kindy
Fait crier les carottes
Moi je ne parlais pas d'ouvrir le débat sur l'accouchement sous X etc. Je parlais simplement du fait de savoir qu'on a été adopté-e (ou pas).
Follow along with the video below to see how to install our site as a web app on your home screen.
Note: This feature may not be available in some browsers.
Bienvenue sur Végéweb, vous souhaitez rejoindre le reste de nos membres ? N'hésitez pas à vous inscrire dès aujourd'hui !
Pareil...entre interdire la possibilité d'accoucher sous X et être choqué.e du fait que des parents fassent des mises en scène pour mentir à leur gamin.e sur le fait qu'iel ait été adopté.e, il y a un monde.kindy":3oqcavmn a dit:Moi je ne parlais pas d'ouvrir le débat sur l'accouchement sous X etc. Je parlais simplement du fait de savoir qu'on a été adopté-e (ou pas).
Moineau":2y2l8hzp a dit:Et les choses se compliquent encore quand la mère accouche sous X alors que le père souhaite élever l'enfant...
Du coup ça fait 3 mois minimum avant même de pouvoir envisager de faire adopter cet enfant ? C'est long 3 mois à cet âge. J'aurais imaginé qu'avec le nombre de parents adoptifs potentiels on aurait la possibilité de faire adopter les enfants dès leur naissance, ce qui me semble être le mieux pour eux. Je ne sais pas exactement dans quelle conditions sont élevés les enfants tant que se sont les services sociaux qui s'en occupent mais, dans tout les cas, ça reste une solution temporaire. Les adultes qui s'occupent d'eux ne sont pas ceux qui les élèveront plus tard. Il me semble évident que moins cette situation dure, mieux c'est.Le père, et ses avocats (Mes Loirat et Verdier) ont contesté cette admission en qualité de pupille de l'Etat comme ayant été prononcée trop précipitamment, soit le jour-même de la naissance et non pas après deux mois, comme l’exige pourtant l’article L224-4 du code de l’action sociale et des familles, cette admission ouvrant ensuite un délai de contestation de trente jours.
Par delà la souffrance légitime et inacceptable d’un père qui se trouve privé injustement de son enfant, alors qu’il n’a pas démérité mais a, au contraire, toujours tout fait pour s’en occuper, cette décision met en évidence le caractère inadapté de la législation française.
Les juges dissident de la Cour européenne des droits de l'Homme (c'est-à-dire les juges minoritaires) avaient écrit après l'affaire Odièvre (13/02/13) « La mère dispose ainsi d’un droit purement discrétionnaire de mettre au monde un enfant en souffrance et de le condamner, pour toute sa vie, à l’ignorance. Il ne s’agit donc en aucune manière d’un système mixte assurant un quelconque équilibre entre les droits en présence ».
Kahte":2w9dyr4c a dit:Par contre je suis contre le sous X totale, car ce n'est ni bien pour la mère ni pour l'enfant.