Boulimie et autres troubles du comportement alimentaire

Cela me fait du bien aussi de lire ce post. Car moi aussi j'ai des problèmes de nourriture. J'ai une addiction pour tout ce qui est "mauvais" pour la santé : chips, cacahuète, bonbons, etc..... je dis mauvais, car forcément, ce n'est pas en quantité raisonnable que je les ingurgite.

Je n'ai jamais mangé correctement à table, je pense que j'ai eu des phobies alimentaires car en fait, je ne pouvais pas manger un aliment si ce n'était pas quelqu'un que je connaissais quil l'avait préparé, et si je n'étais pas sûre de ce qu'il ya dedans... Phobies qui persistent encore parfois...

Bref, vers mes 15 ans j'ai fait une grave dépression, je faisais des crises d'angoisses à vomir toutes les nuits, et je me suis fait une belle gastrite à force de me bouffer la vie...

Psy qui a été gentil de m'écouter mais ne m'a pas vraiment aidée au final...

J'ai bossé au Luxembourg et ai pris beaucoup de poids, que j'ai perdu, 15kg en tout, avec de grosses restrictions et j'ai tout repris parce que la restriction m'a fait péter un boulon, 15kg + 5kg bonus...

Je hais mon corps, je hais avoir l'impression d'être un amas de graisse car j'ai repris du poids encore, et que je ne sais pas contrôler mes envies... Je mange toute la journée, que je sois triste, fatiguée, énervée, ou autre, oui manger c'est se remplir et ça donne la sensation que la vie est plus douce, et je n'arrête pas tant que j'ai pas mal au ventre... Après je me dis "comment tu veux être mince si tu t'empiffres", et je me fais des plans dans ma tete, demain je vais faire du sport, demain j'arrête de ma gaver, mais voilà, demain, on prend tout et on recommence...

Ce que j'avais oublié, c'est que j'ai lu mille fois que les crises de tca sont souvent avec juste des rémissions, et que donc il faut guetter l'"ennemi", je me suis leurrée en me disant l'année dernière que je pouvais arrêter ma psychothérapie de moi même car je me sentais "guérie", mais plus j'y pense et plus je me dis que je vais retourner... Je me sens moins seule en vous lisant, et je viens de déposer une grosse valise ce soir...

J'ai pris rdv avec une diététicienne aussi, qui s'occupe de végétariens aussi, pour savoir un peu ce que je "dois" manger pour être en bonne santé, je lui exposerai mes soucis, mais en passant vgr, j'ai perdu le peu d'équilibre alimentaire que j'avais, car j'ai besoin d'une ligne un peu conductrice, de savoir ce que je dois donner à mon corps pour pas crever de faim une heure après manger...

Voili voilà ma petite histoire...
 
Ssica":2cqjdv7q a dit:
J'ai une addiction pour tout ce qui est "mauvais" pour la santé : chips, cacahuète, bonbons, etc..... je dis mauvais, car forcément, ce n'est pas en quantité raisonnable que je les ingurgite.

...je ne sais pas contrôler mes envies...
Je crois qu'il y a une certaine limite au contrôle que l'on peut avoir...
Beaucoup de personnes ont tendance à fonctionner en "tout ou rien" : elles évitent de manger certains aliments (qu'elles considèrent comme mauvais, à éviter) jusqu'au moment où elles finissent par craquer... et là impossible de contrôler la quantité mangée !
C'est un phénomène normal. On dit que le mieux est l'ennemi du bien : vouloir être trop raisonnable, éviter totalement certains aliments, fait que plus on se prive longtemps, plus on craque en grande quantité...
"De tout, un peu" me semble un bon objectif :)
Je dis souvent à mes patients que si on pense qu'il y a des "bons" et des "mauvais" aliments, on a toujours envie des mauvais ! (alors que tout est une question de quantité, comme tu l'écrivais)
 
Oui c'est tout à fait vrai... seulement, moi je ne sais pas me controler, et quand je mets le nez dans un paquet de chips, bonbons ou autre, je ne sais m'arreter tant que le paquet n'est pas vide...

