c'est des devises haddock
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oui, non mais ok, il est optimal (ça on pose que c'est admis) pour ta petite sante, mais au fond, qu'est-ce qu'on en a à cirer... ça ne résout pas notre problème à nous, vgta*iens, qui est de nourrir tout le monde sans tuer personne ... ou alors tu t'y colle et tu gères les dommages collateraux, moi je ne cautionne pas...nicollas":1sodru1x a dit:Le fait que ce régime ne soit pas généralisable à cause de conditions particulières (notamment une explosion de la population due aux énergies fossiles) ne le rend pas moins optimal.kerloen":1sodru1x a dit:Laissons repousser les forêts et organisons de grandes battues végétales et animales pour nourrir les 6 - 7 et bientôt 9 milliards d'humains... J'ai peur que ni les animaux, ni l'homme, ni la flore sauvage n'aient grand chose à y gagner...
Cela dit je ne vois pas trop qui peut y gagner si l'humanité continue son activité de destruction des écosystèmes qu'on appelle l'agriculture.
Les écosystèmes ne résisteraient pas à la cueillette sauvage de toute la population française, est-ce que du coup les plantes sauvages sont moins bonnes que les légumes cultivés ?
Il ne s'agit pas de "ma petite santé". Il s'agit de savoir ce qu'est de vivre une vie d'humains. Le régime n'en n'est qu'une partie, mais qui influence fortement le reste.kerloen":17xgcyda a dit:oui, non mais ok, il est optimal (ça on pose que c'est admis) pour ta petite sante, mais au fond, qu'est-ce qu'on en a à cirer... ça ne résout pas notre problème à nous, vgta*iens, qui est de nourrir tout le monde sans tuer personne ... ou alors tu t'y colle et tu gères les dommages collateraux, moi je ne cautionne pas...
Je suis d'accord avec ça : le végétarisme pour moi n'est qu'une des conséquences visibles d'un changement beaucoup plus profond, qui passe évidemment par un état d'esprit totalement différent et une prise de conscience de ses capacités personnels de choix et d'action. On ne peut pas vivre sans manger, mais ma manière de manger n'influence pas ma vie, c'est l'inverse.nicollas":2ahkfxp2 a dit:Il s'agit de savoir ce qu'est de vivre une vie d'humains. Le régime n'en n'est qu'une partie
Si, quand-même, mais c'est vrai que je trouve que les bâtiments, par exemple, ont une effrayante ressemblance avec les cages à poules... Comment avoir une vie libre ? Ben il faudrait qu'on arrête de nous imposer tout un tas de choix non personnels, pour que la majorité calme trime en subvenant aux besoins de la minorité excitée et pleine de démesure... C'est vrai que la vie dans la Nature permet de se sentir vivre d'une façon tout à fait particulière, notre corps en a besoin je pense, mais nous avons aussi besoin d'une vieL'élevage industriel des humains n'est pas plus reluisant que celui des poules, vaches et cochons. Mais je ne prétends pas qu'on puisse demain retourner à cette vie libre.
Moi je pense vraiment que les quantités astronomiques de céréales ont été créées pour subvenir aux envies des Hommes de manger et de vendre des animaux. C'est pour leur alimentation qu'on en voit plein nos champs. Et tu sais bien qu'en terme de besoin d'eau, de pollutions des sols, des rivières et de l'air, les élevages animaux ont bien plus d'impacts que les céréales !!?L'agriculture et l'industrie ont tout ravagé. La transition passe selon moi au niveau agricole par la permaculture. PS: je sais bien qu'une partie du problème sont les élevages industriels. [...] Pour moi le problème est bien à la base la céréale, qui détruit les sols et les écosystèmes.
