La gestion des ressources (alimentaires par notre corps)

  • Auteur de la discussion tom
  • Date de début
Léna":2eg5dow6 a dit:
Lelfe, on peut avoir la liberté d'expression de dire quand des choses nous dérangent, sans passer pour des petites natures qui feraient mieux de rester enfermés chez eux ?
....

Bon alors faut pas dire grosses, faut pas dire maigres, faut pas dire anorexique, faut pas dire pénible, et faut pas se plaindre de pas pouvoir l'ouvrir, et faut suuuuurtout pas dire que les gens prennent la mouche pour un rien!
ok ben j'ai compris je ferme ma gueule :whistle:

(zut j'ai dit un gros mot, je suppose qu'il fallait pas?)
 
Je suis désolée que tu le prennes comme ça :) Je n'ai jamais dit que tu n'avais pas le droit de critiquer, au contraire, juste que j'en ai marre de l'argument "et la liberté d'expression" dès qu'on souligne qu'un mot a une connotation qui est dérangeante pour certains. C'est aussi de la liberté d'expression de critiquer les mots :)

Tu es végane, tu dois savoir ce que c'est les sous-entendus dans "fruits de mer" ou "bête".
 
Le poids, la corpulence est toujours la grande question dans notre société.
Je suis pour ma part grande et toute en longueur.
L'anorexie c'est pas forcément dans un soucis de minceur, mais pour faire parler une souffrance interne.


Pour en revenir au jeun, fil de ce post normalement, vous semblez avoir beaucoup de préjugé là dessus.
Oui c'est sur en scolaire on nous apprend toujours qu'il ne faut jamais sauté un repas.
mais savez vous qu'en France et dans le monde entier il y des centaines voir des milleirs de jeuneurs par an.
Je connais plusieurs personnes autour de moi qui ont fait des jeuns d'au moins 7 jours et pourtant elles ont sont belles et bien vivantes.
Une personne que tout le monde connait ici Yannick Noah , est par exemple un jeuneur régulier.
 
Moi je trouve ça très intéressant cette discussion sur les grosses et petites corpulences, et les culpabilités qui peuvent aller de pair. J'avais entendu dire quelque part que les anorexiques étaient à l'origine les personnes qui allaient chercher de la nourriture pour les autres, qui se dévouaient pour les autres, et que la société les faisait culpabiliser à l'heure actuelle au lieu de reconnaître leur "besoin", leur "rôle" d'aidant(e)s. C'était la théorie d'un psy en tout cas.

Sinon, pour le jeûne (que je ne sais toujours pas quand faire), je compte suivre le déroulé de mon bouquin (ce sera un jeûne solide, avec eau à volonté, jus de fruits et bouillons de légumes) : 1 jour de transition, 5 jours de jeûne et 3 jours de reprise "douce"...
 
Un jeûne avec bouillon et jus je tiens par contre. Mais personnellement c'était plus lendemain de grosses soirées... J'avais fait deux jours soupe de poireau (sans patates) et jus de citron, mon corps n'acceptant rien d'autre. Ca remet bien sur pied, et étrangement pas de fatigue par la suite. Du coup j'avais pas pris ca comme jeûne, plutot comme "remise en forme des fonctions de mon foie".

Quand j'ai eu des périodes où ca n'allait pas (bon, du point de vu de pas mal de gens je suis pas sortie du sable), dont de grosses phases qu'on peut qualifier d'anorexiques (mais sans diagnostique je préfère dire des périodes de baisses de régime). Ce qui étonnais énormément mon entourage, c'est que je cuisinais encore plus qu'avant. Du coup, moi ca allait pas du tout mais comme je cuisinais énormément donc ca inquiétait moins les gens et moi j'étais super heureuse de nourrir les autres (mes frères en ont mangé des gateaux à cette période pfoulalala!).
J'ai toujours ce besoin de faire manger les autres, de les voir heureux en mangeant et une espèce de jouissance quand ca implique de me priver (au grand plaisir de mon plus grand frère super gourmand).
Comme si je vivais le plaisir culinaire par procuration. Ca va mieux (merci la cuisine végan super rassurante pour moi).
 
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