Guanaco
J'aime bien janic pcq il dit toujours ce qui lui parle par la tête et ça donne des liens invraisemblables
je dois fonctionner comme Google qui trouve quelques milliers de liens avec des sujets qui semblent sans rapport entre eux, le tout c'est de savoir s'en servir. Mais c’est gentil de bien m’aimer (ça ne durera peut-être pas !)
Le problème de janic dans ce topic c'est de prouver que la Bible n'est pas homophobe (ce n'est pas son problème à lui d'ailleurs, tous les exégètes tentent désespérément de montrer que la Bible n'est pas réactionnaire).
Deux aspect dans ta phrase:
prouver que la Bible n'est pas homophobe : comme d’habitude j’ai regardé le dico (larousse 1995) où le terme n’apparait pas !? Direction wiki le dico de la vulgarisation et j’y lis :
Toutefois, les linguistes critiquent le bien-fondé de ce terme, dès lors que le préfixe grec « homo » signifie « semblable » et la racine « phobie » vient également du grec et signifie « peur ». A proprement parler, homophobie signifie donc « peur de son semblable », et non pas aversion à l'égard des homosexuels. Certains chercheurs – à l'instar de l'historien John Boswell – ont suggéré le terme « homosexophobie », littéralement « la peur de l'homosexuel », arguant que le terme « homophobie » signifierait plutôt « crainte du semblable » que « crainte de l'homosexuel »
Tiens c’est marrant, ça existe encore les linguistes et ils tiennent un langage semblable au mien : les mots ont une racine et donc un sens !
Donc effectivement la bible n’est pas homophobe, ni vraiment homosexophobiste puisque sinon elle intégrerait celle de la femme aussi, ce qui n’est pas le cas. Bizarre, vous avez dit bizarre !?
La bible n’est pas réactionnaire : il faudrait déjà commencer par l’étudier pour savoir si elle est ou non réactionnaire et pas seulement se contenter de « on dit » religieux ou pas.
Donc
réactionnaire et j’y lis :
tendance politique qui s’oppose au progrès social et s’efforce de rétablir un état de choses ancien.
Lors de son établissement cet ouvrage était on ne peut plus antiréactionnaire seloncette définition et par bien des aspects reste d’actualité aujourd’hui. Un exemple simple : le repos hebdomadaire pour tous y compris serviteurs, esclaves, animaux qui en ce temps fut une véritable révolution (on n’a pas fait mieux depuis). Autre exemple l’hygiène qui n’a pas encore trouvé d’équivalent même actuellement et qui a servit d’exemple pour juguler les épidémies dont la variole dernièrement,etc...et qui pratiquée au temps des pestes, choléras et autres joyeusetés aurait épargné des millions de vie.
Donc il donne à la sodomie la définition de "viol",
Je ne donne pas cette définition, tu prétends avoir lu cet ouvrage alors relis-le et vois s’il indique quelque chose d’autre.
et comme ça Dieu est politiquement correct ;
Rien a voir avec dieu ou son équivalent, la bible intègre la notion de dieu comme la mesure de ce qui est juste ou pas et non de ce qui est moral ou non.
c'est assez maladroit parce qu'on peut entendre ça comme une terrible homophobie.
D’autres font de la biblophobie. Ce qui est dommageable c’est la peur, la phobie, et non le sujet qui s’y rapporte que ce soit peur des autres et plus généralement peur de l’inconnu. Notre société après la tuberculosophobie,a versé dans la cancérophobie, puis dans le sidaphobie (plus ou moins rattaché à l'"homophobie" d'ailleurs)qui ne vaut guère mieux et demain on trouvera bien un autre sujet pour projeter ses peurs.
janic il peut être objectif sur tous les autres sujets, du moment qu'on ne critique pas les Ecritures.
Tu peux dire ce que tu veux des Ecritures en question, c’est même recommandé, c’est fait pour ça. L’important c’est la rigueur et l’honnêteté intellectuelle que tu y mets vis-à-vis de toi-même comme pour n’importe quel autre bouquin.(aucun dieu ne sera derrière tes fesses pour te dire si tu fais bien ou mal!)
Sinon pour la critique des Ecritures, je me fais un devoir de la faire (et j'ai commencé par là) car il y a plus d’une pilule qui ne passe toujours pas, sauf lorsque l’on cherche à en comprendre la signification plutôt qu’une critique pour la critique (souvent liée à la méconnaissance d’ailleurs) comme le fait le chantre de l’athéologie Michel Onfray qui n’a pas le temps nécessaire (avec une réponse courtoise) pour repenser les contresens de sa littérature.
Mais c'est compréhensible, il fait comme ceux qu'il critique, il survole le sujet, picore ici et là quelques phrases et construit son discours sur ces miettes.