Y'avait pas un smiley qui applaudit dans le temps ? Bon bref, en ce qui me concerne, ont pourrait clore le débat la dessus, tout est dit (avec quelques nuances pour ma part), merci MBIMonbasinstinct":2ls4a333 a dit:L'homme est un animal social, qui a tellement besoin des autres qu'il a probablement toujours vécu en société. Ne jouons pas sur les mots, toute société est un début de civilisation. Toute civilisation, même tribale, relève de travaux de groupes tels que l'aménagement d'habitats typiques. typiques parce qu'ils sont répétés. Répétés parce qu'ils sont reproductibles et adaptés, formant inévitablement un début d'industrialisation. Considérer que l'animal humain ait une vie potentiellement idéale, en dehors de toutes les civilisations industrielles qui se sont succédées, c'est méconnaître l'animal humain. Adam et Eve n'étaient pas seuls, n'en déplaise au créationnistes... L'évolution a démontré combien l'ensemble des organismes s'adaptent, changent. La vie d'humain idéale n'a pas encore été inventée. S'il fallait la situer quelque part, ce que je ne crois pas, je la conjuguerais davantage au futur qu'au passé composé. Ce fantasme des origines pures, dans tous les sens du terme, est cher aux eugénistes qui projettent la seule chose qu'ils sont capables de comprendre : leur jouissance stricto sensu. la seule chose que les spécistes sont capables de comprendre au sujet des animaux non-humains dits d'élevage, c'est qu'il convient de leur permettre de satisfaire leurs instincts primaires. Beau programme herr doctor Folamour !
Serions-nous pourtant à même de "vivre une vie réellement pleine et entière" si l'on nous faisait nous reproduire, qu'on nous nourrissait pour nous engraisser et nous tuer ? Pourquoi les animaux non-humains n'auraient pas le droit d'évoluer et de faire naître une conscience de classe ou quelque chose d'autre qui nous serait encore totalement étranger, à leur tour (ou pas d'ailleurs) ? encore faudrait-il leur laisser la liberté de le faire et permettre une transmission générationnelle. Je suis de ceux qui pensent que la domination des animaux-humains, exercée sous la forme de contrôle et destruction des vies animales, interdit l'émergence de conscience sociétale en général, qu'il s'agisse d'humains ou non.
Je savais bien que j'avais oublié quelque chose ! On a trop d'humains pour pas assez de ressources... Loin de moi l'idée de vouloir interdire la reproduction humaine, mais il me semble clair que pour avoir plus d'espace pour chaque humain, et donc une vie plus confortable, un des éléments est de réduire le nombre des naissances, de "rééquilibrer / mixer" les populations pour permettre aux Hommes mourants de faim d'atteindre une terre propice à la culture...Monbasinstinct":yc4hhbq2 a dit:Nicollas a tellement insisté sur le droit à se reproduire, que je doute de la crédibilité des assertions ci-dessus.nicollas":yc4hhbq2 a dit:Maintenant la question est de savoir si on continue de foncer dans le mur en continuant l'erreur que l'on a faite il y a 10 000 ans, pour nourrir 6, 9, 25, 42 milliards de gens pendant que le monde autour du nous s'effondre (biodiversité, climat, terres arables ...) , ou si l'on cherche ce qui cloche, et qu'on fait tout pour organiser une transition vers un monde de vie plus désirable. Cette transition passe selon moi au niveau agricole par la permaculture.
Oui,tom":2rjngdys a dit:Dis donc, Nicollas, dans un de tes liens, les conseils pour un régime paléo me semblent carrément drastiques :
Non, "legume" veut dire légumineuse. Les légumes sont à la base de la pyramide alimentaire paléo.* Eliminer les légumes (!!)
C'est encore un peu flou, mais un des points c'est que les graisses saturées (en atomes d'hydrogènes) sont moins suceptibles de rancir que les huiles végétales non saturées. Elles seraient meilleures pour la cuisson (pour les mêmes raisons ?). Elles auraient un meilleur rapport omega 3/6 (pour la cuisson, vu que la seule huile végétale est l'huile d'olive)(ceci concerne les produits d'animaux élevés sur patures, non aux grains). Et d'autres choses dont je ne suis pas encore totalement au courant.Je suis super étonné du coup des graisses animales, du grand nombre d'apport de viandes animales préconisé et du peu de cas fait aux céréales (tu m'as déjà touché un mot sur ça) et aux légumes surtout (fibres...) !!
