annabreizh
Jeune bulbe
Merci PersOnne pour le lien de metronews. Je vais gentiment le soumettre au carniste qui a visiblement une façon de lire bien sélective!
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On voit des employés qui tapent des cochons avec une espèce de martinet solide, leur donnent des coups de pieds, et leur foutent des coups de pile électriques. Pas de sang, pas de scène de mise à mort. Juste la violence des coups.Tcharls":1xg8nizq a dit:J'ose pas regarder, j'ai plus peur des scènes violentes que d'amour pour Guillaume Meurice.
Plus d’infos, vidéo (présentée par Arthur H) et pétition…Souffrance en boite
Alors que la marque Hénaff se targue de “transparence” et montre des cochons en plein air sur son site internet, en réalité les cochons connaissent une vie de misère. Forcés à vivre sur un sol en béton nu, entassés, sans jamais pouvoir sortir, leur vie n’est qu’ennui et frustration. Les mères sont immobilisées dans des cages exiguës : elles ne peuvent ni se retourner ni s’occuper de leurs petits. Des cochons agonisants sont abandonnés à leur sort, sans soins. Des cadavres, parfois en putréfaction, s’entassent à côté des vivants. Face à ces conditions de vie intolérables pour les animaux, alertons les dirigeants de la marque.
Les animaux ont désespérément besoin de nous, agissons pour eux.
Elle ne possède pas d'élevages mais contractualise avec des groupements d'éleveurs, dans un rayon de 150 km autour du village de Pouldreuzic, où Jean Hénaff a fondé sa société il y a cent dix ans. «Il revient à ces groupements de veiller au bien-être animal», estime la responsable marketing de l'entreprise, qui n'avait pas vu mercredi soir les images tournées par L214 et «souhaite pouvoir s'assurer de leur véracité».
Hénaff met en avant ses efforts de traçabilité, en imprimant sur ses emballages les photos de ses fournisseurs. Ironie du sort, les deux éleveurs incriminés dans les vidéos de L214 figurent sur ces boîtes. «C'est de la communication», fustige l'association qui pointe un «décalage entre les petits cochons bucoliques sur une prairie dans les publicités et la réalité affreuse de l'élevage porcin».