Qui est childfree ? ou No kid

Lycka":31la531f a dit:
Je me joins a vous.
Pas d'enfant. Par respect du choix de M.Lycka au départ, et puis finallement par choix également apres mure reflexion.
Pour tout un tas de raisons.

Par contre, Félidée, ca m'interesserait d'en savoir plus a propos du parrainage d'un enfant.
C'est par l'intermediaire de quelle association ?

Je me permet de te répondre pour moi, car je parraine aussi un enfant.
Je le fais via l'association Partages.
http://www.partage.org/
 
Si tu as des questions, n'hésites pas. ;)
 
Cannel":1hiiljoq a dit:
Si tu as des questions, n'hésites pas. ;)

Bah en fait, je veux bien entendre tout ce que tu as a me dire sur le sujet.
Ton ressenti par rapport a cette association, le suivi que tu as de l'enfant, que partages tu avec lui/elle (des echanges par courrier ?).
A tu choisi toi meme le pays ?
Etc..

Enfin bref... tout ce que tu veux bien me raconter m'interesse. :)
(en mp si tu préfères. On risque d'etre un peu hors-sujet si on continue ici)
 
Je suis encore très jeune pour parler de ça, c'est clair, mais aujourd'hui j'ai du mal à m'imaginer avec des gosses plus tard.

Parce que :
- Quand je vois que bon nombre de psychoses, de névroses ont pour origines des blessures et conflits de l'enfance non résolus, que la famille c'est loin d’être toujours la panacée, je crois que c'est pas génial de faire un enfant qui va aller mal plus tard ;
- La difficulté d'élever de la bonne façon un petit d'homme, d'en faire quelqu'un d'éclairé, ouvert, instruit et sociable, c'est une trop grosse responsabilité ;
- Homo sapiens est une espèce envahissante, pas besoin de la propager ;
- Ca prend énormément de temps et d'énergie ;
- Ca bouffe tout l'argent même à l'age adulte ;
- Je n'ai pas envie de connaitre les "joies" de la grossesse et de l'accouchement ;
- Je ne veux qu'on place mon enfant à la moindre maladie parce que je suis vegan ;
- Si je suis à nouveau en couple un jour, j'ai envie de préserver cette vie à deux ainsi que ma vie personnelle.

Actuellement je pense ainsi, mais plus tard peut-être que mon égoïste instinct de reproduction, les fortes pressions sociales qui pèsent sur les femmes et le désir d'enfant de mon partenaire me rattraperons.

Par contre, le parrainage me donne envie, c'est quelque-chose que je ferais sans doute quand j'aurais un salaire.
Ma belle-mère parraine une jeune fille vietnamienne (ce qui lui permet d'étudier) et elles communiquent par lettres par l'intermédiaire d'une traductrice. Je ne sais pas par quelle association elle est passée par contre.
 
Assez d'accord avec ce que tu dis, on a récupéré un chiot récemment c'est deja pas mal en responsabilité et education ^^
 
Je suis childfree. Je pars du principe qu'il est irresponsable de se mettre à procréer pour obtenir un gamin comme d'autres obtiennent un animal de compagnie : j'ai beaucoup de mal avec celles et ceux qui hurlent leur besoin d'enfant... Je ne le comprends tout simplement pas.

Quant à moi, j'ai déjà du mal à m'occuper de moi-même... Alors avoir un lardon dans les pattes, lol.
 
Je ne m'identifie pas spécialement "childfree" mais moi non plus je ne veux pas de gosse.
- trop de responsabilité (évidemment).
- j'aime pas les bébés (lancez-moi des pierres). Me sens mal quand un bébé me regarde ou me touche ou essaie d'interagir avec moi de quelque manière que ce soit.
- s'il faut que je stresse comme un-e dingue, me prive de loisir, de sommeil, etc... je préférerais que ce soit pour faire de la science. J'estime que je contribuerai mieux au monde de cette manière.
- je crains que ce monde devienne invivable, notamment par manque d'eau, luttes pour l'énergie, pollution, etc. En revanche, je ne suis pas d'accord avec l'idée qu'Homo Sapiens est une espèce envahissante. D'abord, c'est une idée assez raciste et classiste, qui imagine que tou-te-s les êtres humains sur Terre se comportent de la même manière que les occidentaux blancs aisés qui ont semé la m***e dans un premier temps. On n'a clairement pas tou-te-s la même responsabilité. Ensuite, dire qu'on est une espèce "envahissante" et donc intrinsèquement mauvaise, déronspasibilise celleux qui, justement, devraient et pourraient agir.