Eh beh il t'en faut peu ...barbux":1c8puhtj a dit:Y'avait pas un smiley qui applaudit dans le temps ? Bon bref, en ce qui me concerne, ont pourrait clore le débat la dessus, tout est dit (avec quelques nuances pour ma part), merci MBIMonbasinstinct":1c8puhtj a dit:blabla
Est-ce que tu penses qu'elle exagère, toi qui a lu ce livre ?I want to be clear about a few things:
1) I am a female.
2) I give the idea of this book 5 stars, but its execution 1.
3) I have been a radical vegan, a rabid meat-eater and everything in between (currently in the in-between)
4) I am working on an archaeological PhD on hunter-gatherer diets, subsistence, hunting and transition to agriculture.
I picked this book up after reading Jonathan Safran Foer's "Eating Animals". I thought it would be interesting to read a different perspective on the vegetarian debate. I found Safran Foer's book to be much more geared towards the inhumane practices of meat while Keith's book is geared more towards diet/health.
I admit that it took a very long time for me to get through this book, for several reasons. I purchased this book hoping to get something out of it. I am not an upset vegan who wants to hate it and I am not someone who bought it knowing Id love it. I was just neutral. There were two main reasons for my disappointment with the book. One minor, one major. First, I found the second agendas (specifically the radical feminism) distracting and unnecessary. I have nothing against the feminist agenda, but this wasnt the place to put it. Second, I found the book absolutely riddled with bad information, faulty facts and just plain lazy research (if you can call it 'research'). As someone who intensively researches these issues on a daily basis, I found myself underlining items on nearly every page that I knew were just plain untrue or were 'cherry-picked' facts slanted to give a certain perception. This is such a disappointment as a really great case could be made for the author's view if she had only put the real work into researching the book properly. Once you lose the reader's trust that you are providing factual information what do you have? Ill provide examples:
1) pg. 140: The author states that "Carbon-13 is a stable isotope present in two places: grasses and the bodies of animals that eat grasses". She goes on to suggest that since there is no evidence of grass "scratch marks" on the human teeth found, that they must have been eating animals. There are many flaws in this thought process. First, I cant even begin to explain the preservation and degradation issues present in examining three million year old teeth for 'scratch marks'. Second, carbon-13 is an isotope found in ALL terrestrial and marine plants, not just grass. Finding high levels of C3 or C4 (which are what carbon-13 breaks down into) in human teeth only means that that human was eating large amounts of SOME plant, seed, nut, etc. (not JUST grass) or the animal that ate those. It is not as simple as GRASS OR COW.
2) pg. 142: The author states that there are no bacteria in the human stomach. This is simply untrue. In 2005 Barry Marshall and Robin Warren won a Nobel Prize in Medicine for discovering a stomach bacteria that causes gastritis and ulcer disease. There are currently over 130 known stomach bacteria.
3) pg. 146: The author states a "rumor" authored by RB Lee about hunter-gatherers getting 65% of their calories from plants and 35% from meat. She states that this "simply isnt true". First, this rumor-spreader is one of the most well-respected anthropological/archaeological researchers in hunter-gatherer studies who edited what is considered THE tome on hunter-gatherer theory, 'Man the Hunter'. He isnt some random hack. Second, saying those numbers 'simply arent true' is simply not true. Hunter-gatherers did and do inhabit a huge range of environments and likewise their diets cover a wide range. Some do follow the 65/35% number. Some eat much more meat. Some eat much less.
These are only three examples from a span of six pages. This pattern continues throughout the entire book. Fact is the authors 'facts' just arent believable (which, again, is a shame because a factual book on this topic could be powerful). She writes as if the anthropological and archaeological evidence she quotes is written in stone, when in fact many of these topics are constantly under revision or not well understood yet. Most importantly, I just believe that writing a book and promoting it as a factual, scientific account of a subject when it is not is doing a great disservice to your (mostly) unknowing readers. If you are not willing to put in the real research effort, write a book that is touted as a personal account and nothing more. Selling flubbed facts to people who are truly searching for answers, inspiration or (insert what you are looking for here) is just bad journalism.
Ill end this review with some facts and encourage any readers (whether you liked the book, hated the book or havent read the book) to always question whether what you are reading is true and to do some research of your own.
