vz33
Avale du tofu
Put*** chaud la reflexion philosophique !! Tu peux travailler en abattoir toi je pense.
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Pour qu'il soit immoral de lui faire ça, il faudrait qu'elle ait un intérêt à ne pas voir sa jambe se faire couper en deux. Or, elle ne ressent aucune souffrance. Donc ma question : en quoi est-il immoral de la lui couper ? Si c'est évident, alors la réponse est évidente...vz33":fv0x3e8g a dit:Ok, tu vas casser la jambes en deux de la personne, elle a pas mal, elle pleure pas. Mais pour toi alors tu ne l'as pas blesser tu penses? T'as la moitié de la jambes qui pendouille mais elle est pas blessée ??????!!!!
et alors ? Je fais ce que je veux avec mon corps non ? c'est immoral de se faire mal à soi même ? ...vz33":fv0x3e8g a dit:Frapper une pierre quel est le rapport ?! Bin tu vas te faire mal aussi...
super, ça me fait... une belle jambe ^^vz33":fv0x3e8g a dit:Moi je m'arrête ici parce que c'est hors norme, complètement inutile, incroyable... En vrai tu fais flipper je crois car t'as vraiment l'air d'être moins sensible que l'autre qui ressent rien.
Encore une fois, quel est le rapport ? Je suis végétarien, je n'ai que faire des abattoirs.vz33":3twuo642 a dit:Put*** chaud la reflexion philosophique !! Tu peux travailler en abattoir toi je pense.
Je ne suis pas sûr de bien comprendre : doit-on s'interdire de maltraiter les êtres conscients parce qu'en le faisant, nous serions susceptibles de souffrir (remords, par exemple) ?VassiliZ":1cvxbnag a dit:Je pense qu'il ne faut pas maltraiter les êtres conscients (ou même ceux qui sont simplement capables de souffrir) parce que ça pourrait nous amener à faire abstraction de cette souffrance qu'on est nous-mêmes capables de ressentir.
Le devoir moral n'existe pas. La morale est une convention humaine. On ne peut s'imposer de devoir moral qu'envers soi-même ou la société (ce qui revient à se l'imposer envers soi-même).Dagoh":2ndhg2os a dit:Si oui, alors c'est une considération morale indirecte. On ne doit pas de respect à la personne consciente, notre devoir moral est en réalité pour nous-même. Ce que je cherchais à savoir, c'est si nous aurions des devoirs moraux directs envers une personne consciente mais qui ne souffre pas du tout.
Le cas dont je parle serait celui d'une personne qui ne souffrirait ni physiquement, ni émotionnellement, mais qui aurait toutes les autres capacités humaines, dont aussi la conscience, donc. L'algoataraxie existe, et on est capable de voir que la personne ne souffre pas physiquement. D'ailleurs suffit de la voir se faire "mal" toute seule et de ne pas la voir réagir pour autant.Je pense que ta question est bonne mais je trouve difficile d'y répondre car une personne "insensible" comment sait on quelle est vraiment insensible? En d'autres termes elle ne ressent rien mais en est on sur? Ou plutôt: comment savoir ce quelle ressent vraiment? En admettant quelle n'a aucune conscience alors cette personne ne pourrait pas sentir ni voir ni entendre etc. Si on définit la conscience comme le centre dune subjectivité, sil n'y a pas de subjectivité il n'y a pas de perceptions. Hors même dans le cas Dune personne plongée dans un coma profond on peine a savoir si elle ressent ou non des choses. Le seul cas ou il n'y a pas de doute est la mort cérébrale... Un mort est il encore une personne, je ne sais pas si on peut rationnaliser ça, cela serait plutôt du domaine de la spiritualité...
Si on admet pour la démonstration qu'une personne puisse ne rien ressentir du tout, peut on encore lappeler une personne? M'est avis que non. Pour moi qui dit personne dit sujet, subjectivité, donc capacité a ressentir et a centraliser ses perceptions dans une conscience. La sensibilité implique la possibilité de souffrir tandis que la conscience suggère une volonté de continuer a exister. Si ni l'un ni l'autre n'existent on se retrouve en face Dun quelquechose, pas Dun quelquun, un quelquechose auquel on ne peut pas nuire.