Pis aussi j'en ai marre qu'on m'incite à faire des gosses, moi, parce que je suis blanc-he, valide, éduqué-e, de classe moyenne, et que tout le monde me croit hétéro, cis et neurotypique... Alors qu'il y a plein de gens, des immigré-e-s, des pauvres, des handicapé-e-s, à qui on dit plus ou moins ouvertement qu'illes ne devraient pas se reproduire parce que leurs enfants nous "envahissent" ou seront défectueux-ses, etc. Si ce sont elleux qui veulent créer des familles, alors c'est là qu'il faut chercher l'avenir de la démographie française, et pas chez moi.
 
Je vois pas trop en quoi ça déresponsabilise de dire que les humains ont colonisé tous les espaces ou presque, laissant toujours de moins en moins de place aux autres espèces, anthropisant les milieux à donf. Sérieux, il faudrait penser à reculer et décroître à un moment et mieux répartir les richesses, ou que les Occidentaux, du moins, cessent d'exploiter celles de ceux qui en auraient davantage besoin.
Après, il est vrai que je ne fais aucune confiance aux humains, quels qu'ils soient (mais à commencer par les Occidentaux), pour limiter leur empreinte ou plutôt je leur fais toute confiance pour continuer à tout ravager et à se ravager eux-mêmes. Je ne sais plus combien d'espèces (ce qui implique quantité d'individus hein) disparaissent chaque jour d'ailleurs mais c'est effrayant. Je voyais un truc sur la pollution de l'eau en France aussi aujourd'hui, c'est catastrophique (http://srv497.fr.nf/la-quasi-totalite-d ... esticides/). L'avidité conduira les humains à leur perte. C'était la pensée cynique du jour. N'en tenez pas compte, c'est mon caractère pessimiste et désabusé qui ressurgit par moments.
 
Bah je suis assez d'accord avec toi, même si au quotidien je me mets des oeillere sinon je vois pas pourquoi je continuerai ma vie sans aucun espoir dans l'autre, même si pour l'instant ma vie avec les autres est très limitée, je sens que dans les semaines a venir ça va se compliquer quand j'aurai des patients chiants lol
 
En fait, je fais assez facilement confiance (j'utilise confiance plutôt que espoir qui m'est devenu étranger comme concept) à autrui mais c'est dans l'humanité comme ensemble en laquelle je n'ai pas confiance, dans les logiques de groupe quoi, les forces/les systèmes que les humains créent et qui finissent par les dépasser.
Bref, chaque personne prise individuellement me semble raisonnable, capable de réflexion, capable d'empathie et d'altruisme mais noyée dans une masse, qu'elle soit concrète ou abstraite, c'est fini. Je ne m'exclus malheureusement pas de cette logique même si j'essaye de m'en extraire autant que possible.
 
J'aime les enfants. Etrangement, ils me kiffent bien, le contact est facile entre nous.
Hier encore, j'étais la première à couvrir de baisers le nouveau-né d'un couple d'amis, à m'extasier au moindre sourire et à bercer ce petit être lorsque le sommeil a tardé à venir.

Je suis certaine (bizarrement) que j'adorerais, vraiment, être enceinte. J'adorerai m'occuper d'enfants.

Mais pas tous les jours, toute ma vie. J'ai mis tellement de temps à me respecter et à m'occuper de moi, je ne veux pas qu'une autre personne devienne ma priorité absolue et en permanence. Cette responsabilité là, cette énergie, cet argent, ce temps, je ne veux pas les investir, et je n'ai finalement jamais voulu d'enfants.
Lorsqu'on m'a presque forcée à "imaginer que j'en ai un quand même", j'ai mis mille conditions qui ne seront, j'en suis sûre, jamais réunies, et c'était seulement avant d'envisager l'idée. Pas pour "me lancer" .
Ca m'est venu un jour en regardant un documentaire sur l'espace et une probable fin du monde, à l'âge de 9 ans, et je n'en démords pas.