J'ai plein d'efforts à faire pour apprendre à manger bien, je mange en plus toujours au lance pierre, je me pose jamais, je profite jamais, pour moi manger c'est me goinfrer, me remplir, grignoter pendant que je fais à manger, mais voilà, ca n'a jamais été un plaisir réel, je n'aime pas cuisiner en plus et quand je tente de bien cuisiner c'est souvent un échec, autant de raisons qui me font des fois me dire que je m'ennuie pour "rien" et que c'est une raison de plus de s'ouvrir un bon paquet de frites congelées le soir...
 
Ssica":1bpmc91n a dit:
Oui c'est tout à fait vrai... seulement, moi je ne sais pas me controler, et quand je mets le nez dans un paquet de chips, bonbons ou autre, je ne sais m'arreter tant que le paquet n'est pas vide...
Chips et bonbons ne sont pas des aliments faciles à s'arrêter, car le sel et le sucre donnent toujours envie de continuer à manger...

As-tu déjà essayé de te servir une poignée de chips ou de bonbons dans un bol, et de ranger le reste du paquet dans un placard (hors de ta vue) ?
Je ne dis pas que ça marchera du premier coup (les premières fois, il est très probable que tu retournes chercher le reste du paquet une fois ton bol fini...) mais si tu persistes, un jour viendra sans doute où tu te poseras vraiment la question "est-ce que j'y retourne ou pas ?", et si tu choisis de ne pas y retourner, tu te prouveras que c'est possible, que tu peux y arriver et tu seras fière de toi ce jour-là. As-tu envie d'essayer ?
 
Ces derniers messages me font beaucoup pensé au dernier article sur le blog "pensées d'une ronde", je ne sais pas si vous connaissez...
Après avoir essayé tous les régimes possibles et inimagimables, elle va maintenant voir le "fameux" docteur Zermati qui a un discours qui va à l'encontre de ce qu'on a l'habitude d'entendre : il n'y a pas de mauvais ou de bons aliments, et la restriction cognitive, c'est le mal... (je schématise, hein...).
Voici le lien du post (j'aodre ce blog, je trouve que Caro écrit vraiment très très bien) : http://www.penseesderonde.fr/2010/01/no ... ddict.html
 
Bulle":13t31uuu a dit:
Ces derniers messages me font beaucoup pensé au dernier article sur le blog "pensées d'une ronde", je ne sais pas si vous connaissez...
Après avoir essayé tous les régimes possibles et inimagimables, elle va maintenant voir le "fameux" docteur Zermati qui a un discours qui va à l'encontre de ce qu'on a l'habitude d'entendre : il n'y a pas de mauvais ou de bons aliments, et la restriction cognitive, c'est le mal... (je schématise, hein...).
Zut alors je suis démasquée ! :D
Et oui je travaille de la même façon que Zermati... j'avais lu son livre "Maigrir sans régime" avant de faire mes études de diététicienne, et c'est la meilleure approche que je connaisse actuellement.
 
snoopyne":xo7mk200 a dit:
Et oui je travaille de la même façon que Zermati... j'avais lu son livre "Maigrir sans régime" avant de faire mes études de diététicienne, et c'est la meilleure approche que je connaisse actuellement.
Je trouve aussi que c'est une très bonne approche, notamment pour les tca, même si ça doit être un travail de longue haleine...
 
Plus que Zermati, je suis fan de son ami Apfeldorfer. Ce dernier me semble d'ailleurs plus approprié pour les TCA.
 
snoopyne":r5te9i8f a dit:
Ssica":r5te9i8f a dit:
Oui c'est tout à fait vrai... seulement, moi je ne sais pas me controler, et quand je mets le nez dans un paquet de chips, bonbons ou autre, je ne sais m'arreter tant que le paquet n'est pas vide...
Chips et bonbons ne sont pas des aliments faciles à s'arrêter, car le sel et le sucre donnent toujours envie de continuer à manger...

