et donc Vegan ou pas ) appartient aux gens de progrès. Un monde idéal ça n'existe pas. Un Améridien qui mange des mygales parce qu'il n'a rien trouvé à chasser n'est pas un monstre, il est animiste et profondément ancré dans son milieu naturel. Il attrape une mygale comme moi un escargot, sans acune peur. Il va la manger parce qu'il a faim et remerciera le ciel de l'avoir trouvée. Il n'est pas Vegan pour autant que je sache, en revanche sa connaissance de la forêt, des plantes, des animaux ou des poisons est 100 fois supérieure à celle d'un Européen. Par contre, ce qui est moche c'est de vouloir enfoncer l'autre sous prétexte qu'il ne pense pas comme vous. ça c'est mesquin et stérile. Mon ex fait tout pour démolir mes idées, mon fils apprend à classer les jeux humains et les jeux inhumains ( on revient à Barbie machin dresseuse de dauphins ou Ken de fauves, et plein de jeux qui portent atteinte à la cause animale ou environnementale ) et lui il s'ingénie à casser. Le milieu scolaire n'est pas nécessairement mauvais sur ce plan, c'est dans la sphère familiale que c'est souvent dangereux et il faut être vigilant car une prise de conscience c'est bien qu'elle se fasse tôt.
 
Fraisouille":m10d1413 a dit:
Un Améridien qui mange des mygales parce qu'il n'a rien trouvé à chasser n'est pas un monstre, il est animiste et profondément ancré dans son milieu naturel. Il attrape une mygale comme moi un escargot, sans acune peur. Il va la manger parce qu'il a faim et remerciera le ciel de l'avoir trouvée.
Question de survie, ce n'est pas le contexte ici. ;)
 
Oui et alors ? ;) Il pourrait manger des végétaux aussi... Toi de ton côté si tu croises une mygale arboricole et que tu la tues, question de survie. Bon jaurais du citer les araignées de Sydney ( athrax ), celles là sont mortelles donc tu en tues une question de survie aussi ?
 
Bien sûr que pour une question de survie, si je suis attaquée et que j'ai pas le choix, je tue, araignée ou humain d'ailleurs. Je comprends pas bien ta question en fait.
 
je crois que c'est l'histoire du cochon sur une île déserte, en fait ^^
 
Euh perso entre manger une mygale et crever de faim... je crois que je choisirai de crever de faim. Et je dis pas ça par véganisme...
 
De toute façon quand t'es sur le point de crever de faim c'est pas de bouffer une pauvre mygale qui va changer grand-chose je pense ^^
 
Erabee":2uno4okx a dit:
je crois que c'est l'histoire du cochon sur une île déserte, en fait ^^

Mais je me suis toujours dit que sur l'île déserte, le problème, ça serait l'eau potable.
 
Bon alors on disait que t'avais pleiiiin d'eau potable, mais que t'as mangé les dernières noix de coco et qu'il reste un cochon...
 
Et je le mange comment le cochon ? Avec mes canines et mes griffes de carnivores ? C'est pas gagné !
 
Mais enfin c'est de la survie, c'est l'INSTINCT de lhôme des cavernes, le chasseur ancestral, pfff t'as rien compris décidément...
 
D'où il vient le cochon, sur cette île déserte ? Et il mange quoi, lui, pour avoir survécu jusque là ? Il y a des chances pour que je vive beaucoup plus longtemps si je regarde comment il trouve à manger plutôt que si je me lance dans un combat à mort avec lui...
 
erulelya":3vgkmw3g a dit:
Mais enfin c'est de la survie, c'est l'INSTINCT de lhôme des cavernes, le chasseur ancestral, pfff t'as rien compris décidément...

Désolé, je suis tout carencé alors je peux pas bien réfléchir.
 
vertnature":2898ixat a dit:
Pour en revenir à ton sujet LordGuinness je soutiens tout d'abord ce qui a été dis avant moi : il est vrai que tenter de la convaicre n'est pas la meilleure façon de l'aider. Devenir Vegan c'est avant tout adopter une nouveau mode de vie car cela touche en premier lieu à l'alimentation. Et l'alimentation, c'est l'une des premières sources de l'éducation. Autrement dit, changer son alimentation c'est revenir sur son éducation, et ça ne se fais pas du jour au lendemain. Pour elle, le végétarisme ne la conçerne pas encore, parce qu'elle l'a décidé ainsi car ne conçevant pas encore l'idée qu'elle puisse s'alimenter autrement. C'est peut être aussi un manque de courage, car ce n'est pas facile de faire la démarche de devenir Vegan (nous le savons tous je pense, ce n'est pas forcément bien vu, c'est pas la solution de facilité etc...). Et puis réaliser que ce qui nous a nourrit pendant des années relève d'une forme de barbarie pure : ça fait mal.
En fait elle n'est juste pas prête à l'entendre.