Alors je ne me considère pas comme étant childfree, mais franchement, pour ce que ça va m'apporter, je préfère sauver un animal de l'euthanasie. (Ou dix, ou vingt)
 
Shrimpiscool":3avak6sh a dit:
J'aime les enfants. (...)
Je suis certaine (bizarrement) que j'adorerais, vraiment, être enceinte. J'adorerai m'occuper d'enfants.

Mais pas tous les jours, toute ma vie.
Je me retrouve très fort dans ce que tu écris, Shrimpiscool. J'aime les enfants, ils me le rendent bien, j'aime m'en occuper. A temps partiel. Par chance, il y a plein de façons de s'occuper d'enfants à temps partiels quand tu n'as pas d'enfants (boulot genre instit, baby-sitting, http://www.parrainage.be/, famille d'accueil, ...)
 
Un peu pareil oui, quand j'etais ado j'ai gardé des enfants d'amis pour me faire un peu d'argent de poche, j'aimais bien, j'avais envie d'en avoir, puis j'ai grandi et j'en voulais plus lol
Justement un peu comme tu dis shrimp, j'ai reflechi et pesé les pour et les contres, et y'a beaucoup + de contre, ou plutot de desagrement que d'avantage, si on peut voir ca comme un inconvenient ou un avantage puisque c'est un etre vivant tout de meme, mais bon bref oui j'y ai reflechi comme n'importe qui reflechi avant d'adopter un animal, ce qui me freine le + c'est le coté etre enceinte et la boucherie que ca a l'air d'etre malgré que mes copines me disent que c'est trop top genial la grossesse j'ai franchement de gros doutes lol

et bien sur le plus gros frein c'est que j'en ai plus envie, notre vie a 2 nous convient parfaitement, et la je vois bien ce que ca pourrait etre avec un enfant vu qu'on a recemment récupéré petit toutou Barney, donc je me vois vraiment pas etre responsable d'un etre vivant pour toute ma vie et devoir mettre toute ma vie de coté pour lui, deja que le debut de ma vie j'ai du le mettre de coté pour aider mes parents pour mes frere et soeur, et ensuite pour etre bonne a l'ecole et avoir un travail et ainsi de suite, je vis vraiment comme je veux depuis 4-5 ans on va dire, j'ai pas encre profité ^^ et la je commence un nouveau boulot/vie alors ca risque pas d'arriver
mais bon on sait jamais on peut changer d'avis, je me laisse encore 8ans max lol

Je suis maman d'un chat et d'un chiot et ca vaut tout pareil a mes yeux :)
 
Nysaah":1u9u5ty0 a dit:
ce qui me freine le + c'est le coté etre enceinte et la boucherie que ca a l'air d'etre
Personne ne peut savoir ce qu'il en serait pour toi, on peut être en pleine forme pendant toute sa grossesse (ou presque, les sentiments positifs évacuant les désagréments physiques) comme on peut être malade tout du long. Quant à l'accouchement, y'a du sang et de la douleur, mais là encore la façon de le vivre dépend autant de la personnalité et des ressources de chaque femme que des conditions "objectives". Donc les nanas qui te disent que c'est que joie et bonheur... ben tant mieux pour elles, mais on ne peut pas généraliser :)

Par contre je ne vois pas trop en quoi ce passage peut freiner le désir d'enfant, ce ne sont que 9 mois dans toute une vie (je veux des enfants pour les interactions que je pourrai avoir avec eux, pas pour les 9 mois qu'ils passent à l'intérieur). Je vois plutôt ça comme le petit truc en plus qui fait pencher la balance du côté "non" si t'as déjà pas envie à la base (et puis du coup si la perspective d'élever un enfant te séduit mais la phase biologique t'effraie à ce point, l'adoption peut-être une solution - mais le parcours est long). Bon enfin chacun a son ressenti, c'est juste que ça me semble bizarre.
 
