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"Il n'y a pas plus sourd que celui qui n'a pas soif" me paraît plus de circonstances.chips":2ikmjk05 a dit:non, c'est "il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas boire" la vraie expression.
Korbak":11pwsf19 a dit:Et Staline devait même manger local et p'têt même auprès de petits producteurs. Comme quoi, "même en partant des meilleures intentions"...
L'argument des végétariens ne tient pas parce que c'est une croyance. La personnalité s'identifie à cela je suis végétarien. Et donc ca ne tient pas. Puisque cela ne vient pas d'une loie de la nature, mais bien d'une loi humaine! ( je ne suis pas fan de viande non plus je précise) Tout idée établie par l'égo et forcément potentiellement discutable, réfutable! C'est un extrême d'etre végétarien. Restons dans le moment, rien de préétablie. Perso je ne me dis pas végétarienne, je mange de la viande si je sais d'ou elle vient, je remerci l'animal, je reconnais son offrande. J'observe ce que ca crée en moi, si je n'ai pas de joie et de gratitude a la manger, je ne le fais pas.
et tous les petits insectes quand on marche dans l''herbe? quand on conduit, qui s’écrasent injustement sur le par brise? DU bon sens!!!! Retrouvons notre bon sens et arrêtons de se définir comme si ou comme ca!! faire au mieux, pour respecter le Vivant, ce n'est pas pas que les végétariens et pas forcément eux qui le font le mieux.
Je ne suis pas végé, notamment parce que je pense que nous faisons partie de ces animaux qui tuent pour manger (et nous tuons aussi des plantes...). La nature nous a fait comme ça (oui ne sais, cette réflexion va faire polémique). Par contre je suis absolument contre les élevages industriels où les animaux sont maltraités (et la viande de mauvaise qualité). J'ai donc largement diminué ma consommation de chair animale et je l'achète bio et locale, en m'assurant de la qualité de vie des bêtes.
Cela convient bien à ma santé et ma conscience écologique...
non mais ça va alors, quand c'est des animaux qui ont offert leur corps, pas de problème éthique. C'est juste un recyclage après un suicide.je remerci l'animal, je reconnais son offrande.
Donc entre bouffer de la merde industrielle et devenir végétaré, il n’y aurait aucun compromis ? Une agriculture raisonnée serait donc impossible ?
Les donneurs de leçons végétariens commencent vraiment me gonfler, je n’aime pas la façon dont ils chient sur les quelques 200 millions d’années d’évolution qui ont modelé l’homme pour être ce qu’il est aujourd’hui, un primate devenu bipède pour chasser à l’endurance, doté d’une mâchoire et d’un appareil digestif adapté à la consommation de viandes.
Ce n’est pas tant le fait de devenir végétarien qui me les brise, mais ce coté donneur de leçon deviens vite insupportable, ils devraient se liguer avec les anciens fumeurs...
Je connais quelques « adeptes » de ces mouvements, sur ces sujets ils ont vraiment un comportement à la fois névrotique et sectaire.
Tout se passe comme s’ils n’acceptaient pas la condition animale et omnivore de l’humain pour avoir trop cru en sa déité. Ainsi, paradoxalement, ils militent pour une égalité en droit avec le reste du règne animal mais ce faisant, ils s’instituent comme nouvelle autorité morale, gardiens de la nature et par la même reprennent sans s’en rendre compte, car sous une autre forme, la position de dominance qu’ils cherchaient pourtant à fuir.
cet article confirme ce que je pense des végétariens/végétaliens : des individus sensibles, incapables d’accepter leur place dans la chaîne alimentaire, prosélytiques et surtout repu. Ils ne se poseraient pas ce genre de questions existencielles le ventre vide.
En tant que mangeur de cadavre, de viandard, de consommateur d’animaux morts, [insérer ici une terminologie végane pour désigner les omnivores], je n’ai aucun problème à regarder la moindre vidéo sur l’élevage intensif sans que cela ne m’émeuve outre mesure. Quand bien même nous deviendrions tous végétariens, l’industrie alimentaire mettrait en place des méthodes de production répugnante à base d’OGM et de pesticide pour optimiser les rendements, ce qui entrainerait inévitablement des catastrophes écologiques. Le problème n’est pas le régime alimentaire, le problème est la surpopulation et l’optimisation des rendements.
kindy":1ilcu6s2 a dit:non mais ça va alors, quand c'est des animaux qui ont offert leur corps, pas de problème éthique. C'est juste un recyclage après un suicide.je remerci l'animal, je reconnais son offrande.
Sont stupides ces végé, ils comprennent rien à la vie.
Ma grande question: comment fait-on pour tuer un animal sans qu'il ne souffre ?I'm not going to do a point by point reply w.r.t. the meat and animals thread. Suffice to say I've been raised on the countryside and witnessed my fair share of animal slaughtering. I don't have the same sensibilities; for me it's not a matter of if, but of how. I'm more aligned with the native Americans' view on the matter: don't make the animal suffer and use as much of the animal as possible, out of respect for its sacrifice