Fais lui peut être part de ce qui te choque, montre lui que c'est possible de ne pas manger de viande et que c'est bien meileur non seulement pour elle mais aussi pour tout ce qui l'entoure. Sans lui dire "si tu devenais végétarienne..." tu peux lui dire "depuis que je suis végétarienne, je me suis rendu comtpe que...". Elle ne se sentira pas agressée car pas directement visée.

J'ai également une très bonne amie avec qui j'entretiens une relation similaire. Je n'ai jamais voulu faire quoi que ce soit pour "l'aider" à changer d'alimentation. Je lui confiais simplement mes ressentis etc...et il n'y a pas longtemps elle m'a annoncé qu'elle souhaitais devenir végétarienne. Suggérer, partager, plutôt que persuader, voilà ta solution :)

En effet, il s'agit d'une énorme déconstruction/reconfiguration de nos habitudes socio-culturelles, en changeant profondément d'alimentation, et donc remise en question de nos principes transmis par l'éducation. Elle me confiait déjà combien il était mal perçu dans sa famille qu'elle cesse de consommer du porc, j'imagine que se passer de produits animaux lui paraît impossible - du moins pour elle. Car elle conçoit très bien que les autres vivent bien sans, mais pas elle dans ses conceptions de l'animal.

Nous avons longuement échangé hier (j'ai eu du mal à garder une bonne pédagogie car il m'est devenu difficile de tolérer les justifications pour cautionner ce système.. mais la conversation a été intéressante). Il lui était peu envisageable de penser l'animal comme un être vraiment conscient (pour elle il s'agit d'un être certes sensible mais inférieur, dénué de volonté ou intelligence). Comparaison avec les végétaux aussi (pourquoi ne pas consommer les animaix mais les végétaux, si? le vivant mange du vivant, les animaux mangent des animaux, etc) Nous discutions de la légitimité de notre droit sur leur vie, elle semble d'accord pour dire que l'on ne devrait pas intervenir sur la vie animale.. pour autant la finalité de la mort des bêtes d'élevage ne la dérange pas du tout (j'essayais de comprendre la logique de son raisonnement). Du welfarisme pour un animal bien traité, "respecté", "aimé", mais qui finit quand même en pièces pour le plaisir humain... C'est surtout qu'elle est dans l'incapacité de se mettre à la place de l'autre, l'animal, lorsque j'ai écouté son argument le plus fort : mélange de cycle naturel (ordre divin?) et question de la beauté de l'animal, de l'honneur à consommer "une belle vache bien grasse".. Recevoir le corps, l'énergie de l'être et l'en remercier.. se limiter à son seul ressenti vis-à-vis de cet animal mort..
Pour autant, sa représentation de la consommation du vivant est loin d'être stupide, du tout. Mais peut-être idéaliste, non applicable dans nos réalités terrestres, car le respect passe difficilement pas la mise à mort, et cette même mise à mort induit nécessairement une souffrance.

/ Quelques notions qu'elle soulevait, après un partage de liens mettant en parallèle végétarisme et communautés religieuses :