As-tu déjà essayé de te servir une poignée de chips ou de bonbons dans un bol, et de ranger le reste du paquet dans un placard (hors de ta vue) ?
Je ne dis pas que ça marchera du premier coup (les premières fois, il est très probable que tu retournes chercher le reste du paquet une fois ton bol fini...) mais si tu persistes, un jour viendra sans doute où tu te poseras vraiment la question "est-ce que j'y retourne ou pas ?", et si tu choisis de ne pas y retourner, tu te prouveras que c'est possible, que tu peux y arriver et tu seras fière de toi ce jour-là. As-tu envie d'essayer ?
Oui, je vais me le noter quelque part et je vais tenter le coup !!!! je trouve cela intéressant comme idée... :D
 
Nanako":2asjptey a dit:
Plus que Zermati, je suis fan de son ami Apfeldorfer. Ce dernier me semble d'ailleurs plus approprié pour les TCA.
Les 2 mon capitaine ! :D

Il y a 2 volets aux problèmes alimentaires :
- d'un côté, le besoin de manger dans beaucoup de situations (ennui, stress, fatigue, contrariété, angoisse, tristesse...)
- et de l'autre côté, les privations qui accentuent les quantités mangées dans ces circonstances.
Travailler sur les privations, la restriction, ne résout pas tout, mais cela permet déjà une amélioration des symptômes qui fait du bien, et permet d'être plus serein(e) pour la suite du travail ;)

Il m'arrive souvent de voir des patients qui ont a la fois suivi diététicienne et suivi psy (aussi bon qu'on soit, on ne peut pas être spécialiste en tout !)
 
"Bonsoir a tous, c est impressionant le nombre de personnes ayant eu des problèmes avec l alimentation...
En effet, les troubles du comportement alimentaires semblent drolement fréquents..."
Teu teu teu... vous allez donner raison au détracteurs du végétarisme, qui comme chacun le sait est une déviance alimentaire :)
 
Mais non, chacun sait que les veges sont anorexiques. Le vege hyperphage est bizarre. :lol:

Blague à part, je pense que les TCA sont fréquents, bien plus qu'on ne le dit.
 
si on parle d'addiction en général, je pense que dans nos sociétés hyper consumméristes, on est à 98%... et pour les problèmes de bouffe à plus de 50 oui.
 
kerloen":86al7ujy a dit:
"Bonsoir a tous, c est impressionant le nombre de personnes ayant eu des problèmes avec l alimentation...
En effet, les troubles du comportement alimentaires semblent drolement fréquents..."
Teu teu teu... vous allez donner raison au détracteurs du végétarisme, qui comme chacun le sait est une déviance alimentaire :)
ben oui kerloen, blague à part, c'est pour ça que j'ai eu du mal à ouvrir ce post

dans mon cas, c'est assez évident que mon passage au végétarisme fait parti de mon chemin à travers les troubles alimentaires
(je ne dirais pas que c'est un TCA en soi, mais enfin, il y a quand même de ça : c'est au moins une façon que j'ai trouvée de dealer avec ma culpabilité permanente avec la nourriture:
ça a commencé par "manger seulement bio" ("au moins je ne contribue pas à mettre tout ces pesticides qui empoisonnent la planète")
par boycotter la grande distribution et les multinationales de l'agroalimentaire
puis est venu le végétarisme (végétalisme direct, parce que sinon c'est pas assez cohérent pour moi)
... mais la culpabilité est toujours là
je suis loin de manger 100% local, bio, agriculture vegane
et de toute façon, quoi que je fasse, ma présence sur la terre aura un impact sur le monde)
quand j'arriverai à ne plus me considérer comme une pollution ambulante et que je me donnerai vraiment le droit de vivre, j'aurai fait un grand pas. )

le fait est que parmi les quelques végétariennes que je connais (peu nombreuses), une bonne part son boulimiques (mais évidemment ça n'a aucune valeur statistique: comme je participe à des réunions de groupes d'entraide pour les personnes souffrant de TCA, je connais beaucoup de personnes boulimiques, anorexiques, hyperphages,..., et il se trouve qu'il y a quelques végétariennes dans le lot)
 