Picatau, tu devrais peut-être t'intéresser à l'ethnologie. Les logiques de groupe n'ont pas toujours été les mêmes dans le temps et ne sont pas les mêmes partout dans le monde, malgré ce que tu as l'air de croire. La condition dans laquelle on se trouve aujourd'hui, globalisation, surconsommation, violences systémiques à grande échelle, n'a pas grand-chose à voir avec la "nature humaine" ou pire la "bêtise humaine" (concepts douteux d'abord je trouve) ; non, ces choses ont une histoire. Elles se sont développées en des endroits et dans des conditions précises. En Europe, on a eu les Lumières et la Révolution Industrielle, où on a pris la grosse tête, on s'est pris-e-s pour les maîtres du monde, on est allé-e-s exploiter et coloniser tout ce qui respirait, et surtout... on a imposé nos modèles sociaux, nos modèles de production, de pensée. Je ne suis pas historien-ne mais, à mon humble avis, si on veut comprendre pourquoi aujourd'hui le monde a l'air gangréné par les mêmes misères partout (inégalités, pollution, etc), il faut commencer par là.

A t'écouter, on dirait que tous les groupes humains pensent et agissent pareil, partout dans le monde, et que c'est un état fini, qui ne peut plus évoluer. Ou que, quoi qu'ils fassent, les résultats sont les mêmes, qui vont du futile au catastrophique. Ce que j'en pense ? Que c'est essentiellement un retour de manivelle de la colonisation, un peu comme quand les hommes cis-het imposent des standards aux femmes et puis se plaignent qu'elles les respectent ("elles sont compliquééééées !"). On (les Européen-ne-s occidentaux-ales blanc-he-s) a voulu imposer le même mode de vie à tout le monde... Et maintenant on se plaint ? Maintenant qu'on se rend compte de son inadéquation, de sa dangerosité, tout ce qu'on trouve à faire c'est blâmer la "nature humaine", comme les hommes cis-het blâment la "nature féminine" ??


Je ne prétends pas que la colonisation soit à la source de tous les maux qui existent aujourd'hui, mais bon sang, ça doit être une sacrée grosse racine. Et une fois qu'on la connaît bien, on peut espérer lutter contre. En s'y attaquant, on découvre aussi les autres racines qui s'emmêlent avec elles, qui se nourrissent l'une de l'autre (le capitalisme par exemple).

Je suis peut-être massivement naïf-ve, mais quand je vois les mouvements de résistance qui se lèvent face aux oppressions - même s'ils finissent étouffés -, je pense que l'intelligence collective est une chose. Dans les bonnes conditions, les groupes ont un incroyable pouvoir d'imagination, de résistance, de résilience, de création, de solidarité, de réflexion. La tragédie d'aujourd'hui, c'est que la tyrannie et la violence exercée par les 1% est organisée de telle sorte que tous les autres en-dessous croient que c'est "dans l'ordre naturel des choses", qu'on ne peut rien y faire. (Interview très intéressante avec les sociologues Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon sur la "violence des riches" : où il est question de guerre psychologique avec recul de la conscience et de la contestation politiques... Là les sociologiques abordent plutôt la question de la crise financière, mais j'imagine volontiers que les mêmes mécanismes sont impliqués dans d'autres crises, celle de l'environnement notamment, les 2 étant liées de toute façon. A partir de 9:50 il y a un passage crucial sur la "fabrique de l'impuissance" : https://www.youtube.com/watch?v=Ln1l3rOThpc )

Bref si on dit "tout va mal parce que l'être humain est bête et méchant / est une espèce envahissante", on insulte plein de victimes, plein de gens qui mettent toute leur ingéniosité à vouloir faire bouger les choses, tout en laissant gagner celleux qui détruisent tout. Dans le cadre d'une éthique du végéta*isme, c'est bof-bof, non ? Alors je crois qu'il est grand temps qu'on déconstruise ce genre d'idée, qu'on voie d'où elle vient vraiment.
 