The author sites 207 references in this book.
62 of those references are websites (~30%)
18 are newspapers and magazines (~7%)
32 are journals (~15%)
95 are other books (~46%)
First of all, think about that. 30% of the references in this book come from website information. Five of those 62 website references were Wikipedia. Wikipedia! One was Google Answers. I wont let my freshmen students use Wikipedia as a reference in their papers, why would it be acceptable for a book? Like websites, newspaper and magazine information needs to be taken with a grain of salt. Of the 32 journals less than half come from well known, peer-reviewed sources. The remaining 46% are books, which can truly say anything the author cares to print (as this one does) and only show that the author is getting her information from another source (and another opinion) aside from the primary one. The point of this is to make clear that this is a book that is sold as (and which many positive reviews hype as) providing scientific, factual, intellectual knowledge on the vegetarian/diet/health debate. In reality less than 8% of the book is coming from peer-reviewed, fact-checked sources which can provide unbiased, neutral information.
If anything I hope this review encourages people to get away from the bias on either side, find factual scientific sources instead of second-third-fourth hand knowledge, check information for yourself instead of blindly believing an author, and to question published material and push for it to actually be factual if it presented as such.
J'ai dit à quelques nuances près je crois (ou au moins je voulais le dire).nicollas":2md39ss6 a dit:Eh beh il t'en faut peu ...barbux":2md39ss6 a dit:Y'avait pas un smiley qui applaudit dans le temps ? Bon bref, en ce qui me concerne, ont pourrait clore le débat la dessus, tout est dit (avec quelques nuances pour ma part), merci MBIMonbasinstinct":2md39ss6 a dit:blabla
Moi aussi, mais il ne faut pas faire de généralités !Ca me sidère les vegans qui sont contre la domination des animaux, et ne portent pas un regard critique sur la domination des humains, c'est à dire sur la civilisation. La fin de l'élevage, mais pas celui des humains.
Sincèrement, tu crois qu'on peut vivre à 7 ou 8 milliards de cette manière ?Dans les peuples de chasseurs-cueilleurs, il n'y a pas de chef, pas de classe, pas de guerre, pas de délinquance, pas d'esclavage. Ils ne travaillent que quelques heures par jour pour trouver leur nourriture, ont de looongues périodes de repos et de loisirs.
C'est une évidence pour moi, on a à apprendre de tout le monde (mais surtout de soi), mais encore une fois il faut trouver un nouveau paradigme, on ne peut pas continuer comme ça, c'est évident pour tout le monde, mais on ne peut plus non plus revenir au paléolithique qui fonctionne pour quelques millions d'individus. Et est-ce vraiment souhaitable de revenir en arrière ? On est en pleine évolution, il faut en profiter pour construire quelque chose de neuf. Et je pense sincèrement que le veganisme devrait être un des piliers de ce quelque chose, mais comme dit plus haut, ce n'est pas une réponse à tout, ça ne se veut pas être un mode de vie complet.Au lieu de se couvrir les yeux à l'évocation de ses peuples dont notre imaginaire a été autant colonisé que ces mêmes peuples, pourquoi ne pas apprendre de ces innombrables peuples pour inventer un futur plus libre, où l'humain serait moins domestiqué ?
Ah coïncidence ? Je l'ai demandé sur un site d'échange, quelqu'un doit me l'envoyer.Ceux qui n'ont pas peur de découvrir un autre point de vue peuvent lire Ishmael, un roman où un gorille expert en maïeutique devient le professeur d'un humain (ça devrait vous plaire du coup).
Je ne vois pas trop ce qu'apporte ton lien (dont je connais déjà le contenu vu que j'ai lu "la meilleure façon de manger".Kasui":3ld8dkh8 a dit:Rapidement, je peux dire que parler de graisses saturées qui auraient un meilleur rapport omega 3/6 est une antinomie.
http://www.lanutrition.fr/Les-lipides-a-160-109.html pour plus de renseignements.