Quand je suis partie de mon ancien boulot, clinique psychiatrique ( y a 3 ans), les troubles des conduites alimentaires dans la file active ( c est a dire les personnes qu on voit en preadmission, pour voir si la clinique est une bonne indication) étaient en train de devenir majoritaires
Les psys se demandaient comment faire car impossible d' avoir plus de 4 ou 5 tca dans un service de 20 lits ( sinon ce n était pas thérapeutique, les anorexiques étaient en competitions pour être la plus maigre, les boulimiques c étaient très complique a gerer en intrahospitalier)
en 6 ans , j ai vu ces pathologies exploser ( je pense aussi qu on en parle beaucoup plus qu avant, et que comme on en parle ( surtout a la tv), l accès au soins augmente
autant une vrai anorexie restrictive se voit ( quand t as un bmi a 13 ou 14, ça se repère a la longue) , autant des boulimiques vomisseuses ne sont pas grosses ni maigres et personne ne se rend compte de rien ( parfois aussi ça arrange l entourage de ne pas voir les crises) et ces personnes restent a souffrir ( car je pense qu il n y a pas de tca sans une souffrance psychique énorme) et a se detruire a petit feu ( physiquement + moralement + le cerveau fixe un shema de gestion de mal être et c est plus dur de changer)
 
mono":1e4zasez a dit:
kerloen":1e4zasez a dit:
"Bonsoir a tous, c est impressionant le nombre de personnes ayant eu des problèmes avec l alimentation...
En effet, les troubles du comportement alimentaires semblent drolement fréquents..."
Teu teu teu... vous allez donner raison au détracteurs du végétarisme, qui comme chacun le sait est une déviance alimentaire :)
ben oui kerloen, blague à part, c'est pour ça que j'ai eu du mal à ouvrir ce post

dans mon cas, c'est assez évident que mon passage au végétarisme fait parti de mon chemin à travers les troubles alimentaires
(je ne dirais pas que c'est un TCA en soi, mais enfin, il y a quand même de ça : c'est au moins une façon que j'ai trouvée de dealer avec ma culpabilité permanente avec la nourriture:
ça a commencé par "manger seulement bio" ("au moins je ne contribue pas à mettre tout ces pesticides qui empoisonnent la planète")
par boycotter la grande distribution et les multinationales de l'agroalimentaire
puis est venu le végétarisme (végétalisme direct, parce que sinon c'est pas assez cohérent pour moi)
... mais la culpabilité est toujours là
[...]
La tu es en pleine "psychologisation", le lien entre ce que tu manges et tes troubles n'est évident que pour toi. Ce n'est pas une critique que je te fais mais on voit dans tes paroles que ton mal n'est pas là ou tu crois (je ne parle pas de tes crises "physiques" mais de comment tu te vois). Tu es végétalienne et c'est une très bonne chose, c'est ton esprit qui a peur de la souffrance induite par la boulimie qui fait le lien entre ton végétalisme et tes crises et qui culpabilise encore plus ton rapport à la bouffe.
Laissons la psychologie aux psychologues, appliquée à nous mêmes par nos esprits en souffrance elle ne peut que nous enfoncer encore plus.
Ce qui peut nous faire du bien par contre c'est entamer le processus de paix avec nous même en cessant de condamner, justifier et interpréter nos pensées, et laisser être ce qui est (et qui n'est peut-être bien pas ce que l'on croit :) ).

Bon courage en tout cas
 
mono,pourquoi ne pas avoir continué sans gluten?
pendant un an tu as reussi à ne consommer aucun produit contenant du gluten?

je viens à l'instant de m'incrire sur ce forum,tout particulierement pour répondre à ton message,sur lequel je suis tombé en tapant " gluten hyperphagie" sur google..

ma venue est peut etre mal venue, je ne suis pas vegetarienne..je mange du poisson,je ne consomme plus de produits laitiers,et je suis tout à fait pour le vegetalisme,et d'avantage depuis que j'ai lu "le rapport campbell" super bouquin sur les declencheurs(selon les deux auteurs,qui se basent sur 35 années de recherche) des cancers, maladies auto immunes...:les proteines animales..