"Les courants de pensée c'est humain, on pense, on établit que telle chose est bien et telle chose est mal. Le végétarisme est un courant de pensée, le nazisme est un courant de pensée (...) qui se traduit généralement par des actes. La religion c'est bien loin d'être ne serait-ce qu'une pensée, c'est très loin d'être un regroupement d'idéologie."
"Je pense qu'il est abusif de manger trop de viande, de surconsommer, de manger n'importe quoi n'importe quand. C'est ne pas se respecter soi même, son corps et son environnement, le lieu dans lequel tu vis et qui t'es indissociable. Mais en ce qui concerne la restriction pure et simple de toute nutrition animale, non. La vie est partout."
"Qui a le droit de vivre, qui a le droit de mourir ? Pourquoi les animaux plus que les plantes ? Ton argument ne tient pas pour moi, une pomme est aussi vivante qu'un chat ou qu'un être humain ! La puissance de vie est égale."
"Tu crois que si l'animal pourrait parler il dirait : j'ai peur, je ne veux pas y aller, j'ai envie de..? Moi je crois pas. L'animal à une perception sensible des choses, il ressent la douleur, le stress, la peur car il est dans un environnement de peur. S'il pouvait penser il parlerait. Si l'animal était doué de pensée il ferait l'amour. Les femelles ne se feraient pas violer par les instincts naturels des mâles. Les animaux ne font pas l'amour, ni par sentiment, ni par envie. Ils se reproduisent par instinct."
"S'il y avait quelque chose à changer ce serait au niveau des sociétés industrielles mais j'ignore comment, et je ne suis pas favorable au boycot car ça limite aussi ma liberté et je pense à ma santé même si scientifiquement c'est discutable apparemment. Néanmoins je mange de la viande comme le chat, le lion ou je ne sais quel autre animal."
"Les tourments / tortures doivent cesser sur l'animal car c'est un être doté de sens, c'est seulement pour cette raison que cela doit cesser. Pas parce que l'animal "veut" vivre, qu'il est plus faible patati patata."
"Les hommes ne peuvent définir si tel être mérite de vivre ou non, ce n'est pas de notre ressort."
"Comment quelque chose pourrait appartenir à un être qui n'est pas doué de pensé ? Les hommes n'ont pas à s'octroyer les vies des autres, c'est clair, mais je ne suis pas sûre que la vie appartient aux êtres vivants. Si elle nous appartenait on pourrait la contrôler, la préserver ou la détruire, la conduire là où on le souhaite."
"Leur sensibilité leur appartient et nous devons donc pas y avoir une quelconque influence. Autrement dit nous devons pas provoquer leur sensibilité. La torture, qui agit sur leur sensibilité, n'est pas tolérable, respectable pour l'être vivant."
"J'achète ma viande à la ferme, je connais les vaches que je consomme mais je n'approuve pas leurs conditions d’abattage - Donc tu connais personnellement ces êtres, tu les vois vivants, debouts, et tu n'as pas de problème à les imaginer quelques heures après dans ton estomac ? C'est là le soucis. - C'est pour ça ce quil faut changer c'est le mode de penser, de considérer les choses. Il faut que les gens réapprennent à respecter, à considérer la vie. Non je ne vois pas en quoi c'est un soucis."
"Je considère l'animal comme un être vivant sensible qui faut respecter dans sa qualité d'être vivant. Son vivant se constitue seulement dans sa sensibilité, car il n'est que sensibilité. Il faut donc respecter sa sensibilité, son corps, son système nerveux. Les tortures dans les exploitations doivent donc être abolies."
"Les animaux mangent les autres animaux. Le vivant mange le vivant. C'est donc à priori un profond fondement du vivant, nous ne pouvons nous nourrir d'autre chose que du vivant, qu'il soit pomme ou vache."
"il y a les plantes, j'ignore encore comment exprimer avec des mots leurs nature vivante, leur être
il y a les animaux, être sensible uniquement
et il y a les humains, être sensible et pensant, doté de raison
Sauf exception aucun être vivant n'aime le cadavre, la charogne, on l'a dit plus haut le vivant ne peut consommer que du vivant. Le vivant aime consommer ce qui est beau."
"Comment la vache passe du stade être sensible à être inanimé consommé dans le respect de son être ?"
"pour respecter mon corps vivant qui a pour fondement de se nourrir de vivant je lui donne quelque chose de sain, c'est donc moi moi un honneur de manger une belle vache, je respecte mon corps, et je respecte cet animal on le considérant comme sain tout comme la vache a consommé l'herbe qu'elle a considérée saine pour elle"
"c'est un être uniquement sensible elle n'a pas conscience de la mort, ni de la vie d'ailleurs"
"la vache elle a dû cesser de vivre pour que mon corps vivant eut pu la consomme, mais si être de cette vache a été respectée, sa sensibilité, et bien son vivant a été respecté" /

Qu'en pensez-vous ?
Je ne pense pas qu'elle soit fermée à la discussion, du tout, nous pouvons finalement en converser sans problème (alors que la plupart de mes potes omni s'en fichent complètement), mais sa pensée présente quelques lacunes dans sa logique, du moins l'application de ses idées altruistes.
Je reste sur l'idée que nos sociétés nous apprennent à penser l'animal comme un produit, ou si c'est un être vivant et sentient, comme un corps dont l'homme a droit de disposer. Et c'est ça qui me dérange car les gens restent bloqués dans un carcan.

Nous n'avons bien sûr pas conclu à une solution unique, car nos avis divergent, mais elle a bien fait de me rappeler ceci : "Tu te rendras compte que tu n'auras pas besoin de provoquer pour faire réagir les gens. Ouvrir la discussion, réfléchir ensemble est bien plus productif et sain car les gens préservent pleinement leur liberté (pour moi c'est aussi une manière de respecter la vie humaine) et personne n'est dans la conviction"
J'ai trop pris à cœur cette lutte et il m'est impossible de réaliser chez l'autre ce renversement d'idées. Vous aviez raison, et elle aussi, il vaut mieux en discuter sereinement, suggérer. Informer sans convaincre.
 
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