flolalapine
Massacre des légumes
En y réfléchissant, je pense vraiment que c'est une question d'âge; les ados sont dans une attitude très normalisante, cherchent à s'identifier à tel ou tel groupe, que ce soit des groupes "conformistes" ou "anticonformistes".
En vieillissant on perd ce besoin d'appartenir à tel ou tel groupe, on commence à s'en taper le coquillard sévère de ce que font les autres.
Ça peut être vraiment étouffant de vivre à cette période où la pression de normalisation est telle que on se prend des réflexions en permanence (genre tu vas pas en boîte, t'as pas de portable, etc.)
Je comprends tout à fait le besoin d'exorciser, moi aussi quand j'avais 20 ans j'aimais bien me dire que j'étais différente des pouffes-paillettes et compagnie. Quoique rapidement en médecine (contrairement à d'autres branches professionnelles) on perd le contact avec ce genre de nanas, elles sont plutôt minoritaires, on est plus dans un groupe soit d'humanitaires relous ou de fêtards décérébrés (à votre avis, j'étais où?).
A l'heure actuelle, j'ai vraiment le sentiment que les seuls à s'intéresser à mon mode de vie sont des proches et que les autres n'en ont rien à secouer, ce qui est parfaitement réciproque; fini la pression de normalisation. OK sans doute on pourra trouver des "vieux" normalisateurs ou normalisés... faut de tout pour faire un monde...
En vieillissant on perd ce besoin d'appartenir à tel ou tel groupe, on commence à s'en taper le coquillard sévère de ce que font les autres.
Ça peut être vraiment étouffant de vivre à cette période où la pression de normalisation est telle que on se prend des réflexions en permanence (genre tu vas pas en boîte, t'as pas de portable, etc.)
Je comprends tout à fait le besoin d'exorciser, moi aussi quand j'avais 20 ans j'aimais bien me dire que j'étais différente des pouffes-paillettes et compagnie. Quoique rapidement en médecine (contrairement à d'autres branches professionnelles) on perd le contact avec ce genre de nanas, elles sont plutôt minoritaires, on est plus dans un groupe soit d'humanitaires relous ou de fêtards décérébrés (à votre avis, j'étais où?).
A l'heure actuelle, j'ai vraiment le sentiment que les seuls à s'intéresser à mon mode de vie sont des proches et que les autres n'en ont rien à secouer, ce qui est parfaitement réciproque; fini la pression de normalisation. OK sans doute on pourra trouver des "vieux" normalisateurs ou normalisés... faut de tout pour faire un monde...