Il y a du vrai mais je pense que c'est surfait. Moi aussi j'avais été un peu choqué par le manque de professionnalisme des références (vu que j'ai écrit quelques papiers dans des revues internationales, je suis particulièrement pointilleux sur le sujet). Pour wikipedia ça me choque pas plus que ça, suivant ce à quoi ça se réfère (j'ai pas vérifié). Pour les bouquins, ça ne me choque pas particulièrement, ça dépend du bouquin Après je trouve que beaucoup de choses sont du bon sens, et peuvent se comprendre sans références (à part la partie nutritionnelle, mais je ne l'ai pas lue).Est-ce que tu penses qu'elle exagère, toi qui a lu ce livre ?
The paradoxical nature of hunter-gatherer diets:Lee’s
studies of the African !Kung people demonstrated that gath-
ered plant foods comprised 67% of their average daily
sustenance while hunted animal foods encompassed the
remaining 33% (Lee, 1968). Lee (1968) further compiled
data from 58 hunter-gatherer societies listed in the Ethno-
graphic Atlas (Murdock, 1967) and showed that the mean,
median and mode for hunted animal food, ‘all converge on a
figure of 35% for hunter gatherers at all latitudes’.
Lee’s (1968) analysis was widely misinterpreted over the
next 32 y to mean that gathered plant foods typically pro-
vided the major food energy (65%) in worldwide hunter-
gatherer diets, while hunted animal foods made up the
balance (35%; Beckerman, 2000; Dahlberg, 1981; Eaton &
Konner, 1985; Milton, 2000; Nestle, 1999; Zihlman, 1981).
As we have previously pointed out (Cordain et al, 2000a, b),
this general perception is incorrect because fished animal
foods must be summed with hunted animal foods in the
analysis of the ethnographic data to more correctly evaluate
dietary plant to animal subsistence ratios (ie the percentage
of energy contributed by plants vs animal foods). Our ana-
lysis (Figure 1) of the Ethnographic Atlas data (Gray, 1999)
showed that the dominant foods in the majority of hunter-
gatherer diets were derived from animal food sources. Most
(73%) of the world’s hunter-gatherers obtained > 50% of
their subsistence from hunted and fished animal foods,
whereas only 14% of worldwide hunter-gatherers obtained
> 50% of their subsistence from gathered plant foods. For all
229 hunter-gatherer societies, the median subsistence depen-
dence upon animal foods was 66 – 75%. In contrast, the
median subsistence dependence upon gathered plant foods
was 26 – 35%. Further, we re-analyzed Lee’s original sub-
sample (n ¼ 58) of the Ethnographic Atlas and obtained results
almost identical to those of our study of the entire 229
hunter-gatherer societies (Cordain et al, 2000b). The subsis-
tence dependence upon hunted and fished animal foods was
66 – 75% (median value), whereas the median value for
gathered plant foods was 26 – 35%.
Quantitative studies of hunter-gatherer diets
The major limitation of ethnographic data is that the pre-
ponderance of it is subjective in nature, and Murdock’s
assigned scores for the five basic subsistence economies in
the Ethnographic Atlas are not precise, but rather are approx-
imations (Hayden, 1981; Keeley, 1992). Fortunately, more
exact, quantitative dietary studies were carried out on a small
percentage of the world’s hunter-gatherer societies. Table 1
lists these studies and shows the plant to animal subsistence
ratios by energy. The average score for animal food subsis-
tence is 65%, while that for plant food subsistence is 35%.
These values are similar to our analysis of the entire (n ¼ 229)
sample of hunter-gatherer societies listed in the Ethnographic
Atlas in which the mean score for animal food subsistence
was 68% and that for plant food was 32%. When the two
polar hunter-gatherer populations, who have no choice but
to eat animal food because of the inaccessibility of plant
foods, are excluded from Table 1, the mean score for animal
subsistence is 59% and that for plant food subsistence is
41%. These animal to plant subsistence values fall within the
same respective class intervals (56 – 65% for animal food;
36 – 45% for plant food) as those we estimated from the
ethnographic data when the confounding influence of lati-
tude was eliminated (Cordain et al, 2000a). Consequently,
there is remarkably close agreement between the
quantitative data in Table 1 and the ethnographic data.