..mais je suis hyperphage depuis tres longtemps.
j'ai 27 ans, ca a du commencé vers mes 14 ans.et ca se passait en rentrant de l'ecole..je mangais jusqu'à avoir le ventre plein à craquer,jusqu'à avoir vraiment mal.et sans garder en memoire le lendemain ou le sur lendemain à quel point cela me faisait souffrir à chaque fois, du coup je recommencais,et c'est encore d'actualité.
ca s'est arrété pendant quelques periodes (l'exemple le plus flagrant:quand je tombais amoureuse)
j'ai consulté un psy assez tard, il y a trois ans, pendant un peu plus d'un an.
une psychologue tres empathique mais qui ne m'a pas aidé a avancer, bien que j'ai pu fouiller un maximum dans mon passé,ma naissance,la relation avec ma mere..
plusieurs generalistes m'ont fait comprendre qu'ils n'avaient aucune autre piste que les problemes psy.. " ho vous savez les troubles alimentaires c'est toujours lié à un probleme psy"

or,suite à un autre probleme de santé,j'ai de moi meme arreté pendant deux semaines strictes le sucre sous toutes ses formes (je ne consommais donc aucun feculent ou legumineuse)et une semaine pendant laquelle j'ai reprise les pommes,poires.. puis un verre d'alcool..

jamais je me suis sentie aussi bien de toute ma vie,la premiere semaine etait tres dure,mais la deuxieme et la troisieme etait formidable : je n'ai plus ressentie le besoin de me jeter sur la bouffe,mais chose inattendue,j'ai remarquée que j'avais un moral excellent ( alors que j'avais des tendances depressives,j'ai deja pris des anti depresseurs,parce que selon un psychiatre ,vu mon etat obsessionnel par rapport à la bouffe,c'etait inevitable) mais là c'etait bien plus efficaces que les anti depresseurs.
ma tendance depressive,ma tendance à passer de la joie au la tristesse,voir la desolation, mon manque de confiance en soi ( difficulté à regarder les gens en face, à aller s'adresser à eux, à donner son opinion..bref des restes de phobie sociale) mes difficultés à me concentrer,à lire,à apprendre, memoriser,et ma procrastination.. bref tout ce qui bouffe la vie,alors qu'il y a tant de choses que j'aime, que j'aimerais faire, en deux semaines tout ces problemes s'etaient envolés.
j'ai eu alors une envie hallucinante d'apprendre,de lire.mais pour ca il faut etre seule..et en plus c'est appreciable d'etre seul dans cet etat.mais c'est assez mal vu,et on te dis,"alleeeez sort" ou bien c'est toi meme qui voulant ne pas etre rabat joie,mange la meme chose que les autres..et ca repart..


et puis j'ai repris,le sucre, les farineux ( donc le gluten aussi)
et tout est revenue..les crises d'hyperphagie et tout le reste..

aussi d'apres tout ce que j'ai pu lire à propos du gluten,qu'il s'agisse de l'hyperphagie,de la depression, des problemes de concentration..tout peu etre lié à une intolerance au gluten.je ne developperais pas du tout, pour eviter le risque d'etre inexacte..
aussi, je reprend un regime sans gluten et sans sucres raffinés depuis 4 jours...le moral est bon mais les crises persistent,et les problemes de concentration aussi,et je pense qu'il faut malheureusement(le jeu en vaut la chandelle,mais j'ai pu m'y mettre la premiere fois parce que je souffrais beaucoup physiquement) dans ce cas se resoudre à ne plus consommer de sucre à l'exception du sucre des legumes (de preference crus ) pendant quelques temps..et sachant que le soja (à cause des phytates qu'il contient) risque d'etre consommé à forte dose dans ce cas,et empecherais l'assimilation des mineraux tels que le fer,le zinc..je me demande bien comment c'est realisable pour un vegetalien.


http://www.sanssucre.org/

http://www.seignalet.fr/
 
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