Je n'essencialise pas l'être humain comme mauvais et je m'intéresse plutôt beaucoup à l'anthropologie et l'ethnologie, c'est même une partie de mon métier (la partie ethnolinguistique). Je ne partage pas du tout ta vision "optimiste" sur l'humanité mais ça n'a rien de grave. S'il est vrai que je n'ai pas confiance en l'humanité, je constate qu'il existe des êtres humains merveilleux mais dans l'ensemble, je vois aussi que l'Histoire, oui, justement, l'Histoire, est faite avant tout de catastrophes et de guerres, les moyens de destruction étant juste plus colossaux aujourd'hui qu'hier. La colonisation a sans aucun doute ajouté une pierre à ce processus de destruction, de pillage et d'exploitation mais je ne crois pas qu'il y est des humains meilleurs ou pires que les autres en soi, que c'est juste conjoncturel, une histoire d' "occasion" étant persuadé que le pouvoir corrompt mais je ne diabolise pas les humains pour autant, constate juste (en m'observant moi-même d'ailleurs) une bonne couche de crasse par dessus ce qui pourrait être bien de bien meilleures dispositions (qui émergent manifestement chez certaines personnes), des intérêts mesquins et ça, ce n'est pas pour moi conjoncturel ou lié à l'Histoire récente, c'est un procès égotique, une habitude égotique, qui ne relève pas vraiment de l'anthropologie mais plutôt de la psychologie. Je suis convaincu qu'il est possible de s'en défaire mais ça ne se fait pas comme ça d'un claquement de doigt et en est tous là à mon sens, moi, le premier.
 
Moineau":17duwzp3 a dit:
Nysaah":17duwzp3 a dit:
ce qui me freine le + c'est le coté etre enceinte et la boucherie que ca a l'air d'etre
Personne ne peut savoir ce qu'il en serait pour toi, on peut être en pleine forme pendant toute sa grossesse (ou presque, les sentiments positifs évacuant les désagréments physiques) comme on peut être malade tout du long. Quant à l'accouchement, y'a du sang et de la douleur, mais là encore la façon de le vivre dépend autant de la personnalité et des ressources de chaque femme que des conditions "objectives". Donc les nanas qui te disent que c'est que joie et bonheur... ben tant mieux pour elles, mais on ne peut pas généraliser :)

Par contre je ne vois pas trop en quoi ce passage peut freiner le désir d'enfant, ce ne sont que 9 mois dans toute une vie (je veux des enfants pour les interactions que je pourrai avoir avec eux, pas pour les 9 mois qu'ils passent à l'intérieur). Je vois plutôt ça comme le petit truc en plus qui fait pencher la balance du côté "non" si t'as déjà pas envie à la base (et puis du coup si la perspective d'élever un enfant te séduit mais la phase biologique t'effraie à ce point, l'adoption peut-être une solution - mais le parcours est long). Bon enfin chacun a son ressenti, c'est juste que ça me semble bizarre.

Ah non j'ai du mal me faire comprendre, je n'ai pas envie d'elever un enfant ^^ je vois ceux de mes amis c'est cool, je vais bientot etre tata aussi et ca me va très bien comme ca, je n'ai pas envie du quotidien justement ^^ pourquoi je sais pas juste je n'en ressent aucun besoin, mais sinon pour l'histoire des 9 mois bah dsl mais moi ca me parait vachement long 9 mois c'est quasi une année alors bon si ca se passe bien tant mieux mais c'est quand meme pas la majorité des cas ^^ en + je n'aime pas l'aléatoire alors le "avec un peu de chance ca ira niquel" bah non merci lol
dans les autres raisons je peux en sortir une bonne liste en fait, on est deja trop nombreux on a pas besoin de continuer a se reproduire, la planete se portera bien mieux sans nous, je n'en ai pas envie ca tombe bien les autres le feront a ma place ^^
apres il y a aussi le coté education, on a tous des valeurs et des choses qu'on voudrait transmettre a ses enfants, mais rien dit que ca se passera comme on veut, ya qu'a voir le nombre de personnes adultes ou ado qui sont une deception pour leurs parents, moi la 1ere d'ailleurs
ah oui j'oubliais aussi que le monde est pourri, pas envie de mettre la dedans un pti qui n'a rien demandé, moi meme je n'ai rien demandé j'aurai préféré ne pas venir au monde si on m'avait demandé mon avis avant lol
Je me suis assez battue, et encore aujourd'hui, donc bon non j'ai pas envie de faire vivre ca a quelqu'un d'autre, tant mieux pour ceux qui le vivent bien ou juste qui se disent "c'est la vie c'est comme ca" non bah jprefere pas ^^
doit y en avoir encore d'autres mais la de suite j'ai que ca qui me vient
 
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