Tchoopie
Jeune bulbe
Brigande : Chez nous, il s'occupe de la lessive et du ménage, et je s'occupe de l'entretien des bagnoles, et du jardin. Flûte, jsuis vraiment pas une bonne épouse.
Erulelya : Le principe de la VC c'est que l'un retourne le cerveau de l'autre. La victime est "dominée" par l'autre. En très raccourci, il la soumet, la terrorise, et inverse la culpabilité... Donc la victime se sent coupable au plus profond d'elle.
Exemple qui peut paraître mauvaise blague mais issu de l'histoire de vie d'une personne que j'ai accompagnée : "en même temps, c'est logique qu'il me dise que je suis une sous-merde, j'ai quand même oublié d'acheter des piles pour la télécommande alors qu'il y avait match" (...) "Après, je peux comprendre qu'il ait fait ça, ça faisait un moment que je ne voulais plus avoir de rapport... Et puis, je crois pas qu'on peut dire que c'est un viol, j'avais pas envie, mais je ne l'ai pas vraiment empêché..." Etc, etc.
Le principe de la thérapie de couple c'est que chacun doit être sur un pied d'égalité pour pouvoir s'exprimer face à l'autre. Et sans qu'il y ait des conséquences derrière de retour à la maison... Sauf dans les changements d'attitudes de l'un et de l'autre, pour essayer de repartir sur des bases saines, de relancer la communication.
Or, si tu es prise dans cette spirale de la violence, qu'il y a un rapport de domination, et que l'autre fait ça uniquement pour asseoir encore plus son emprise sur l'autre ("regarde, je ne suis pas vraiment mauvais, je fais ce que tu me demande, alors que c'est complètement con et que ça ne résoudra rien !"), forcément ça ne mène à rien. Et c'est le cas dans les VC.
Je caricature un peu, je pousse l'image dans l'extrème, bien souvent c'est beaucoup plus subtil. Les hommes violents ne se repèrent pas au premier coup d'oeil... Et quand on est dans la situation et soi-même sous l'emprise d'un autre c'est encore plus compliqué de s'en rendre compte.
Désolée si je parait abrupte ou sèche dans mes propos. Mais vraiment, la violence... C'est comme l'alcool, on ne change pas quelqu'un foncièrement. Et il n'y a pas un passage à l'acte isolé, ça n'existe pas.
Erulelya : Le principe de la VC c'est que l'un retourne le cerveau de l'autre. La victime est "dominée" par l'autre. En très raccourci, il la soumet, la terrorise, et inverse la culpabilité... Donc la victime se sent coupable au plus profond d'elle.
Exemple qui peut paraître mauvaise blague mais issu de l'histoire de vie d'une personne que j'ai accompagnée : "en même temps, c'est logique qu'il me dise que je suis une sous-merde, j'ai quand même oublié d'acheter des piles pour la télécommande alors qu'il y avait match" (...) "Après, je peux comprendre qu'il ait fait ça, ça faisait un moment que je ne voulais plus avoir de rapport... Et puis, je crois pas qu'on peut dire que c'est un viol, j'avais pas envie, mais je ne l'ai pas vraiment empêché..." Etc, etc.
Le principe de la thérapie de couple c'est que chacun doit être sur un pied d'égalité pour pouvoir s'exprimer face à l'autre. Et sans qu'il y ait des conséquences derrière de retour à la maison... Sauf dans les changements d'attitudes de l'un et de l'autre, pour essayer de repartir sur des bases saines, de relancer la communication.
Or, si tu es prise dans cette spirale de la violence, qu'il y a un rapport de domination, et que l'autre fait ça uniquement pour asseoir encore plus son emprise sur l'autre ("regarde, je ne suis pas vraiment mauvais, je fais ce que tu me demande, alors que c'est complètement con et que ça ne résoudra rien !"), forcément ça ne mène à rien. Et c'est le cas dans les VC.
Je caricature un peu, je pousse l'image dans l'extrème, bien souvent c'est beaucoup plus subtil. Les hommes violents ne se repèrent pas au premier coup d'oeil... Et quand on est dans la situation et soi-même sous l'emprise d'un autre c'est encore plus compliqué de s'en rendre compte.
Désolée si je parait abrupte ou sèche dans mes propos. Mais vraiment, la violence... C'est comme l'alcool, on ne change pas quelqu'un foncièrement. Et il n'y a pas un passage à l'acte isolé, ça n'existe pas.