V3nom
Moulin à graines
Des raisons j'en ai plein, mais elle peuvent toutes se réduire à un terme les englobant et découlant de celles-ci : une tendance à la misandrie. (et je ne l'ai ni choisie, ni apprise, j'ai même tendance à m'inclure dedans.)
J'ai pas choisit cette préférence. Et elle n'a en soi absolument rien de sexuelle. (je parlais d'érotisme un peu par humour, même si au fond on peut trouver de l'érotisme partout et c'est pas un mal, ça n'engage personne à rien)
Le terme de misandrie est un peu fort autant que pas rationnel, quand bien même ce que j'ai vécu m'y a amené, mais le fait est que je ne me sent que rarement à l'aise en compagnie de mes pairs (en plus d'être que très rarement en phase avec les idées/dialogues/débats) et bien mieux en compagnie féminines (certaines compagnies dans les 2 cas, mais c'est pas du 100%). S'en suit un sentiment de ... d'aversion au premiers abords. (ça peut changer par la suite, mais en règle général ça se confirme)
La société dans laquelle on vit change et il se peut que je finisse par balayer tout ça, mais en attendant, j'me demande si il n'y a pas des facteurs sociaux et environnementaux perpétuant ce sentiment. Un peu à la façon dont on peut observer qu'il y a quand même une majorité (même si elle tend à se réduire) de femmes que d'hommes végs.
Et à vrai dire plutôt que les individus en eux-même (j'ai des amis hommes, mais ils sont très rares), ce sont les groupes que je fuis. Ces groupes qui ont tendance à se transformer en microcosmes hiérarchiques dès les prises de paroles, en rapports de forces, en domination ou en compétitions, souvent anodines, mais qui me rendent dingue...
Peut-être est-ce propre au Limousin... et aux groupes que je côtoie sur internet. Je me soigne hein, mais c'est profond comme blessures...
J'ai pas choisit cette préférence. Et elle n'a en soi absolument rien de sexuelle. (je parlais d'érotisme un peu par humour, même si au fond on peut trouver de l'érotisme partout et c'est pas un mal, ça n'engage personne à rien)
Le terme de misandrie est un peu fort autant que pas rationnel, quand bien même ce que j'ai vécu m'y a amené, mais le fait est que je ne me sent que rarement à l'aise en compagnie de mes pairs (en plus d'être que très rarement en phase avec les idées/dialogues/débats) et bien mieux en compagnie féminines (certaines compagnies dans les 2 cas, mais c'est pas du 100%). S'en suit un sentiment de ... d'aversion au premiers abords. (ça peut changer par la suite, mais en règle général ça se confirme)
La société dans laquelle on vit change et il se peut que je finisse par balayer tout ça, mais en attendant, j'me demande si il n'y a pas des facteurs sociaux et environnementaux perpétuant ce sentiment. Un peu à la façon dont on peut observer qu'il y a quand même une majorité (même si elle tend à se réduire) de femmes que d'hommes végs.
Et à vrai dire plutôt que les individus en eux-même (j'ai des amis hommes, mais ils sont très rares), ce sont les groupes que je fuis. Ces groupes qui ont tendance à se transformer en microcosmes hiérarchiques dès les prises de paroles, en rapports de forces, en domination ou en compétitions, souvent anodines, mais qui me rendent dingue...
Peut-être est-ce propre au Limousin... et aux groupes que je côtoie sur internet. Je me soigne hein, mais c'est profond comme blessures...