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Korbak":2yxy2hq6 a dit:Ah ok, ça y est, les végétaliens mangent du poisson.
D'accord.
Qu'on m'apporte une corde.
Non, aucun rapport avec le jambon ou le poisson, les véganes, c'est ceux qui refusent de manger un truc... mais je sais plus quoi... ça doit être un truc dégueu. Peut-être les endives braisées.Kahte":2t0v8fik a dit:Ça c'est la suite des Végétariens mangent du poisson. Faut élaguer ce mythe à la base, non parce que ça va finir les vegans mangent du jambon à force là ...
Hippopotamus est une chaîne de restaurants grills essentiellement présente en France.Nurja":3oys23zq a dit:C'est quoi Hippo ?
Nurja":9ftlsjso a dit:C'est quoi Hippo ?
Nurja":1rmewhiv a dit:Ton chef n'a jamais pensé que dans la cuisine italienne et dans les cuisines asiatiques, chacun.e peut trouver de quoi manger ?
Ben oui, comme les hommes violents avec leurs compagne ou enfants : "Regarde ce que tu me fais faire ! Je suis obligé d'en arriver-là ! Tu ne vois pas que ça me brise le coeur !? "Oparu":1q8gydtf a dit:J'en ai marre des omnis qui se vexent quand on souligne leur hypocrisie lorsqu'iels s'indignent de la mort de Cécil le lion tout en mangeant leur steak.
Le must c'est quand même la personne qui sort "Je mange de la viande mais je ne suis pas un monstre, ça me brise le cœur".
Pareil au sens où la phrase prononcée n'efface pas la souffrance infligée ni le choix entier de l'auteur de l'infliger. On déplace la responsabilité et la culpabilité réelles ailleurs.Fabicha":35g52n2j a dit:Non, pas du tout pareil, comme l'explique très bien ce texte, pas les mêmes mécanismes :
http://stopauxviolences.blogspot.co.uk/
Non, pas convaincue. Le coeur des violences conjugales c'est le processus de domination et l'intériorisation par la victime de sa maltraitance. Elle reste parce qu'elle le "veut", parce qu'il y a emprise suite à un processus de totale pulvérisation de son identité par son agresseur, corroboré par l'atmosphère générale la société, comme le texte le montre. La personne qui va acheter un steak au supermarché... pas du tout pareil, il n'y a même pas de lien avec sa victime, la maltraitance est "déléguée".Pers0nne":3pixd6ep a dit:Pareil au sens où la phrase prononcée n'efface pas la souffrance infligée ni le choix entier de l'auteur de l'infliger. On déplace la responsabilité et la culpabilité réelles ailleurs.Fabicha":3pixd6ep a dit:Non, pas du tout pareil, comme l'explique très bien ce texte, pas les mêmes mécanismes :
http://stopauxviolences.blogspot.co.uk/
La différence, c'est qu'en le disant directement à la victime, on peut lui infliger la croyance que la culpabilité vient d'elle, ce qui facilite encore la situation pour le vrai coupable.